L'Union Générale des Etudiants Mauritaniens a réclamé samedi "la libération immédiate de l'ensemble des étudiants arrêtés" à l'Université de Nouakchott, selon un communiqué parvenu à Alakhbar.
L'UGEM a également rejeté "toute décision d'expulsion sans concertation avec les syndicats estudiantins" dénonçant "la violence qui a visé le personnel de l'université et particulièrement nos respectueux professeurs".
L'UGEM a aussi condamné "la profanation du drapeau national" tout rappelant que les revendications légitimes des étudiants "ne peuvent pas se réaliser au détriment des constantes nationales".
Le syndicat estudiantin, qui n'a pas participé dans la grève, a réaffirmé "son attachement au principe du dialogue et ses pacifiques méthodes pour aboutir à la réalisation des doléances estudiantines".
Il a adressé un appel à l'ensemble des étudiants, au sein ou en dehors des syndicats, en vue de renforcer l'unité estudiantine pour mettre en échec les réflexes étroits aux conséquences imprévisibles.
Source: alakhbar
L'UGEM a également rejeté "toute décision d'expulsion sans concertation avec les syndicats estudiantins" dénonçant "la violence qui a visé le personnel de l'université et particulièrement nos respectueux professeurs".
L'UGEM a aussi condamné "la profanation du drapeau national" tout rappelant que les revendications légitimes des étudiants "ne peuvent pas se réaliser au détriment des constantes nationales".
Le syndicat estudiantin, qui n'a pas participé dans la grève, a réaffirmé "son attachement au principe du dialogue et ses pacifiques méthodes pour aboutir à la réalisation des doléances estudiantines".
Il a adressé un appel à l'ensemble des étudiants, au sein ou en dehors des syndicats, en vue de renforcer l'unité estudiantine pour mettre en échec les réflexes étroits aux conséquences imprévisibles.
Source: alakhbar