Les autorités ont procédé, mercredi dans l'après-midi, à la libération d'une vingtaine d'étudiants arrêtés ce matin après des heurts avec la Police, ont confirmé des sources sures.
Les étudiants libérés affirment "avoir été torturés et dépossédés de leurs objets personnels, comme les téléphones portables et les boubous". D'autres ont été déposés aux alentours de la capitale.
Dizaines des activistes de l'UNEM sont toujours en sit-in dans les locaux de l'ISERI, exigeant la "réouverture immédiate" des inscriptions, la libération de leurs collègues détenus (6 étudiants membres du SNEM) et la rupture avec ce qu'ils jugent "une militarisation" des établissements de l'enseignement.
Contacté par Alakhbar, l'entourage du ministre des affaires islamique Ahmed Ould Ninni affirme que celui-ci "n'a pas envie pour le moment de s'exprimer sur les évènements". Il avait affirmé la réouverture, l'année prochaine, de l'ISERI devant les sortants des écoles traditionnelles (Mahdras). Les étudiants ont jugé "mensongères" ses déclarations.
Photos sur le site Alakhbar
Source: Alakhbar
Les étudiants libérés affirment "avoir été torturés et dépossédés de leurs objets personnels, comme les téléphones portables et les boubous". D'autres ont été déposés aux alentours de la capitale.
Dizaines des activistes de l'UNEM sont toujours en sit-in dans les locaux de l'ISERI, exigeant la "réouverture immédiate" des inscriptions, la libération de leurs collègues détenus (6 étudiants membres du SNEM) et la rupture avec ce qu'ils jugent "une militarisation" des établissements de l'enseignement.
Contacté par Alakhbar, l'entourage du ministre des affaires islamique Ahmed Ould Ninni affirme que celui-ci "n'a pas envie pour le moment de s'exprimer sur les évènements". Il avait affirmé la réouverture, l'année prochaine, de l'ISERI devant les sortants des écoles traditionnelles (Mahdras). Les étudiants ont jugé "mensongères" ses déclarations.
Photos sur le site Alakhbar
Source: Alakhbar