Merci la France ! Une pensée aux nationalistes arabes de l’UPR et autres satellites dont certains et pas des moindres envoient en douce leurs enfants à l’école française pendant qu’ils animent des meetings populaires contre la langue française, une pensée à cette meute d’ingrats et de profiteurs toujours prompts à aller se planquer en France pendant qu’ils font des commentaires contre la France sur les sites de la place ; que pensent-ils du fait qu’Aziz ne soit pas allé au Maroc ou dans un de ces grands pays frères du Maghreb-arabo qui ne sont pas sous-équipés ?
Dès qu’il s’agit de sauver sa peau, on file à Paris ou à Bruxelles comme notre PM sans parler des autres hauts gradés de notre armée mais quand il s’agit de louer les liens invincibles entre la France qui a créé la Mauritanie et la Mauritanie francophone, on fait les beaux, on enfume le peuple comme pour le priver d’autres horizons qu’Al-jézira.
Ça commence à bien faire cette ingratitude !
On peut comprendre qu’Aziz n’ait pas choisi le Maroc ou autre pour ne pas politiser ses soins mais alors il faut reconnaître que la France est un terrain neutre plus qu’ami, un terrain frère…
Si vous n’aimez pas la France n’y allez pas ! N’envoyez pas vos enfants à l’école française sinon soyez gentils de la mettre en veilleuse.
Pour le reste, maintenant qu’on sait qu’Aziz est tiré d’affaire car les hôpitaux français ne sont ni l’hôpital national ni l’hôpital militaire, on ne peut que se féliciter de l’élan de solidarité qu’on a pu lire sur le net de la part de farouches ennemis du système militaire civilisé ou non. Cela dit, on peut regretter le silence assourdissant des partis politiques tous bords confondus qui sont restés silencieux comme s’ils attendaient de savoir si Aziz allait s’en sortir ou pas avant de s’exprimer.
C’est exactement ce que fit l’opposition quand Taya avait quitté le palais sous l’attaque des cavaliers. Pendant deux jours tout le monde est resté terré en attendant de savoir l’issue des combats. L’opposition aurait pu marcher vers le palais mais ce n’est pas notre culture qui est celle de la prudence…
On nous a tout raconté au sujet du rodéo qui a abouti à l’hôpital militaire. Qui croire ? Peu importe. Une chose est sûre c’est qu’Aziz a dû avoir la frousse de sa vie. On a vu cela à ses yeux et sa voix. Deissane, pourvu que cela le ramène sur terre parmi nous ses pauvres citoyens qu’il a perdus de vue depuis que le système qui élève autant qu’il enrichit a mis la main sur le changement constructif…
Une pensée à ceux qui n’ont que l’hôpital national…
Ciao ciao
Source: Vlane
Dès qu’il s’agit de sauver sa peau, on file à Paris ou à Bruxelles comme notre PM sans parler des autres hauts gradés de notre armée mais quand il s’agit de louer les liens invincibles entre la France qui a créé la Mauritanie et la Mauritanie francophone, on fait les beaux, on enfume le peuple comme pour le priver d’autres horizons qu’Al-jézira.
Ça commence à bien faire cette ingratitude !
On peut comprendre qu’Aziz n’ait pas choisi le Maroc ou autre pour ne pas politiser ses soins mais alors il faut reconnaître que la France est un terrain neutre plus qu’ami, un terrain frère…
Si vous n’aimez pas la France n’y allez pas ! N’envoyez pas vos enfants à l’école française sinon soyez gentils de la mettre en veilleuse.
Pour le reste, maintenant qu’on sait qu’Aziz est tiré d’affaire car les hôpitaux français ne sont ni l’hôpital national ni l’hôpital militaire, on ne peut que se féliciter de l’élan de solidarité qu’on a pu lire sur le net de la part de farouches ennemis du système militaire civilisé ou non. Cela dit, on peut regretter le silence assourdissant des partis politiques tous bords confondus qui sont restés silencieux comme s’ils attendaient de savoir si Aziz allait s’en sortir ou pas avant de s’exprimer.
C’est exactement ce que fit l’opposition quand Taya avait quitté le palais sous l’attaque des cavaliers. Pendant deux jours tout le monde est resté terré en attendant de savoir l’issue des combats. L’opposition aurait pu marcher vers le palais mais ce n’est pas notre culture qui est celle de la prudence…
On nous a tout raconté au sujet du rodéo qui a abouti à l’hôpital militaire. Qui croire ? Peu importe. Une chose est sûre c’est qu’Aziz a dû avoir la frousse de sa vie. On a vu cela à ses yeux et sa voix. Deissane, pourvu que cela le ramène sur terre parmi nous ses pauvres citoyens qu’il a perdus de vue depuis que le système qui élève autant qu’il enrichit a mis la main sur le changement constructif…
Une pensée à ceux qui n’ont que l’hôpital national…
Ciao ciao
Source: Vlane