Mr BA Mamadou Bocar vice président AJD/MR
Toutes nos excuses pour le retard apporté à la diffusion du présent compte rendu.
L’AJD/MR a organisé une conférence publique le samedi 6 octobre 2007 au foyer de la Cimade à Massy. Celle-ci était animée par : BA Mamadou Bocar, deuxième Vice Président, Ousmane DIAGANA, Secrétaire National aux Relations Extérieures et Amadou Alpha BA, Secrétaire National chargé de la diaspora.
Deux points étaient à l’ordre du jour
1°) Compte rendu du congrès de la réconciliation nationale de l’AJD
2°) Possibilité d’organiser et de structurer l’AJD/MR au sein de la diaspora.
Abordant le premier point, BA Mamadou Bocar, deuxième vice président de l’AJD/MR a rappelé le contexte dans lequel a eu lieu ce congrès. Il précisera que les sensibilités composant le nouveau parti sont celles qui avaient soutenu la candidature de Ibrahima SARR à la dernière élection présidentielle. Ces sensibilités que sont l’AJD, le CCA, les Indépendants et les FLAM/Rénovation ont décidé d’unir leurs forces pour offrir un cadre légal au candidat SARR d’autant que les électeurs l’ont chaleureusement incité à le créer.
Au départ l’idée de créer un nouveau parti était séduisante mais avec le temps l’intégration à l’AJD finit par s’imposer. Les membre de ce parti étant disposés à mettre leur organisation au service du rassemblement. Il s’agissait dès lors de l’élargir au maximum en lui faisant subir une grande mutation.
Après d’intenses travaux préparatoires sur les textes de l’AJD (Déclaration de politique générale, statuts et règlements intérieur), le congrès extraordinaire de l’AJD se tint les 18 et 19 août 2007 donnant naissance à une nouvelle formation politique : l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR) dirigée désormais par Ibrahima Moctar SARR
Concluant sur ce premier point, le deuxième Vice Président BA Mamadou Bocar précisera qu’aujourd’hui l’AJD/MR a dépassé les clivages : il n’y a plus de FLAM/Rénovation, ni CCA, ni indépendant, ni AJD. Il s’agit maintenant d’un nouveau parti politique de dimension nationale dans lequel toutes nos communautés sont représentées.
Abordant le deuxième point, le deuxième vice président de l’AJD/MR annoncera que le parti avait l’intention, dans un avenir très proche, de structurer ceux de la diaspora qui le souhaitent. L’objectif étant d’avoir la base la plus large et la plus représentative possible. Il rappellera que la France, d’après les statuts de l’AJD/MR sera considérée, géographiquement, comme une section avec des sous sections et des cellules selon les endroits. Il conclura sur l’objectif du parti, à savoir la prise du pouvoir par la voie démocratique, pour cela, il est indispensable de préparer les prochaines échéances électorales.
Complétant le deuxième vice président, Ousmane DIAGANA, Secrétaire National aux Relations Extérieures, insistera sur la dimension nationale et l’idée de réconciliation nationale du nouveau parti. Il précisera que durant la campagne électorale, le candidat SARR avait bâti toute sa campagne autour de cette dernière idée qui avait fini par séduire aussi nos compatriotes arabes (Bidhanes et Haratines) dont certains le rejoindront par conviction. Son discours a séduit car c’est celui de la vérité, de la constance, du refus de la complaisance mais aussi et surtout celui de la fermeté, de la détermination et de la responsabilité
Après cet exposé liminaire, un débat devait s’ouvrir avec le public. Plusieurs questions et commentaires de l’assistance ont vraiment enrichi cette rencontre. Ils portaient essentiellement sur des préoccupations aussi diverses que :
Le nom de l’AJD
La place de I. SARR dans le parti
Les courants dans le nouveau parti
L’absence de certains ex-AJD à cette réunion
La création d’un nouveau parti avec un nouveau nom
Les principales idées du parti, etc…
Répondant aux questions, les trois conférenciers ont souligné que le nom de l’AJD/MR a été retenu dans un esprit de consensus entre les différents partenaires et qu’au-delà du nom, ce sont les idées et les convictions qui unissent les différents protagonistes qui l’ont emporté.
