Les cinq partis de l'opposition ont appelé les citoyens à s'éloigner de "l'anarchie et de tout ce qui est de nature à nuire à la paix et à la sécurité publiques et de prendre le style du meeting de l'opposition comme modèle de protestation forte et responsable". Ils ont aussi appelé les pouvoirs publics à "accélérer la prise de mesures sérieuses en vue d'alléger la souffrance consécutive aux conditions de vie des citoyens".
Ces appels sont contenus dans un communiqué rendu public jeudi soir par ces partis politiques (l'Alliance pour la justice et la démocratie / rénovation, le parti HATEM, le RFD, l'UFP et le parti TAWASSOUL) et donc l'AMI a reçu une copie.
Les 5 partis ont réaffirmé "la poursuite des contacts et du dialogue avec les autorités en tant meilleur moyen de résoudre les problèmes du pays, d'alléger la souffrance des citoyens, de réaliser la sécurité, la stabilité et la prospérité et de surmonter la grave situation que connaît le pays actuellement".
Le communiqué a insisté sur l'attachement des partis de l'opposition au "droit des citoyens à militer pour exprimer leur souffrance et réclamer leurs droits fondamentaux légitimes, en utilisant tous les moyens et méthodes pacifiques garantis par la constitution et par la loi".
Il a ajouté que ces partis "rejettent catégoriquement tout agissement exposant au danger la sécurité des citoyens et celle de leurs biens publics et privés tout en mettant en garde contre les mouvements conduits par les forces suspectes en vue de perturber la stabilité dans le but de reprendre leur rôle dans l'orientation du pays".
Les 5 partis de l'opposition ont aussi appelé "les pouvoirs publics à empêcher l'usage excessif et non justifié de la force par les forces de sécurité à l'encontre des citoyens et à ouvrir une enquête au sujet des atteintes graves de certains citoyens et éléments des forces de sécurité dans certaines zones du pays".
"Les protestations spontanées qui ont eu lieu dans les zones les plus pauvres du pays apportent la preuve sur la gravité et la sensibilité de la situation", a souligné le communiqué.
Il a enfin critiqué ce qu'il a appelé "l'attitude musclée adoptée face à ces protestations dans certaines régions du pays, ce qui a conduit la situation à empirer entre les forces de sécurité et les manifestants, causant, dans certains cas, des dégâts importants sur les biens publics et privés".
AMI
Ces appels sont contenus dans un communiqué rendu public jeudi soir par ces partis politiques (l'Alliance pour la justice et la démocratie / rénovation, le parti HATEM, le RFD, l'UFP et le parti TAWASSOUL) et donc l'AMI a reçu une copie.
Les 5 partis ont réaffirmé "la poursuite des contacts et du dialogue avec les autorités en tant meilleur moyen de résoudre les problèmes du pays, d'alléger la souffrance des citoyens, de réaliser la sécurité, la stabilité et la prospérité et de surmonter la grave situation que connaît le pays actuellement".
Le communiqué a insisté sur l'attachement des partis de l'opposition au "droit des citoyens à militer pour exprimer leur souffrance et réclamer leurs droits fondamentaux légitimes, en utilisant tous les moyens et méthodes pacifiques garantis par la constitution et par la loi".
Il a ajouté que ces partis "rejettent catégoriquement tout agissement exposant au danger la sécurité des citoyens et celle de leurs biens publics et privés tout en mettant en garde contre les mouvements conduits par les forces suspectes en vue de perturber la stabilité dans le but de reprendre leur rôle dans l'orientation du pays".
Les 5 partis de l'opposition ont aussi appelé "les pouvoirs publics à empêcher l'usage excessif et non justifié de la force par les forces de sécurité à l'encontre des citoyens et à ouvrir une enquête au sujet des atteintes graves de certains citoyens et éléments des forces de sécurité dans certaines zones du pays".
"Les protestations spontanées qui ont eu lieu dans les zones les plus pauvres du pays apportent la preuve sur la gravité et la sensibilité de la situation", a souligné le communiqué.
Il a enfin critiqué ce qu'il a appelé "l'attitude musclée adoptée face à ces protestations dans certaines régions du pays, ce qui a conduit la situation à empirer entre les forces de sécurité et les manifestants, causant, dans certains cas, des dégâts importants sur les biens publics et privés".
AMI