Ahmed Bezeid ould Beyrouck - 2014 : Résister ou subir
« Gare aux peuples qui n’ont pas de héros,
Gare aux peuples qui ont besoin de héros » - José Marti.
Les Mauritaniens rendent grâce à Dieu et disent «ouf» .Ils ont traversé 2013 dans la douleur et l’affliction. Heureusement, leur honneur n’a pas abdiqué. Ils se sont battus dignement, non seulement pour survivre, mais surtout pour ne point vivre une humiliation en quémandant ou en s’endettant.
2013 a été, certes pénible. Mais elle a été aussi l’année de vérité où Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, l’UPR et ses alliés ombrageux ont fait preuve de leur affreuse incapacité à apporter des réponses aux questions qui étranglent le peuple.
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz n’a d’ailleurs jamais essayé d’apporter des réponses aux questions sociales pour deux raisons : il en est incapable et il n’a que le temps d’une politique politicienne que les citoyens jugent abominable allant même jusqu'à jurer que Aziz qui fait impunément ce qui veut, commencerait à perdre le sens des réalités.
Et c’est bien un débat. Mais ce qui est sûr est que 2014 doit être l’année de l’opposition. Il faut faire face par les urnes ou par l’expression publique pour faire arrêter la tornade des coups politiques antirépublicains et anti-démocratiques. C’est la voie royale pour restauration de la dignité républicaine et du crédit de l’Etat.
Tout ce que ce peuple a conquis est tombé à terre. Le régime Aziz/l’UPR a été démasqué devant la Nation et la communauté internationale par ses pratiques nébuleuses et ses graves libéralités dans la gestion des finances publiques. Ce pays-la va tristement mal. Il va très mal. Sa situation est encore économiquement corrosive et socialement explosive.
Monsieur Aziz même, grand donneur de leçons, est devenu impopulaire et est de plus en plus marginalisé. Démocrate par la parole et monarque par l’action. La communauté nationale et internationale devrait se convaincre que cet homme-la n’est pas sûr s’il l’eut été d’ailleurs.
Il donne chaque jour un coup de main au recul de la démocratie. Son Etat est à son état. Il claudique. Il toussote. Il est prisonnier d’un parti familial personnalisé et cerné de bohémiens du jeu politique sorti on ne sait d’où. Le néant est partout.
L’économie nationale suffoque. La vie sociale est pire. La crise de confiance est là. L’image d’Ould Abdel Aziz dévalorisée par un culte atavique de personnalité. Le parlement n’est qu’une abstraction d’homologation de coups politique.
Aziz, le Prophète du changement qui a lieu-même trop changé et beaucoup changé sa cour, sans rien changer dans ce pays. Plus grave, l’Etat Aziz est resté ataraxique et apathique devant la flambée vertigineuse des prix. Mais tout est un échec dans ce pays.
Aziz, les Mauritaniens dans leur immense majorité n’en veulent plus. Lui, il continue toujours sa parade au moyen d’une propagande médiatique et d’une inflation da parole qu’à sa vue, le citoyen rechigne et le zappe. Il doit certainement en souffrir si on lui disait en toute vérité.
Aziz, n’a plus tous les atouts en main. Et rebattre les cartes, c’est perdre la maitrise de tout. 2014 sera-t-elle pire que 2013 pour ses projets politiques ? Le temps file en tout cas.
PS.
Je ne suis ni de l’Opposition
Ni de la Majorité Présidentielle
Je Suis Ailleurs
« A bon entendeur, salut »
Ahmed Bezeid Ould Beyrouck
via cridem
« Gare aux peuples qui n’ont pas de héros,
Gare aux peuples qui ont besoin de héros » - José Marti.
Les Mauritaniens rendent grâce à Dieu et disent «ouf» .Ils ont traversé 2013 dans la douleur et l’affliction. Heureusement, leur honneur n’a pas abdiqué. Ils se sont battus dignement, non seulement pour survivre, mais surtout pour ne point vivre une humiliation en quémandant ou en s’endettant.
2013 a été, certes pénible. Mais elle a été aussi l’année de vérité où Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, l’UPR et ses alliés ombrageux ont fait preuve de leur affreuse incapacité à apporter des réponses aux questions qui étranglent le peuple.
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz n’a d’ailleurs jamais essayé d’apporter des réponses aux questions sociales pour deux raisons : il en est incapable et il n’a que le temps d’une politique politicienne que les citoyens jugent abominable allant même jusqu'à jurer que Aziz qui fait impunément ce qui veut, commencerait à perdre le sens des réalités.
Et c’est bien un débat. Mais ce qui est sûr est que 2014 doit être l’année de l’opposition. Il faut faire face par les urnes ou par l’expression publique pour faire arrêter la tornade des coups politiques antirépublicains et anti-démocratiques. C’est la voie royale pour restauration de la dignité républicaine et du crédit de l’Etat.
Tout ce que ce peuple a conquis est tombé à terre. Le régime Aziz/l’UPR a été démasqué devant la Nation et la communauté internationale par ses pratiques nébuleuses et ses graves libéralités dans la gestion des finances publiques. Ce pays-la va tristement mal. Il va très mal. Sa situation est encore économiquement corrosive et socialement explosive.
Monsieur Aziz même, grand donneur de leçons, est devenu impopulaire et est de plus en plus marginalisé. Démocrate par la parole et monarque par l’action. La communauté nationale et internationale devrait se convaincre que cet homme-la n’est pas sûr s’il l’eut été d’ailleurs.
Il donne chaque jour un coup de main au recul de la démocratie. Son Etat est à son état. Il claudique. Il toussote. Il est prisonnier d’un parti familial personnalisé et cerné de bohémiens du jeu politique sorti on ne sait d’où. Le néant est partout.
L’économie nationale suffoque. La vie sociale est pire. La crise de confiance est là. L’image d’Ould Abdel Aziz dévalorisée par un culte atavique de personnalité. Le parlement n’est qu’une abstraction d’homologation de coups politique.
Aziz, le Prophète du changement qui a lieu-même trop changé et beaucoup changé sa cour, sans rien changer dans ce pays. Plus grave, l’Etat Aziz est resté ataraxique et apathique devant la flambée vertigineuse des prix. Mais tout est un échec dans ce pays.
Aziz, les Mauritaniens dans leur immense majorité n’en veulent plus. Lui, il continue toujours sa parade au moyen d’une propagande médiatique et d’une inflation da parole qu’à sa vue, le citoyen rechigne et le zappe. Il doit certainement en souffrir si on lui disait en toute vérité.
Aziz, n’a plus tous les atouts en main. Et rebattre les cartes, c’est perdre la maitrise de tout. 2014 sera-t-elle pire que 2013 pour ses projets politiques ? Le temps file en tout cas.
PS.
Je ne suis ni de l’Opposition
Ni de la Majorité Présidentielle
Je Suis Ailleurs
« A bon entendeur, salut »
Ahmed Bezeid Ould Beyrouck
via cridem