les démocrates qui se battent pour la fin de l'impunité et de l'injustice liberticide en Mauritanie ont de quoi se réjouir, et surtout, de bonnes raisons de continuer la lutte qu'ils ont entamée de longue date contre toute forme de discrimination et d'atteinte aux droits de l'homme dans notre pays.
Les dates des 30 juin et du 1er juillet, en même temps que la désormais ville-symbole de Nîmes, dans le Gard, apportent encore une contribution de taille à la mémoire des combats en faveur de la paix et de la justice sociale en Mauritanie.
C'est le lieu également d'adresser nos plus sincères remerciements à toutes les organisations qui ont soutenu ce combat : la FIDH, la LDH, Agir Ensemble se sont particulièrement signalées par leur dynamisme et leur soutien inconditionnel ; les mouvements mauritaniens, quelle qu'ait été leur sensibilité, ont fait montre de grandeur en travaillant main dans la main, et en ne se trompant pas sur l'essentiel, à savoir faire en sorte que justice fût dite.
Cependant, point n'est encore temps de dormir sur nos lauriers ; de nombreuses questions restent encore en l'état dans notre pays. Nîmes n'était qu'une étape. L'horizon, c'est une Mauritanie unie, plurielle, solidaire, juste, donc réconciliée avec elle-même.
Voilà pourquoi, nous lançons vivement un appel en direction de toutes les composantes de l'opposition mauritanienne, en dehors comme à l'intérieur du pays, de se donner la main, et de travailler dans l'union, en ayant à l'esprit le seul combat qui vaille : une Mauritanie de démocratie et de liberté.
Chevillée et adossée à ce credo, AVOMM, se bat tous les jours et fait en sorte que des mains de secours soient tendues à tous les enfants des victimes de la répression et qui sont restés au pays. Cette année, cinq cents d'entre eux ont reçu notre aide. Le souvenir de leurs pères vaut bien ce geste ; mieux il vaut notre engagement sans faille dans le temps et dans l'espace.
Si de cet investissement naissait une Mauritanie de libertés, nos chantiers n'auraient pas été vains. Gardons le cap !
Les dates des 30 juin et du 1er juillet, en même temps que la désormais ville-symbole de Nîmes, dans le Gard, apportent encore une contribution de taille à la mémoire des combats en faveur de la paix et de la justice sociale en Mauritanie.
C'est le lieu également d'adresser nos plus sincères remerciements à toutes les organisations qui ont soutenu ce combat : la FIDH, la LDH, Agir Ensemble se sont particulièrement signalées par leur dynamisme et leur soutien inconditionnel ; les mouvements mauritaniens, quelle qu'ait été leur sensibilité, ont fait montre de grandeur en travaillant main dans la main, et en ne se trompant pas sur l'essentiel, à savoir faire en sorte que justice fût dite.
Cependant, point n'est encore temps de dormir sur nos lauriers ; de nombreuses questions restent encore en l'état dans notre pays. Nîmes n'était qu'une étape. L'horizon, c'est une Mauritanie unie, plurielle, solidaire, juste, donc réconciliée avec elle-même.
Voilà pourquoi, nous lançons vivement un appel en direction de toutes les composantes de l'opposition mauritanienne, en dehors comme à l'intérieur du pays, de se donner la main, et de travailler dans l'union, en ayant à l'esprit le seul combat qui vaille : une Mauritanie de démocratie et de liberté.
Chevillée et adossée à ce credo, AVOMM, se bat tous les jours et fait en sorte que des mains de secours soient tendues à tous les enfants des victimes de la répression et qui sont restés au pays. Cette année, cinq cents d'entre eux ont reçu notre aide. Le souvenir de leurs pères vaut bien ce geste ; mieux il vaut notre engagement sans faille dans le temps et dans l'espace.
Si de cet investissement naissait une Mauritanie de libertés, nos chantiers n'auraient pas été vains. Gardons le cap !