L'histoire des forces politiques constituant l’Alliance Populaire Progressiste a marqué le paysage de la Mauritanie ces dernières décennies (FDUC, UFD, A C pour ne parler que de celles là).
N’étant pas un art, mais une science enseignée dans les plus préstigeuses écoles de la planète terre ; la politique à pour essence de prendre le pouvoir et ou à y être associé.
L’indécence et l’inacceptable et de reprocher à l’APP de vouloir s’impliquer dans la prise du pouvoir en Mauritanie. Car, sans volonté d’accès au pouvoir, un parti politique n’a plus sa raison d’être.
Il faut donc faut distinguer ce parti politique, qui porte un programme d’envergure nationale, des visions pernicieuses et fallacieuses fondées sur des aspirations féodales et petites bourgeoises. L’on ne peut considérer qu’un parti politique puisse prendre une décision souveraine et démocratique, qu’ en fonction des « origines asservies » de ses dirigeants.
Là, comme dirait un ami, « c’est fort de café ».
Nous revenons à la case de départ !
Tout le sens du combat d’une élite pendant de plus de 40 années durant, s’étant donnée avec abnégation à la cause des justes.
Nous y sommes, malgré l’évolution de la société, en particulier, il est inacceptable de confiner des hommes et des femmes à leur rang social.
En créant leurs organisations politiques, ils ont coupé à jamais le cordon avec l’assujetissement, les allégeances et toutes les visions de la sorte de « EL ABD ITEM ILA ABD WE LEW ADIT ZEMBAHTOU MIN IDEHB » (l’esclave restera esclave même si son gosier est en or), ou « MATIOUDO WAWA ARDADE » (l’esclave ne pourra pas diriger).
« Le préjugé porte l’homme à mépriser celui qui a été son inférieur, longtemps encore après qu’il soit devenu son égal ; à l’inégalité réelle que produit la fortune ou la loi, succède toujours une inégalité imaginaire qui a ses racines dans les mœurs ».
Quoi de plus fictif qu’une supériorité purement légale ? Si l’inégalité créée seulement par la loi est si difficile à déraciner, comment détruire, en Mauritanie, celle qui semble, en outre, avoir ses fondements immuables dans la nature elle même de nos hommes politiques et autres faiseurs d’opinion?
L’influence de l’imaginaire de l’esclavage, en particulier chez les mauritaniens, s’étend encore plus loin ; elle pénètre même jusque dans l’âme de certains hommes politiques, qui briguent le suffrage à l’investiture et impriment une direction particulière à leurs idées et à leurs goûts.
Comment concevoir l’existence de plusieurs citoyens éternellement pliés sous l’infamie et livrés à des misères héréditaires ?
Toutes ces questions et bien d’autres, sont posées sur et ou par le choix de notre parti, de soutenir le candidat Sidi Ould Cheikh Abdallahi, au deuxiéme tour de l’élection présidentielle le 25/03/07
Le choix d’APP et de sa direction a détruit à jamais des préjugés plus insaisissables et plus tenaces, ceux de principes de circonstance, de maîtres à penser, de race et de classe. APP n’a pas des DEUK-TOUYOUR « gaveurs d’oiseaux » (docteurs) pour lui rédiger son projet de société, lui indiquer ses chemins, ses alliances, sa tactique, sa stratégie et encore moins des ZOURN-ARTISTES « médisance » pour vulgariser ses années de luttes ou faire les éloges pernicieuses des ses dirigeants. Ces derniers se sont forgés en Mauritanie, dans les prestigieuses Universités des KEBAA, ( sis 1000, rue de la Fontaine d’eau boueuse), par des cours inégalés d’imminents Professeurs, de femmes enguenillées, d’hommes aux mains gracieuses (avec des petits métiers) et d’enfants aux côtes saillantes et aux ventres ballonnés.
Par principe, nos mémoires vivaces ont retenues leur magistral enseignement et leurs précieux dogmes sur le procès de strapontins et de douteuses transactions.
Les «Strapontins» que veulent alors nos contradicteurs, du camp du président du RFD, très certainement pas l’hypothétique Mairie de GAD INITI et à l’attente à THIEH DIENTHIOU des programmes, de l’éventuelle verdure de la plaine de ANOO.
Par les strapontins, nous déciderons avec nos partenaires d’aujourd’hui et avec nos compatriotes (toutes forces confondues), des résolutions des multiples questions posées au pays.
Nous rechercherons, comme toujours, les meilleurs remèdes avec toutes les forces, y compris, celles de nos anciens compagnons devenus nos adversaires.
Les militants d’APP retiennent et retiendrons encore que, tout est permis aux autres; d’avoir dans leur rang d’anciens dignitaires des régimes déchus, de faire des alliances « contre nature », mais pas eux.
Pourquoi deux poids, deux mesures ? La réponse «Messaoud MAGUID E GOUD » et la nouvelle trouvaille « il s’est vendu comme un vulgaire esclave pour la modique somme de ...millions et une maison ».