Quant à Ibrahima Moctar SARR, il a une place prépondérante car il dirige désormais le nouveau parti qui est largement ouvert à tous les Mauritaniens.
En ce qui concerne les courants éventuels, les conférenciers ont précisé que les chapelles n’existent plus. Aujourd’hui, tout le monde se détermine désormais comme AJD/MR, c’est une nouvelle configuration créée par la nouvelle donne.
A la question « pourquoi ne pas avoir créé un nouveau parti avec un nouveau nom?», les conférenciers ont précisé qu’à l’origine il en était vraiment question ; mais compte tenu de la conjoncture (hostilité du CMJD de reconnaître de nouveaux partis prétextant la pléthore, des rumeurs très insistantes d’un possible refus des nouvelles autorités de reconnaître le nouveau parti), il a alors semblé à tous qu’il était plus sage et plus réaliste d’emprunter le cadre légal qu’offrait l’AJD.
En ce qui concerne les principales idées du parti, ils ont rappelé que la Déclaration de Politique Générale (DPG) reprend l’ensemble des préoccupations du parti qui est disponible et qui peut être rendu public. Cette DPG insiste par exemple sur la nécessité d’une politique de réconciliation nationale, priorité absolue du parti, (retour rapide, organisé et digne de nos compatriotes injustement déportés au Sénégal et au Mali, règlement immédiat et juste du passif humanitaire, ouverture d’un débat sur la cohabitation, etc...), sur la recherche d’un consensus autour de questions institutionnelles (identité du pays, partage du pouvoir), sur la gestion de l’Etat (sur les plans politique, économique, social, culturel, etc...), la place de l’armée dans nos institutions, la question du foncier, etc...
En ce qui concerne la diaspora, l’AJD/MR ne la néglige pas car elle constitue un potentiel militant important qui peut enrichir le parti sur les plans humain, intellectuel, matériel et financier. S’intéresser à la diaspora, c’est s’occuper aussi des problèmes sociaux, politiques, économiques et juridiques qui assaillent les Mauritaniens à l’étranger. L’AJD/MR devait se faire un honneur de ne pas oublier, dans son organigramme, nos concitoyens vivant à l’extérieur et qui contribuent au développement économique de notre pays.
Plusieurs intervenants ont loué les efforts fournis par les uns et les autres en vue de la création de ce nouveau cadre de lutte démocratique tout en appelant à la vigilance face à des forces destructrices. Ils insisteront sur la nécessité d’un travail de terrain en vue de convaincre nos compatriotes et d’emporter à l’avenir le suffrage d’un plus grand nombre de nos compatriotes.
Après avoir loué le travail de l’AJD et des FLAM/Rénovation, un intervenant a particulièrement insisté sur la nécessité désormais de davantage déplacer la lutte politique en Mauritanie estimant que c’est le terrain qui commande la réussite. Durant l’exil, nous avons, ajoutera t-il, perdu beaucoup d’espace en Mauritanie ; et il conclura qu’on ne peut pas vouloir changer la société mauritanienne tout en demeurant à l’extérieur : il faut donc être sur place et ce à n’importe quel prix.
Un autre intervenant a insisté sur la nécessité de rapprochement avec les FLAM qui font aussi un bon travail d’information à l’extérieur.
Les conférenciers préciseront que les FLAM ne sont ni leurs adversaires ni leurs ennemis, que l’AJD/MR travaillera avec qui le souhaitera et que personne ne peut gommer le travail des FLAM.
