Les journées nationales de concertation sur le retour des réfugiés mauritaniens et le règlement du passif humanitaire ont été clôturées jeudi après-midi à Nouakchott. Le rôle du Président de la République et de certaines autres personnalités a été déterminant dans l’organisation et la réussite de cette rencontre…
Les participants à cette rencontre historique ne s’y sont pas trompés, en lui adressant une motion particulière pour « la volonté politique et le courage » qui l’animent. Le Président de la République Sidioca, chef d’orchestre incontesté depuis plusieurs mois de cette partition en plusieurs actes du retour de nos concitoyens, aura été au sortir de ces journées celui dont le rôle sort agrandi et continue d’être salué par tous.
On sait déjà que la consolidation de l’unité nationale et le raffermissement de la cohésion sociale étaient placés au cœur de son programme électoral durant la campagne présidentielle. Mais les choses ont réellement commencé à se dessiner pour Sidioca dans son vibrant « Appel du 29 juin » dernier, lancé à « tous les Mauritaniens ».
Dans cet Appel aux accents de repentance, il prônait avec force et convictions «l’unité nationale et la cohésion sociale entre toutes les composantes de notre peuple», reconnaissait avec beaucoup d’humilité «les exactions graves et injustifiées faites à l’encontre de paisibles citoyens mauritaniens à l’intérieur et à l’extérieur du pays ainsi que des résidents établis en Mauritanie durant les années 1989-1991» et exprimait au nom de la République, pour la première fois depuis ces douloureux événements, sa compassion aux victimes.
Sidioca qui place désormais au premier rang des priorités gouvernementales la concorde sociale et l’unité nationale semble convaincu que cela passe d’abord par un retour digne et organisé de nos concitoyens déportés et le règlement définitif du passif humanitaire.
A ceux qui réclament notamment que le problème des «moussafrines» (Mauritaniens expulsés du Sénégal) et celui des «réfugiés et déportés» soit inscrit et posé dans un même ordre de priorité de l’action gouvernementale, Sidioca dira dans son discours d’ouverture de ces journées : «La sagesse nous commande d'ordonner les priorités ; de commencer par rétablir dans leur droit ceux qui ont subi l'injustice de la part de leur pays et de créer une atmosphère qui nous aide à faire face à l'ensemble de nos problèmes avec davantage d'unité, de fermeté et de capacité».
Déterminé et toujours égal à lui-même, Sidioca restera au sortir de ces journées dans les cœurs de la majorité de nos concitoyens comme notre cher «Abraham Lincoln» à nous tous, le Président paternel qui réconforte les peines de son peuple et qui ouvre une nouvelle page de la Mauritanie à réécrire.
source : L’Eveil Hebdo (Mauritanie)
Les participants à cette rencontre historique ne s’y sont pas trompés, en lui adressant une motion particulière pour « la volonté politique et le courage » qui l’animent. Le Président de la République Sidioca, chef d’orchestre incontesté depuis plusieurs mois de cette partition en plusieurs actes du retour de nos concitoyens, aura été au sortir de ces journées celui dont le rôle sort agrandi et continue d’être salué par tous.
On sait déjà que la consolidation de l’unité nationale et le raffermissement de la cohésion sociale étaient placés au cœur de son programme électoral durant la campagne présidentielle. Mais les choses ont réellement commencé à se dessiner pour Sidioca dans son vibrant « Appel du 29 juin » dernier, lancé à « tous les Mauritaniens ».
Dans cet Appel aux accents de repentance, il prônait avec force et convictions «l’unité nationale et la cohésion sociale entre toutes les composantes de notre peuple», reconnaissait avec beaucoup d’humilité «les exactions graves et injustifiées faites à l’encontre de paisibles citoyens mauritaniens à l’intérieur et à l’extérieur du pays ainsi que des résidents établis en Mauritanie durant les années 1989-1991» et exprimait au nom de la République, pour la première fois depuis ces douloureux événements, sa compassion aux victimes.
Sidioca qui place désormais au premier rang des priorités gouvernementales la concorde sociale et l’unité nationale semble convaincu que cela passe d’abord par un retour digne et organisé de nos concitoyens déportés et le règlement définitif du passif humanitaire.
A ceux qui réclament notamment que le problème des «moussafrines» (Mauritaniens expulsés du Sénégal) et celui des «réfugiés et déportés» soit inscrit et posé dans un même ordre de priorité de l’action gouvernementale, Sidioca dira dans son discours d’ouverture de ces journées : «La sagesse nous commande d'ordonner les priorités ; de commencer par rétablir dans leur droit ceux qui ont subi l'injustice de la part de leur pays et de créer une atmosphère qui nous aide à faire face à l'ensemble de nos problèmes avec davantage d'unité, de fermeté et de capacité».
Déterminé et toujours égal à lui-même, Sidioca restera au sortir de ces journées dans les cœurs de la majorité de nos concitoyens comme notre cher «Abraham Lincoln» à nous tous, le Président paternel qui réconforte les peines de son peuple et qui ouvre une nouvelle page de la Mauritanie à réécrire.
source : L’Eveil Hebdo (Mauritanie)