Désolé, mon cher Claude, votre censure a été très tardive. Car, hier entre 2 heures et 3 heures du matin, la réponse intégrale de Catomatravihme, insultante, pas seulement à mon égard, mais à l’égard de mon père (80 ans), de ma famille, était disponible sur votre site et accessible à tout le monde.
Je ne doute pas, jusqu’à preuve du contraire, que c’est par inattention que cela vous a échappé, et que ces injures de piètre facture, du reste, se sont trouvées étalées, sur votre site. Et je ne vous en tiens pas rigueur, bien sûr. Ces injures que j’ai lues vers 3 heures du matin ne m’ont nullement empêché de dormir et de faire de très doux rêves, loin des rives boueuses et nauséabondes d’injures de Catomatravihm. Mais je tiens tout de même à vous le signaler, pour l’avenir.
Suite à un texte strictement politique, Catomatravihme me répond par des injures... Mais si notre ami Catomatravihme, auteur de ces injures, savait que par ses injures à mon égard, il produisait l’effet inverse de ce qu’il recherchait, il se serait bien abstenu de les vomir, ses injures. Il croit me blesser, cependant il me rend hommage ; car ce qu’il fait, « C’est l’hommage du vice à la vertu », dirais-je, pour reprendre Régis Debray ; ce sont les aboiements du chien qui ne divertiront pas la caravane qui passe de son trajet et de son but. Qu’il sache, Catomatravihme, que par ses propos injurieux et incongrus, qu’il m’apporte la conviction supplémentaire que j’ai raison, que les FLAM ont raison. Et cela, faut-il le lui redire, nous incite plus à persévérer qu’à désarmer.
Et pour finir, je voudrais seulement que vous me permettiez de dire à notre ami Catomatravihme que le « petit Thiédo », comme il me qualifie, ne s’est jamais mieux senti à l’aise que dans l’adversité, fût-elle face à des protagonistes de piètre qualité, comme lui. À bon entendeur salut.
Boye Alassane Harouna.
Le 16 août 2007
Source Flamnet