Mody SOW, témoignera en tant que congressiste et membre fondateur de l’AJD/MR. Il dira en substance que le congrès de la réconciliation nationale des 18 et 19 août 2007 n’était pas facile à organiser et qu’il s’agissait d’un défi à relever et il a été réussi. Il ajoutera qu’il faut sortir de la confrontation entre arabes et négro-africains car tous les négro-africains n’ont pas les mêmes intérêts, que l’AJD/MR constitue désormais un parti cohérent ; et que la véritable bataille est de rassembler le plus possible autour de notre projet. Et si demain, il existait un autre rapport de force qui appelle un changement de nom, il ne faut rien exclure, mais aujourd’hui AJD/MR incarne mieux le rassemblement de tous ceux qui ont soutenu la candidature de Ibrahima Moctar SARR.
Hamady MBODJ, témoignera également en tant que congressiste pour expliquer d’abord comment on est arrivé à ce nom d’AJD/MR insistant sur l’idée de rénovation. Il ajoutera que les négro mauritaniens avaient un problème de leadership, qu’avec Ibrahima SARR ce problème est désormais réglé car le candidat à l’élection présidentielle a su fédérer autour de sa personne et de son projet une partie importante du peuple mauritanien, toutes communautés confondues.
Enfin, en ce qui concerne le projet de structuration de l’AJD/MR en Europe, des intervenants ont fait des suggestions fort utiles comme maintenir le contact avec la base, investir les organisations villageoises, mettre à la disposition des intéressés les textes de l’AJD/MR, associer au maximum les femmes et les jeunes à l’image de la campagne de SARR qui a mobilisé beaucoup de jeunes et de femmes.
Pour conclure, les conférenciers ont pris bonne note des différentes propositions non sans préciser que les statuts et le règlement intérieur de l’AJD/MR ne pouvaient être remis qu’aux futurs militants alors que la DPG peut être librement consultable. Rendez-vous avait été pris initialement pour le 3 novembre 2007 pour la structuration, il aura finalement lieu le 10 novembre 2007. Le lieu sera communiqué ultérieurement.
Fait à Paris le10/10/2007
Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation.
L’AJD/MR a organisé une conférence publique le samedi 6 octobre 2007 au foyer de la Cimade à Massy. Celle-ci était animée par : BA Mamadou Bocar, deuxième Vice Président, Ousmane DIAGANA, Secrétaire National aux Relations Extérieures et Amadou Alpha BA, Secrétaire National chargé de la diaspora.
Deux points étaient à l’ordre du jour
1°) Compte rendu du congrès de la réconciliation nationale de l’AJD
2°) Possibilité d’organiser et de structurer l’AJD/MR au sein de la diaspora.
Abordant le premier point, BA Mamadou Bocar, deuxième vice président de l’AJD/MR a rappelé le contexte dans lequel a eu lieu ce congrès. Il précisera que les sensibilités composant le nouveau parti sont celles qui avaient soutenu la candidature de Ibrahima SARR à la dernière élection présidentielle. Ces sensibilités que sont l’AJD, le CCA, les Indépendants et les FLAM/Rénovation ont décidé d’unir leurs forces pour offrir un cadre légal au candidat SARR d’autant que les électeurs l’ont chaleureusement incité à le créer.
Au départ l’idée de créer un nouveau parti était séduisante mais avec le temps l’intégration à l’AJD finit par s’imposer. Les membre de ce parti étant disposés à mettre leur organisation au service du rassemblement. Il s’agissait dès lors de l’élargir au maximum en lui faisant subir une grande mutation.
Après d’intenses travaux préparatoires sur les textes de l’AJD (Déclaration de politique générale, statuts et règlements intérieur), le congrès extraordinaire de l’AJD se tint les 18 et 19 août 2007 donnant naissance à une nouvelle formation politique : l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR) dirigée désormais par Ibrahima Moctar SARR
Concluant sur ce premier point, le deuxième Vice Président BA Mamadou Bocar précisera qu’aujourd’hui l’AJD/MR a dépassé les clivages : il n’y a plus de FLAM/Rénovation, ni CCA, ni indépendant, ni AJD. Il s’agit maintenant d’un nouveau parti politique de dimension nationale dans lequel toutes nos communautés sont représentées.
