Il y a des prisonniers qui sont très chers, qui valent leur prix en billet, contrairement à d’autres qui purgent leurs peines sans attirer la moindre attention.
Si Aqmi fait des rançons de millions d’euros ses sources de financements, qu’Israël permet la libération de centaines de détenus ( cas de Gilad Shalit échangé contre 1 027 Palestiniens) Nouakchott aurait, selon une page facebook de milieux proches de l’opposition bien négocié la vente, plus correctement dit l’extradition de sa précieuse marchande Abdallahi Senoussi, ex numéro 2 du régime libyen.
Selon cette page, la Libye aurait déboursé 1,5 milliards de dollars à la Mauritanie, tout en renonçant aux différents investissements et financements faits ou promis par l’ancien régime de Kadhafi ainsi que la fourniture de pétrole et de gaz pour les 10 prochaines années à un prix inférieur à ceux du marché mondial.
D’ailleurs la présence bizarre du ministre des finances Hassan Zoghlam par la délégation chargée de négocier l’extradition intrigue à bien des égards et fait paraître en filigrane les aspects financiers de l’affaire que les mauritaniens auraient tenu à avoir les documents signés sur place par ce pays pour permettre à Senoussi de s’en aller.
Engagements dans la main, Senoussi qui bénéficiera également d’un jugement digne et équitable, requis aussi par Nouakchott et par la communauté internationale peut aller en découdre avec son propre pays qui devra le livrer également à la CPI.
MOML
Source:cridem
Si Aqmi fait des rançons de millions d’euros ses sources de financements, qu’Israël permet la libération de centaines de détenus ( cas de Gilad Shalit échangé contre 1 027 Palestiniens) Nouakchott aurait, selon une page facebook de milieux proches de l’opposition bien négocié la vente, plus correctement dit l’extradition de sa précieuse marchande Abdallahi Senoussi, ex numéro 2 du régime libyen.
Selon cette page, la Libye aurait déboursé 1,5 milliards de dollars à la Mauritanie, tout en renonçant aux différents investissements et financements faits ou promis par l’ancien régime de Kadhafi ainsi que la fourniture de pétrole et de gaz pour les 10 prochaines années à un prix inférieur à ceux du marché mondial.
D’ailleurs la présence bizarre du ministre des finances Hassan Zoghlam par la délégation chargée de négocier l’extradition intrigue à bien des égards et fait paraître en filigrane les aspects financiers de l’affaire que les mauritaniens auraient tenu à avoir les documents signés sur place par ce pays pour permettre à Senoussi de s’en aller.
Engagements dans la main, Senoussi qui bénéficiera également d’un jugement digne et équitable, requis aussi par Nouakchott et par la communauté internationale peut aller en découdre avec son propre pays qui devra le livrer également à la CPI.
MOML
Source:cridem