Il était 19 heures ce samedi 29 septembre 2007, l’heure de rupture du jeun de ramadan, un incendie se déclare par une mince fumée qui se dégage vers le ciel aux alentours du marché central.
En quelques minutes les flammes ont atteint des proportions inquiétantes entrainant la panique totale de la population mais aussi des autorités publiques venues assister impuissamment à l’évolution des flammes de tout bord. Des commerçants présents devant la scène regardaient dans la plus grande désolation leurs biens acquis au prix de plusieurs années de labeur partir en fumées.
Comme de vrais professionnels, les agents de la commune munis de leur citerne et aidés par les forces de l’ordre de la police, de la garde et de l’armée nationale ont eu l’intelligence de circonscrire le feu pour arrêter son évolution vers les autres boutiques dès leur arrivée. Ainsi les premiers foyers du feu ont pu être éteints. En moins de deux heures la situation fut maitrisée.
Pour une deuxième fois de son histoire les sapeurs pompiers sénégalais ont intervenu, mais cette fois-ci ils sont venus trop tardivement car le feu était déjà éteint par les agents de la commune. C’est un vrai spectacle de désolation en voyant ces boutiques regorgeant de marchandises jadis réduites en néant en quelques minutes par le feu dont l’origine reste pour le moment inconnue.
Le dégât causé par l’incendie est estimé à plusieurs millions d’ouguillas et c’est le quatrième incendie enregistré en moins de deux ans. Le grand chantier devant abrité les services des sapeurs pompiers de Rosso est malheureusement jusqu’à nos jours inachevé.
Une solution doit être trouvée pour l’achèvement des travaux
"Une situation qui interpelle la plus haute autorité du pays et une invite à la faire prendre des mesures préventives pour maintenir la sécurité des citoyens et de leurs biens" dira un chef de service présent dans les lieux du drame.
La capitale commerciale du pays doit être dotée de véhicules et d’un service fonctionnel de sapeurs pompiers pour parer à tout foyer d’incendie qui se déclare.
Sakho
source: cridem
En quelques minutes les flammes ont atteint des proportions inquiétantes entrainant la panique totale de la population mais aussi des autorités publiques venues assister impuissamment à l’évolution des flammes de tout bord. Des commerçants présents devant la scène regardaient dans la plus grande désolation leurs biens acquis au prix de plusieurs années de labeur partir en fumées.
Comme de vrais professionnels, les agents de la commune munis de leur citerne et aidés par les forces de l’ordre de la police, de la garde et de l’armée nationale ont eu l’intelligence de circonscrire le feu pour arrêter son évolution vers les autres boutiques dès leur arrivée. Ainsi les premiers foyers du feu ont pu être éteints. En moins de deux heures la situation fut maitrisée.
Pour une deuxième fois de son histoire les sapeurs pompiers sénégalais ont intervenu, mais cette fois-ci ils sont venus trop tardivement car le feu était déjà éteint par les agents de la commune. C’est un vrai spectacle de désolation en voyant ces boutiques regorgeant de marchandises jadis réduites en néant en quelques minutes par le feu dont l’origine reste pour le moment inconnue.
Le dégât causé par l’incendie est estimé à plusieurs millions d’ouguillas et c’est le quatrième incendie enregistré en moins de deux ans. Le grand chantier devant abrité les services des sapeurs pompiers de Rosso est malheureusement jusqu’à nos jours inachevé.
Une solution doit être trouvée pour l’achèvement des travaux
"Une situation qui interpelle la plus haute autorité du pays et une invite à la faire prendre des mesures préventives pour maintenir la sécurité des citoyens et de leurs biens" dira un chef de service présent dans les lieux du drame.
La capitale commerciale du pays doit être dotée de véhicules et d’un service fonctionnel de sapeurs pompiers pour parer à tout foyer d’incendie qui se déclare.
Sakho
source: cridem