Abordant le deuxième point, le deuxième vice président de l’AJD/MR annoncera que le parti avait l’intention, dans un avenir très proche, de structurer ceux de la diaspora qui le souhaitent. L’objectif étant d’avoir la base la plus large et la plus représentative possible. Il rappellera que la France, d’après les statuts de l’AJD/MR sera considérée, géographiquement, comme une section avec des sous sections et des cellules selon les endroits. Il conclura sur l’objectif du parti, à savoir la prise du pouvoir par la voie démocratique, pour cela, il est indispensable de préparer les prochaines échéances électorales.
Complétant le deuxième vice président, Ousmane DIAGANA, Secrétaire National aux Relations Extérieures, insistera sur la dimension nationale et l’idée de réconciliation nationale du nouveau parti. Il précisera que durant la campagne électorale, le candidat SARR avait bâti toute sa campagne autour de cette dernière idée qui avait fini par séduire aussi nos compatriotes arabes (Bidhanes et Haratines) dont certains le rejoindront par conviction. Son discours a séduit car c’est celui de la vérité, de la constance, du refus de la complaisance mais aussi et surtout celui de la fermeté, de la détermination et de la responsabilité
Après cet exposé liminaire, un débat devait s’ouvrir avec le public. Plusieurs questions et commentaires de l’assistance ont vraiment enrichi cette rencontre. Ils portaient essentiellement sur des préoccupations aussi diverses que :
Le nom de l’AJD
La place de I. SARR dans le parti
Les courants dans le nouveau parti
L’absence de certains ex-AJD à cette réunion
La création d’un nouveau parti avec un nouveau nom
Les principales idées du parti, etc…
Répondant aux questions, les trois conférenciers ont souligné que le nom de l’AJD/MR a été retenu dans un esprit de consensus entre les différents partenaires et qu’au-delà du nom, ce sont les idées et les convictions qui unissent les différents protagonistes qui l’ont emporté.
Quant à Ibrahima Moctar SARR, il a une place prépondérante car il dirige désormais le nouveau parti qui est largement ouvert à tous les Mauritaniens.
En ce qui concerne les courants éventuels, les conférenciers ont précisé que les chapelles n’existent plus. Aujourd’hui, tout le monde se détermine désormais comme AJD/MR, c’est une nouvelle configuration créée par la nouvelle donne.
A la question « pourquoi ne pas avoir créé un nouveau parti avec un nouveau nom?», les conférenciers ont précisé qu’à l’origine il en était vraiment question ; mais compte tenu de la conjoncture (hostilité du CMJD de reconnaître de nouveaux partis prétextant la pléthore, des rumeurs très insistantes d’un possible refus des nouvelles autorités de reconnaître le nouveau parti), il a alors semblé à tous qu’il était plus sage et plus réaliste d’emprunter le cadre légal qu’offrait l’AJD.
En ce qui concerne les principales idées du parti, ils ont rappelé que la Déclaration de Politique Générale (DPG) reprend l’ensemble des préoccupations du parti qui est disponible et qui peut être rendu public. Cette DPG insiste par exemple sur la nécessité d’une politique de réconciliation nationale, priorité absolue du parti, (retour rapide, organisé et digne de nos compatriotes injustement déportés au Sénégal et au Mali, règlement immédiat et juste du passif humanitaire, ouverture d’un débat sur la cohabitation, etc...), sur la recherche d’un consensus autour de questions institutionnelles (identité du pays, partage du pouvoir), sur la gestion de l’Etat (sur les plans politique, économique, social, culturel, etc...), la place de l’armée dans nos institutions, la question du foncier, etc...