C’est trouvé et on oublie que d’autres « personnages devenus honorables et pas d’origines asservies se sont vendus pour moins que ça.
« X OULD Y ite vem! »
Dommage, tes investigations sur la transaction financière, auraient éclairé les mauritaniens et l’opinion publique sur un cas unique dans l’histoire de l’humanité : « un parti en Mauritanie, de plus de cinquante ans d’expérience de lutte farouche, et son leader, premier symbole et référent des sans voix de toute une génération de combattants de la première heure, se vendant de son propre chef « lol ».
« Par principe », les militants d’APP n’oublient et n’oublieront jamais tous les « enfants faits dans nos dos » toutes ses années de lutte, tous ceux qui étaient d’illustres inconnus, que l’ont n’a jamais cesser de porter sur nos échines, de soutenir par convictions et par principe pour arriver ensemble au pouvoir.
Ils n’oublient pas leurs soutiens massifs aux épaves politiques aux élections de 1992 à 2007, alors que dans leur sein, des femmes et des hommes étaient à même de porter le bon choix sous le régime déchu et ses pilliers…, des campagnes de dénigrements faites par tous…, des élus de nos rangs accueillis à bras ouvert et ou débauchés par nos soi-disant partenaires…
Aujourd’hui en Mauritanie, il y a deux camps certes, mais éclatés. De chaque côté, s’y trouvent les forces de changement et l’Alliance Populaire Progressiste, qui en est l’avant garde et le moteur capables de libérer un potentiel d’énergies et de forces nouvelles, avec l’exigence d’une recomposition du champ politique autour d’enjeux réels avec le rejet des tergiversations politiciennes.
L’histoire retiendra qu’APP a fait souverainement et démocratiquement le bon choix, celui de Sidi Ould Cheikh Abdallahi, pour mettre fin à la dérive tragique de la caravelle Mauritanie. L’APP, avec des femmes, des jeunes et des hommes patriotes de toutes conditions, a marqué et marquera par un sceaux indélébile cette étape de notre devenir si douloureux et s’attellera à y mettre fin pour toujours.
Les déclarations sans ambiguïtés, le combat sans relâche et l’abnégation, durant plus de 30 ans de Messaoud et de ses compagnons d’infortune, sont et seront à laisser pour études aux universitaires, à nos chercheurs et à tous publics, pour être enseignés avec révérence à nos enfants.
Aujourd'hui, dans l’imaginaire de nos compatriotes, il est, avec son parti, le premier rempart à l’oligarchie, il est le citoyen référent, faiseurs de roi, par principe et par choix.
L’abstention et le vote pour l’autre camp (Ahmed Ould Daddah) est une démission en soi.
Baba Ould Jiddou
N’étant pas un art, mais une science enseignée dans les plus préstigeuses écoles de la planète terre ; la politique à pour essence de prendre le pouvoir et ou à y être associé.
L’indécence et l’inacceptable et de reprocher à l’APP de vouloir s’impliquer dans la prise du pouvoir en Mauritanie. Car, sans volonté d’accès au pouvoir, un parti politique n’a plus sa raison d’être.
Il faut donc faut distinguer ce parti politique, qui porte un programme d’envergure nationale, des visions pernicieuses et fallacieuses fondées sur des aspirations féodales et petites bourgeoises. L’on ne peut considérer qu’un parti politique puisse prendre une décision souveraine et démocratique, qu’ en fonction des « origines asservies » de ses dirigeants.
Là, comme dirait un ami, « c’est fort de café ».
Nous revenons à la case de départ !
Tout le sens du combat d’une élite pendant de plus de 40 années durant, s’étant donnée avec abnégation à la cause des justes.
Nous y sommes, malgré l’évolution de la société, en particulier, il est inacceptable de confiner des hommes et des femmes à leur rang social.
En créant leurs organisations politiques, ils ont coupé à jamais le cordon avec l’assujetissement, les allégeances et toutes les visions de la sorte de « EL ABD ITEM ILA ABD WE LEW ADIT ZEMBAHTOU MIN IDEHB » (l’esclave restera esclave même si son gosier est en or), ou « MATIOUDO WAWA ARDADE » (l’esclave ne pourra pas diriger).
« Le préjugé porte l’homme à mépriser celui qui a été son inférieur, longtemps encore après qu’il soit devenu son égal ; à l’inégalité réelle que produit la fortune ou la loi, succède toujours une inégalité imaginaire qui a ses racines dans les mœurs ».
Quoi de plus fictif qu’une supériorité purement légale ? Si l’inégalité créée seulement par la loi est si difficile à déraciner, comment détruire, en Mauritanie, celle qui semble, en outre, avoir ses fondements immuables dans la nature elle même de nos hommes politiques et autres faiseurs d’opinion?
L’influence de l’imaginaire de l’esclavage, en particulier chez les mauritaniens, s’étend encore plus loin ; elle pénètre même jusque dans l’âme de certains hommes politiques, qui briguent le suffrage à l’investiture et impriment une direction particulière à leurs idées et à leurs goûts.
Comment concevoir l’existence de plusieurs citoyens éternellement pliés sous l’infamie et livrés à des misères héréditaires ?
