La Coordination de l’opposition démocratique (COD) de la Mauritanie a vivement dénoncé le traitement de l’actualité nationale par la télévision d'Etat, l'accusant de mener «une campagne de propagande».
Dans une déclaration publiée vendredi à Nouakchott, la COD désapprouve le traitement de l’actualité nationale à travers "des émissions de propagande, des chansons et des images faisant l’apologie» du chef de l’Etat, Mohamed Ould Abdel Aziz.
Elle demande l’arrêt de "cette propagande pour un traitement objectif de l’information et des événements».
Selon la COD, la diffusion d’émissions à caractère de propagande dans le contexte mauritanien actuel dénote «du manque de sérieux de la télévision nationale et ne contribue pas à la recherche de la vérité qui devrait constituer la principale mission d’un organe d’information de service public».
Depuis quelques jours, la télévision diffuse des images sur fond de chansons montrant le président Aziz menant différentes activités, dont des visites de terrain.
Blessé par balles, le président mauritanien est en convalescence en France où il a été évacué depuis le 14 octobre dernier.
L’opposition exige son bulletin de santé et réclame un pouvoir transitoire consensuel pour pallier «un vide constitutionnel».
Source: PANA
Dans une déclaration publiée vendredi à Nouakchott, la COD désapprouve le traitement de l’actualité nationale à travers "des émissions de propagande, des chansons et des images faisant l’apologie» du chef de l’Etat, Mohamed Ould Abdel Aziz.
Elle demande l’arrêt de "cette propagande pour un traitement objectif de l’information et des événements».
Selon la COD, la diffusion d’émissions à caractère de propagande dans le contexte mauritanien actuel dénote «du manque de sérieux de la télévision nationale et ne contribue pas à la recherche de la vérité qui devrait constituer la principale mission d’un organe d’information de service public».
Depuis quelques jours, la télévision diffuse des images sur fond de chansons montrant le président Aziz menant différentes activités, dont des visites de terrain.
Blessé par balles, le président mauritanien est en convalescence en France où il a été évacué depuis le 14 octobre dernier.
L’opposition exige son bulletin de santé et réclame un pouvoir transitoire consensuel pour pallier «un vide constitutionnel».
Source: PANA