En ce qui concerne la diaspora, l’AJD/MR ne la néglige pas car elle constitue un potentiel militant important qui peut enrichir le parti sur les plans humain, intellectuel, matériel et financier. S’intéresser à la diaspora, c’est s’occuper aussi des problèmes sociaux, politiques, économiques et juridiques qui assaillent les Mauritaniens à l’étranger. L’AJD/MR devait se faire un honneur de ne pas oublier, dans son organigramme, nos concitoyens vivant à l’extérieur et qui contribuent au développement économique de notre pays.
Plusieurs intervenants ont loué les efforts fournis par les uns et les autres en vue de la création de ce nouveau cadre de lutte démocratique tout en appelant à la vigilance face à des forces destructrices. Ils insisteront sur la nécessité d’un travail de terrain en vue de convaincre nos compatriotes et d’emporter à l’avenir le suffrage d’un plus grand nombre de nos compatriotes.
Après avoir loué le travail de l’AJD et des FLAM/Rénovation, un intervenant a particulièrement insisté sur la nécessité désormais de davantage déplacer la lutte politique en Mauritanie estimant que c’est le terrain qui commande la réussite. Durant l’exil, nous avons, ajoutera t-il, perdu beaucoup d’espace en Mauritanie ; et il conclura qu’on ne peut pas vouloir changer la société mauritanienne tout en demeurant à l’extérieur : il faut donc être sur place et ce à n’importe quel prix.
Un autre intervenant a insisté sur la nécessité de rapprochement avec les FLAM qui font aussi un bon travail d’information à l’extérieur.
Les conférenciers préciseront que les FLAM ne sont ni leurs adversaires ni leurs ennemis, que l’AJD/MR travaillera avec qui le souhaitera et que personne ne peut gommer le travail des FLAM.
Mody SOW, témoignera en tant que congressiste et membre fondateur de l’AJD/MR. Il dira en substance que le congrès de la réconciliation nationale des 18 et 19 août 2007 n’était pas facile à organiser et qu’il s’agissait d’un défi à relever et il a été réussi. Il ajoutera qu’il faut sortir de la confrontation entre arabes et négro-africains car tous les négro-africains n’ont pas les mêmes intérêts, que l’AJD/MR constitue désormais un parti cohérent ; et que la véritable bataille est de rassembler le plus possible autour de notre projet. Et si demain, il existait un autre rapport de force qui appelle un changement de nom, il ne faut rien exclure, mais aujourd’hui AJD/MR incarne mieux le rassemblement de tous ceux qui ont soutenu la candidature de Ibrahima Moctar SARR.
Hamady MBODJ, témoignera également en tant que congressiste pour expliquer d’abord comment on est arrivé à ce nom d’AJD/MR insistant sur l’idée de rénovation. Il ajoutera que les négro mauritaniens avaient un problème de leadership, qu’avec Ibrahima SARR ce problème est désormais réglé car le candidat à l’élection présidentielle a su fédérer autour de sa personne et de son projet une partie importante du peuple mauritanien, toutes communautés confondues.
Enfin, en ce qui concerne le projet de structuration de l’AJD/MR en Europe, des intervenants ont fait des suggestions fort utiles comme maintenir le contact avec la base, investir les organisations villageoises, mettre à la disposition des intéressés les textes de l’AJD/MR, associer au maximum les femmes et les jeunes à l’image de la campagne de SARR qui a mobilisé beaucoup de jeunes et de femmes.
Pour conclure, les conférenciers ont pris bonne note des différentes propositions non sans préciser que les statuts et le règlement intérieur de l’AJD/MR ne pouvaient être remis qu’aux futurs militants alors que la DPG peut être librement consultable. Rendez-vous avait été pris initialement pour le 3 novembre 2007 pour la structuration, il aura finalement lieu le 10 novembre 2007. Le lieu sera communiqué ultérieurement.
Fait à Paris le10/10/2007
Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation.