Le Congrès du Parlement mauritanien, composé des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat réunis ensemble, a approuvé mardi (mars 2012) à Nouakchott des amendements constitutionnels touchant plusieurs domaines politique, culturel et social, a constaté APA à Nouakchott.
Ces amendements stipulent l’alternance au pouvoir et la criminalisation des coups d’Etat militaires et garantissent l’égalité de chances entre les hommes et les femmes dans l’accès aux mandats et fonctions électifs.
Ils insistent sur l’égalité de tous citoyens devant la loi et sur la criminalisation de l’esclavage ou de toute autre forme d’exploitation de l’homme. De telles pratiques peuvent être assimilées à des « crime contre l’humanité », ont souligné les nouvelles dispositions qui reconnaissent l’arabe comme « langue officielle de l’Etat » et le pullar, le soninké et le wolof comme « héritage commun à tous les Mauritaniens ».
Ces amendements sont issus des recommandations du dialogue organisé en septembre et octobre derniers à Nouakchott entre la majorité présidentielle et certains partis d’opposition.
Ces derniers comprennent l’Alliance populaire progressiste (APP) de Messaoud Ould Boulkheir, président de l’Assemblée nationale, alors que l’opposition boycotteuse comprend le Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah et les Islamistes de Tawassoul
Agence de Presse Africaine
source:cridem
Ces amendements stipulent l’alternance au pouvoir et la criminalisation des coups d’Etat militaires et garantissent l’égalité de chances entre les hommes et les femmes dans l’accès aux mandats et fonctions électifs.
Ils insistent sur l’égalité de tous citoyens devant la loi et sur la criminalisation de l’esclavage ou de toute autre forme d’exploitation de l’homme. De telles pratiques peuvent être assimilées à des « crime contre l’humanité », ont souligné les nouvelles dispositions qui reconnaissent l’arabe comme « langue officielle de l’Etat » et le pullar, le soninké et le wolof comme « héritage commun à tous les Mauritaniens ».
Ces amendements sont issus des recommandations du dialogue organisé en septembre et octobre derniers à Nouakchott entre la majorité présidentielle et certains partis d’opposition.
Ces derniers comprennent l’Alliance populaire progressiste (APP) de Messaoud Ould Boulkheir, président de l’Assemblée nationale, alors que l’opposition boycotteuse comprend le Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah et les Islamistes de Tawassoul
Agence de Presse Africaine
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