APA – Dakar (Sénégal) La deuxième phase des discussions sur le Sahara occidental entre le Maroc et le Front Polisario aura lieu vendredi et samedi à Long Island, aux Etats-Unis d’Amérique, où les travaux seront modérés par Peter van Walsum, envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu.
La première rencontre avait eu lieu à Manhasset (Etat de New York) les 18 et 19 juin dernier, marquée par la déclaration faite à l’ouverture par le secrétaire général adjoint aux Affaires politiques des Nations Unies, B. Lynn Pascoe sur l’importance que l’ONU attache à la question sahraouie.
Des représentants des pays voisins, l’Algérie et la Mauritanie, consultés séparément, étaient également présents aux séances d’ouverture et de clôture de la première phase des discussions.
Un projet soumis à l’Onu par Rabat avant la rencontre de juin a été rejeté par le Polisario, alors qu’il portait sur une « large autonomie » pour le Sahara et la mise sur pied d’institutions autonomes : gouvernement local, parlement et juridiction, entre autres.
Le front Polisario, soutenu par l’Algérie, parle veut « l’indépendance du territoire », via un référendum d’autodétermination.
Les Nations Unies ont cherché un règlement de la question du Sahara occidental depuis que l´Espagne s’est retirée du territoire en 1976, départ suivi des combats entre le Maroc - qui a décidé de « réintégrer » le Sahara occidental à son territoire - et le Front POLISARIO, soutenu par l’Algérie .
La Mauritanie a, quant à elle, renoncé à toute prétention sur le Sahara occidental en 1979.
A la suite d’un accord auxquels sont parvenus le Gouvernement du Maroc et le Front POLISARIO, la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental a été déployée en septembre 1991 afin de surveiller le cessez-le-feu et organiser la consultation.
Source: Africatime
La première rencontre avait eu lieu à Manhasset (Etat de New York) les 18 et 19 juin dernier, marquée par la déclaration faite à l’ouverture par le secrétaire général adjoint aux Affaires politiques des Nations Unies, B. Lynn Pascoe sur l’importance que l’ONU attache à la question sahraouie.
Des représentants des pays voisins, l’Algérie et la Mauritanie, consultés séparément, étaient également présents aux séances d’ouverture et de clôture de la première phase des discussions.
Un projet soumis à l’Onu par Rabat avant la rencontre de juin a été rejeté par le Polisario, alors qu’il portait sur une « large autonomie » pour le Sahara et la mise sur pied d’institutions autonomes : gouvernement local, parlement et juridiction, entre autres.
Le front Polisario, soutenu par l’Algérie, parle veut « l’indépendance du territoire », via un référendum d’autodétermination.
Les Nations Unies ont cherché un règlement de la question du Sahara occidental depuis que l´Espagne s’est retirée du territoire en 1976, départ suivi des combats entre le Maroc - qui a décidé de « réintégrer » le Sahara occidental à son territoire - et le Front POLISARIO, soutenu par l’Algérie .
La Mauritanie a, quant à elle, renoncé à toute prétention sur le Sahara occidental en 1979.
A la suite d’un accord auxquels sont parvenus le Gouvernement du Maroc et le Front POLISARIO, la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental a été déployée en septembre 1991 afin de surveiller le cessez-le-feu et organiser la consultation.
Source: Africatime