Toutes ces questions et bien d’autres, sont posées sur et ou par le choix de notre parti, de soutenir le candidat Sidi Ould Cheikh Abdallahi, au deuxiéme tour de l’élection présidentielle le 25/03/07
Le choix d’APP et de sa direction a détruit à jamais des préjugés plus insaisissables et plus tenaces, ceux de principes de circonstance, de maîtres à penser, de race et de classe. APP n’a pas des DEUK-TOUYOUR « gaveurs d’oiseaux » (docteurs) pour lui rédiger son projet de société, lui indiquer ses chemins, ses alliances, sa tactique, sa stratégie et encore moins des ZOURN-ARTISTES « médisance » pour vulgariser ses années de luttes ou faire les éloges pernicieuses des ses dirigeants. Ces derniers se sont forgés en Mauritanie, dans les prestigieuses Universités des KEBAA, ( sis 1000, rue de la Fontaine d’eau boueuse), par des cours inégalés d’imminents Professeurs, de femmes enguenillées, d’hommes aux mains gracieuses (avec des petits métiers) et d’enfants aux côtes saillantes et aux ventres ballonnés.
Par principe, nos mémoires vivaces ont retenues leur magistral enseignement et leurs précieux dogmes sur le procès de strapontins et de douteuses transactions.
Les «Strapontins» que veulent alors nos contradicteurs, du camp du président du RFD, très certainement pas l’hypothétique Mairie de GAD INITI et à l’attente à THIEH DIENTHIOU des programmes, de l’éventuelle verdure de la plaine de ANOO.
Par les strapontins, nous déciderons avec nos partenaires d’aujourd’hui et avec nos compatriotes (toutes forces confondues), des résolutions des multiples questions posées au pays.
Nous rechercherons, comme toujours, les meilleurs remèdes avec toutes les forces, y compris, celles de nos anciens compagnons devenus nos adversaires.
Les militants d’APP retiennent et retiendrons encore que, tout est permis aux autres; d’avoir dans leur rang d’anciens dignitaires des régimes déchus, de faire des alliances « contre nature », mais pas eux.
Pourquoi deux poids, deux mesures ? La réponse «Messaoud MAGUID E GOUD » et la nouvelle trouvaille « il s’est vendu comme un vulgaire esclave pour la modique somme de ...millions et une maison ».
C’est trouvé et on oublie que d’autres « personnages devenus honorables et pas d’origines asservies se sont vendus pour moins que ça.
« X OULD Y ite vem! »
Dommage, tes investigations sur la transaction financière, auraient éclairé les mauritaniens et l’opinion publique sur un cas unique dans l’histoire de l’humanité : « un parti en Mauritanie, de plus de cinquante ans d’expérience de lutte farouche, et son leader, premier symbole et référent des sans voix de toute une génération de combattants de la première heure, se vendant de son propre chef « lol ».
« Par principe », les militants d’APP n’oublient et n’oublieront jamais tous les « enfants faits dans nos dos » toutes ses années de lutte, tous ceux qui étaient d’illustres inconnus, que l’ont n’a jamais cesser de porter sur nos échines, de soutenir par convictions et par principe pour arriver ensemble au pouvoir.
Ils n’oublient pas leurs soutiens massifs aux épaves politiques aux élections de 1992 à 2007, alors que dans leur sein, des femmes et des hommes étaient à même de porter le bon choix sous le régime déchu et ses pilliers…, des campagnes de dénigrements faites par tous…, des élus de nos rangs accueillis à bras ouvert et ou débauchés par nos soi-disant partenaires…
Aujourd’hui en Mauritanie, il y a deux camps certes, mais éclatés. De chaque côté, s’y trouvent les forces de changement et l’Alliance Populaire Progressiste, qui en est l’avant garde et le moteur capables de libérer un potentiel d’énergies et de forces nouvelles, avec l’exigence d’une recomposition du champ politique autour d’enjeux réels avec le rejet des tergiversations politiciennes.
L’histoire retiendra qu’APP a fait souverainement et démocratiquement le bon choix, celui de Sidi Ould Cheikh Abdallahi, pour mettre fin à la dérive tragique de la caravelle Mauritanie. L’APP, avec des femmes, des jeunes et des hommes patriotes de toutes conditions, a marqué et marquera par un sceaux indélébile cette étape de notre devenir si douloureux et s’attellera à y mettre fin pour toujours.
Les déclarations sans ambiguïtés, le combat sans relâche et l’abnégation, durant plus de 30 ans de Messaoud et de ses compagnons d’infortune, sont et seront à laisser pour études aux universitaires, à nos chercheurs et à tous publics, pour être enseignés avec révérence à nos enfants.
Aujourd'hui, dans l’imaginaire de nos compatriotes, il est, avec son parti, le premier rempart à l’oligarchie, il est le citoyen référent, faiseurs de roi, par principe et par choix.
L’abstention et le vote pour l’autre camp (Ahmed Ould Daddah) est une démission en soi.
Baba Ould Jiddou