La polémique concernant nos prétendus "mensonges" ou 'manipulations" au sujet des propos tenus par M. Biram Ould Dah Ould Abeid lors de l'interview que le Président de l'IRA a accordée à KASSATAYA continue, par presse et médias interposés.
Pour lever l'équivoque et permettre, une bonne fois pour toutes, aux lecteurs et auditeurs de KASSATAYA, de se faire leur propre opinion, nous publions l’enregistrement de l’interview (dont la transcription est disponible ici).
Les propos qui ont inspiré le titre de l'article source de la polémique sont disponibles ici (en vidéo et en audio).
La rédaction de KASSATAYA met, pour clore cette polémique qu'elle juge stérile et contre productive, à la disposition de chacun les versions longues en vidéo et en audio (version longue en vidéo et en audio).
Au sujet de cette interview la rédaction de KASSATAYA souhaite apporter plusieurs élèments :
- Nous n'avons reçu AUCUNE remarque, ni droit de réponse, ni objection de la part de M. Biram Ould Dah concernant cette interview, son contenu et le papier d'analyse qui a suivi.
- Il nous a été reproché une certaine "lenteur" dans la mise en ligne de l'interview. Nous tenons à rappeler aux auditeurs et lecteurs que les journalistes de KASSATAYA sont TOUS des bénévoles, qui ménent de front leur vie professionnelle et leur engagement dans cette belle aventure qu'est KASSATAYA. Pour retranscrire cette longue interview, un seul journaliste a travaillé dessus, tout en continuant à assumer sa vie professionnelle. Ceci explique cela.
- Nous avons été taxé de comportement agressif. Qu'appelez vous "agressivité"? Aucun propos déplacé ou irrespectueux n’a été adressé à M. Ould Dah. Aucun. Il est vrai qu’il n’y avait pas, non plus, de révérence dans l’article qui, nous le rappelons, n’était qu’un papier d’analyse dont on peut partager ou pas le contenu et qui n’a jamais été présenté comme "propos de M. Ould Dah".
- Nous avons été critiqué sur l'emploi, dans le papier d'analyse qui a suivi l'interview, de l'expression "fonds de commerce". Concernant cette dernière, le sens et le contexte dans lesquels elle a été employée ont été largement expliqués. Libre à chacun de lui donner le sens qu’il veut.
- L'interview dont tout le monde a pu lire la retranscription s'est déroulée en présence du président et de la secrétaire générale d’IRA France. Comment imaginer, alors, que nous ayons pu manipuler ou falsifier quoi que ce soit, alors que des témoins étaient présents?
- Comment, ensuite, continuer à polémiquer sur le contenu de cette interview? A part vouloir faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, nier les propos tenus par M ould Dah relève, soit de la mauvaise foi, soit du mauvais procès. Ce n'est pas aux journalistes d'assumer les propos tenus par un homme politique, mais bien à ce dernier.
- A KASSATAYA, nous avons une ligne de conduite qui s'appelle la "déontologie". Nous y sommes fermement attachés. Manipuler, contrefaire, arranger, mentir..... nous ne savons pas faire. Nous donnons la parole à tous et à toutes les opinions, dans le respect. A chaque fois que nous avons interviewé une personnalité, de quelque couleur politique qu'elle soit, nous avons TOUJOURS mis un point d'honneur à la livrer dans ses moindres détails aux auditeurs, sans sacrifier au rituel en cours dans bien des rédactions, à savoir : des questions préparées à l'avance, des réponses "retravaillées" par l'homme politique, des enregsitrements " coupés", etc.....
La rédaction de KASSATAYA déplore le climat malsain qui prévaut depuis quelques jours et les insultes qu'elle reçoit. Mais, peut être est-ce ça aussi l'apprentissage de la démocratie dans un pays qui ne la découvre que depuis peu : la liberté de ne pas être d'accord. Mais, aussi, la liberté de pensée pour les journalistes qui essaient de faire leur travail, loin de toutes polémiques partisanes et des ayatollahs de la censure.
Pour nous, la polémique est définitivement close. Définitivement. Nous laissons les auditeurs et lecteurs qui nous font confiance depuis des années libres de se faire leur opinion.
