Le 1er Festival international du film des droits de l’Homme (FIFDH) de Lomé s’est achevé mardi soir dans la capitale togolaise avec le sacre des films « Bamako » et « Sankara », a constaté APA.
Le jury « grand prix » a primé « Bamako » du réalisateur mauritanien, Abderamane Sissako alors que le prix du jury étudiant est allé au film « Sankara » de Rubin Shufield, Prix spécial pour « Suffuring of smiling » de Dan Ollman et mention spécial au film « Radio Okapi, radio de la vie», de Pierre Guyot
Une dizaine de films sur les droits de l’Homme ont été projetés pendant cinq jours à travers la capitale togolaise notamment, à l’Université de Lomé, dans des lycées, des centres communautaires et surtout sur des places publiques.
« Ces projections gratuites dans les lieux publics ont permis de sensibiliser un grand nombre de Togolais, surtout les jeunes sur la question des droits de l’Homme », a dit à APA Régis Aniglo, le responsable du festival.
Chaque projection a été doublée de discussions les réalisateurs, membres de la société civile des défenseurs des droits de l’Homme, et le public.
«Après les projections, le public posait des questions auxquelles répondaient les réalisateurs et les autres intervenants», a expliqué Régis Aniglo, qui dresse un bilan positif du festival.
Parmi le public, le sentiment le mieux partagé, c’est que « cette initiative est à renouveler ».
Source: APA
(M)
Le jury « grand prix » a primé « Bamako » du réalisateur mauritanien, Abderamane Sissako alors que le prix du jury étudiant est allé au film « Sankara » de Rubin Shufield, Prix spécial pour « Suffuring of smiling » de Dan Ollman et mention spécial au film « Radio Okapi, radio de la vie», de Pierre Guyot
Une dizaine de films sur les droits de l’Homme ont été projetés pendant cinq jours à travers la capitale togolaise notamment, à l’Université de Lomé, dans des lycées, des centres communautaires et surtout sur des places publiques.
« Ces projections gratuites dans les lieux publics ont permis de sensibiliser un grand nombre de Togolais, surtout les jeunes sur la question des droits de l’Homme », a dit à APA Régis Aniglo, le responsable du festival.
Chaque projection a été doublée de discussions les réalisateurs, membres de la société civile des défenseurs des droits de l’Homme, et le public.
«Après les projections, le public posait des questions auxquelles répondaient les réalisateurs et les autres intervenants», a expliqué Régis Aniglo, qui dresse un bilan positif du festival.
Parmi le public, le sentiment le mieux partagé, c’est que « cette initiative est à renouveler ».
Source: APA
(M)