L’ONG internationale de lutte contre la corruption dans le monde, Transparency International (TI) a rendu public hier mardi, son classement de l’Indice de perception de la corruption (IPC) dans le monde.
A l’image des précédents sondages, la Mauritanie y occupe une position peu réjouissante : 119e position sur un total de 177 pays.L’indice de perception de Transparency classe les pays en fonction du degré de corruption perçue dans les administrations publiques et la classe politique, dans les pays concernés par le sondage.
L'IPC de TI concentre son attention sur la corruption dans le secteur public et définit la corruption comme l'abus d'une charge publique à des fins d'enrichissement personnel.
L'IPC de TI concentre son attention sur la corruption dans le secteur public et définit la corruption comme l'abus d'une charge publique à des fins d'enrichissement personnel. L'indice est établi à partir de données recueillies par 13 institutions internationales - parmi lesquelles la Banque mondiale, les banques asiatique et africaine de développement ou encore le Forum économique mondial - est compris entre zéro pour un pays perçu comme "hautement corrompu" et 100 pour un pays considéré comme "très vertueux".
La corruption comme moyen de maintien du pouvoir
A l’échelle maghrébine, la Tunisie reste la mieux « lotie », à la 77e position mondiale (75e en 2012), tandis que la Maroc perd quelque points de classement, à la 91e place (88e en 2012) et la Mauritanie est à la 119e position (123e en 2012). L’Algérie « remonte » de la 105e (en 2012) à la 94e place et se maintient dans le giron des pays les plus corrompus dans le monde.
Source et rédaction CRIDEM
A l’image des précédents sondages, la Mauritanie y occupe une position peu réjouissante : 119e position sur un total de 177 pays.L’indice de perception de Transparency classe les pays en fonction du degré de corruption perçue dans les administrations publiques et la classe politique, dans les pays concernés par le sondage.
L'IPC de TI concentre son attention sur la corruption dans le secteur public et définit la corruption comme l'abus d'une charge publique à des fins d'enrichissement personnel.
L'IPC de TI concentre son attention sur la corruption dans le secteur public et définit la corruption comme l'abus d'une charge publique à des fins d'enrichissement personnel. L'indice est établi à partir de données recueillies par 13 institutions internationales - parmi lesquelles la Banque mondiale, les banques asiatique et africaine de développement ou encore le Forum économique mondial - est compris entre zéro pour un pays perçu comme "hautement corrompu" et 100 pour un pays considéré comme "très vertueux".
La corruption comme moyen de maintien du pouvoir
A l’échelle maghrébine, la Tunisie reste la mieux « lotie », à la 77e position mondiale (75e en 2012), tandis que la Maroc perd quelque points de classement, à la 91e place (88e en 2012) et la Mauritanie est à la 119e position (123e en 2012). L’Algérie « remonte » de la 105e (en 2012) à la 94e place et se maintient dans le giron des pays les plus corrompus dans le monde.
Source et rédaction CRIDEM