La 3ème conférence des premières Dames d’Afrique réunies au sein de l’ONG Synergies africaines s’ouvre jeudi au Palais des Congrès de Niamey, sous la présidence du Chef de l’Etat nigérien, Mamadou Tandja, avec pour thème : « Naître et grandir en Afrique, un défi pour les systèmes de santé », a appris APA, de source officielle.
Cette conférence d’une journée coïncide avec le cinquième anniversaire de Synergies africaines, regroupement des premières Dames d’Afrique ainsi que des personnes physiques ou morales de bonne volonté et des scientifiques qui contribuent à la vie active de l’association.
Elle « témoigne une fois de plus de notre ferme volonté de continuer d’œuvrer et de soutenir les initiatives prises par nos gouvernements respectifs pour atteindre les objectifs du millénaire » a indiqué la vice-présidente de Synergies africaines, la Nigérienne, Hadjia Laraba Tandja.
Placée sous le thème « naître et grandir en Afrique : un défi pour les systèmes de santé en Afrique, cette conférence « illustre parfaitement notre engagement à répondre aux grands défis qui se posent à notre continent », a ajouté Laraba Tandja.
Ce thème, a-t-elle poursuivi, « est d’une importance capitale, car de par son contenu, il exprime toutes les équivoques que posent les problèmes de santé en Afrique ».
Pour la vice-présidente de Synergies africaines « loin de faire un bilan et d’avoir la prétention d’apporter les solutions aux grands défis africains, nous sommes convaincues de la vertu de la solidarité africaine ».
Laraba Tandja a souhaité que cette solidarité africaine nous permette « d’apporter notre pierre à la recherche de solutions aux problèmes de santé ainsi que les souffrances des populations africaines ».
L’Afrique demeure le continent où se trouve le plus nombre de malades de sida.
La conférence de Niamey s’ouvre en présence d’une quinzaine de délégations venues d’Algérie, du Bénin, du Burkina, du Congo, du Cameroun, du Mozambique, de la Guinée Equatoriale, du Maroc, du Mali, du Sénégal, du Tchad, du Togo, de la Guinée, de la Mauritanie et du Niger.
Synergies africaines a été créée en novembre 2002 à Yaoundé (Cameroun) par les épouses des Chefs d’Etat du continent qui se sont fixé plusieurs objectifs afin de contribuer à la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile en Afrique.
Elles se sont engagées à organiser un espace propice à la promotion des valeurs africaines par le dialogue, les échanges d’idées et d’expériences et apporter leur contribution a la lutte contre la pauvreté et la malnutrition sur le continent africain.
La conférence de Niamey se tient après celles de Yaoundé en 2002 et Ouagadougou en 2005.
Source: APA
(M)
Cette conférence d’une journée coïncide avec le cinquième anniversaire de Synergies africaines, regroupement des premières Dames d’Afrique ainsi que des personnes physiques ou morales de bonne volonté et des scientifiques qui contribuent à la vie active de l’association.
Elle « témoigne une fois de plus de notre ferme volonté de continuer d’œuvrer et de soutenir les initiatives prises par nos gouvernements respectifs pour atteindre les objectifs du millénaire » a indiqué la vice-présidente de Synergies africaines, la Nigérienne, Hadjia Laraba Tandja.
Placée sous le thème « naître et grandir en Afrique : un défi pour les systèmes de santé en Afrique, cette conférence « illustre parfaitement notre engagement à répondre aux grands défis qui se posent à notre continent », a ajouté Laraba Tandja.
Ce thème, a-t-elle poursuivi, « est d’une importance capitale, car de par son contenu, il exprime toutes les équivoques que posent les problèmes de santé en Afrique ».
Pour la vice-présidente de Synergies africaines « loin de faire un bilan et d’avoir la prétention d’apporter les solutions aux grands défis africains, nous sommes convaincues de la vertu de la solidarité africaine ».
Laraba Tandja a souhaité que cette solidarité africaine nous permette « d’apporter notre pierre à la recherche de solutions aux problèmes de santé ainsi que les souffrances des populations africaines ».
L’Afrique demeure le continent où se trouve le plus nombre de malades de sida.
La conférence de Niamey s’ouvre en présence d’une quinzaine de délégations venues d’Algérie, du Bénin, du Burkina, du Congo, du Cameroun, du Mozambique, de la Guinée Equatoriale, du Maroc, du Mali, du Sénégal, du Tchad, du Togo, de la Guinée, de la Mauritanie et du Niger.
Synergies africaines a été créée en novembre 2002 à Yaoundé (Cameroun) par les épouses des Chefs d’Etat du continent qui se sont fixé plusieurs objectifs afin de contribuer à la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile en Afrique.
Elles se sont engagées à organiser un espace propice à la promotion des valeurs africaines par le dialogue, les échanges d’idées et d’expériences et apporter leur contribution a la lutte contre la pauvreté et la malnutrition sur le continent africain.
La conférence de Niamey se tient après celles de Yaoundé en 2002 et Ouagadougou en 2005.
Source: APA
(M)