Les bailleurs de fonds de la Mauritanie se sont engagés en sa faveur pour 2,18 milliards de dollars au second jour des assises du Groupe consultatif dont les travaux se déroulent du 4 au 6 décembre courant à Paris, a appris APA mercredi de source sûre à Nouakchott.
Les autorités mauritaniennes n’avaient demandé que 1,6 milliard de dollars, précise la même source qui ajoute que le demi milliard supplémentaire sera orienté vers le partenariat public-privé.
Selon cette source, la rallonge inespérée portera le programme d’investissement public dans le pays à 1,7 milliard de dollars, avec un accent particulier sur les secteurs de l’électricité et de l’hydraulique.
L’origine des fonds promis au cours de cette réunion n’a pas été précisée mais des sources officielles à Nouakchott avaient souligné dans la matinée le « remarquable soutien du gouvernement français, de l’Union européenne et du FMI à la Mauritanie ».
Par ailleurs, et à la faveur des mêmes assises, trois conventions de financement avaient été signées mardi à Paris entre la Mauritanie, le Fonds saoudien de développement et la Banque islamique de développement (BID).
La première convention conclue avec le Fonds saoudien porte sur 20 millions de dollars offerts sous forme de don à la Mauritanie pour aider à la construction d’infrastructures de base, de voieries et de logements sociaux dans la ville de Tintane, engloutie par les eaux de ruissellement durant l’hivernage passé.
Les deux autres signées avec la BID portent l’une sur une enveloppe de 6.250.000 dollars destinée au complément du financement du Projet Aftout Essahli d’approvisionnement en eau potable de la ville de Nouakchott à partir du fleuve Sénégal.
La seconde, pour un montant de 3.450.000 dollars, devra servir aux aménagements de petits et moyens périmètres dans la vallée du Fleuve.
La délégation mauritanienne au Groupe consultatif est conduite par le Premier ministre Zein Ould Zeidane.
Source: APA
(M)
Les autorités mauritaniennes n’avaient demandé que 1,6 milliard de dollars, précise la même source qui ajoute que le demi milliard supplémentaire sera orienté vers le partenariat public-privé.
Selon cette source, la rallonge inespérée portera le programme d’investissement public dans le pays à 1,7 milliard de dollars, avec un accent particulier sur les secteurs de l’électricité et de l’hydraulique.
L’origine des fonds promis au cours de cette réunion n’a pas été précisée mais des sources officielles à Nouakchott avaient souligné dans la matinée le « remarquable soutien du gouvernement français, de l’Union européenne et du FMI à la Mauritanie ».
Par ailleurs, et à la faveur des mêmes assises, trois conventions de financement avaient été signées mardi à Paris entre la Mauritanie, le Fonds saoudien de développement et la Banque islamique de développement (BID).
La première convention conclue avec le Fonds saoudien porte sur 20 millions de dollars offerts sous forme de don à la Mauritanie pour aider à la construction d’infrastructures de base, de voieries et de logements sociaux dans la ville de Tintane, engloutie par les eaux de ruissellement durant l’hivernage passé.
Les deux autres signées avec la BID portent l’une sur une enveloppe de 6.250.000 dollars destinée au complément du financement du Projet Aftout Essahli d’approvisionnement en eau potable de la ville de Nouakchott à partir du fleuve Sénégal.
La seconde, pour un montant de 3.450.000 dollars, devra servir aux aménagements de petits et moyens périmètres dans la vallée du Fleuve.
La délégation mauritanienne au Groupe consultatif est conduite par le Premier ministre Zein Ould Zeidane.
Source: APA
(M)