Mariem mint DERWICH,
Rédactrice en chef
Source: Kassataya
Pour lever l'équivoque et permettre, une bonne fois pour toutes, aux lecteurs et auditeurs de KASSATAYA, de se faire leur propre opinion, nous publions l’enregistrement de l’interview (dont la transcription est disponible ici).
Les propos qui ont inspiré le titre de l'article source de la polémique sont disponibles ici (en vidéo et en audio).
La rédaction de KASSATAYA met, pour clore cette polémique qu'elle juge stérile et contre productive, à la disposition de chacun les versions longues en vidéo et en audio (version longue en vidéo et en audio).
Au sujet de cette interview la rédaction de KASSATAYA souhaite apporter plusieurs élèments :
- Nous n'avons reçu AUCUNE remarque, ni droit de réponse, ni objection de la part de M. Biram Ould Dah concernant cette interview, son contenu et le papier d'analyse qui a suivi.
- Il nous a été reproché une certaine "lenteur" dans la mise en ligne de l'interview. Nous tenons à rappeler aux auditeurs et lecteurs que les journalistes de KASSATAYA sont TOUS des bénévoles, qui ménent de front leur vie professionnelle et leur engagement dans cette belle aventure qu'est KASSATAYA. Pour retranscrire cette longue interview, un seul journaliste a travaillé dessus, tout en continuant à assumer sa vie professionnelle. Ceci explique cela.
- Nous avons été taxé de comportement agressif. Qu'appelez vous "agressivité"? Aucun propos déplacé ou irrespectueux n’a été adressé à M. Ould Dah. Aucun. Il est vrai qu’il n’y avait pas, non plus, de révérence dans l’article qui, nous le rappelons, n’était qu’un papier d’analyse dont on peut partager ou pas le contenu et qui n’a jamais été présenté comme "propos de M. Ould Dah".
- Nous avons été critiqué sur l'emploi, dans le papier d'analyse qui a suivi l'interview, de l'expression "fonds de commerce". Concernant cette dernière, le sens et le contexte dans lesquels elle a été employée ont été largement expliqués. Libre à chacun de lui donner le sens qu’il veut.
- L'interview dont tout le monde a pu lire la retranscription s'est déroulée en présence du président et de la secrétaire générale d’IRA France. Comment imaginer, alors, que nous ayons pu manipuler ou falsifier quoi que ce soit, alors que des témoins étaient présents?
- Comment, ensuite, continuer à polémiquer sur le contenu de cette interview? A part vouloir faire preuve de malhonnêteté intellectuelle, nier les propos tenus par M ould Dah relève, soit de la mauvaise foi, soit du mauvais procès. Ce n'est pas aux journalistes d'assumer les propos tenus par un homme politique, mais bien à ce dernier.
- A KASSATAYA, nous avons une ligne de conduite qui s'appelle la "déontologie". Nous y sommes fermement attachés. Manipuler, contrefaire, arranger, mentir..... nous ne savons pas faire. Nous donnons la parole à tous et à toutes les opinions, dans le respect. A chaque fois que nous avons interviewé une personnalité, de quelque couleur politique qu'elle soit, nous avons TOUJOURS mis un point d'honneur à la livrer dans ses moindres détails aux auditeurs, sans sacrifier au rituel en cours dans bien des rédactions, à savoir : des questions préparées à l'avance, des réponses "retravaillées" par l'homme politique, des enregsitrements " coupés", etc.....
La rédaction de KASSATAYA déplore le climat malsain qui prévaut depuis quelques jours et les insultes qu'elle reçoit. Mais, peut être est-ce ça aussi l'apprentissage de la démocratie dans un pays qui ne la découvre que depuis peu : la liberté de ne pas être d'accord. Mais, aussi, la liberté de pensée pour les journalistes qui essaient de faire leur travail, loin de toutes polémiques partisanes et des ayatollahs de la censure.
Pour nous, la polémique est définitivement close. Définitivement. Nous laissons les auditeurs et lecteurs qui nous font confiance depuis des années libres de se faire leur opinion.
Mariem mint DERWICH,
Rédactrice en chef
Source: Kassataya