En réaction à une note d’information publiée le 16 décembre 2012, intitulé « la diplomatie du dernier état esclavagiste fait feu de tout bois », le porte-parole de l’ambassadeur ould zahaf a qui n’était absolument pas à Genève a, dans un article paru le lendemain sur le site de Tawary, voulu noyer le poisson dans la défense du bilan du Président Mohamed Ould Abdel Aziz. Il s’agit d’une manœuvre dilatoire qui relève de la désinformation.
Face à cette récidive dans la tromperie publique et de grande mystification, nous tenons à donner les précisions suivantes :
1- Nous maintenons et confirmons que le siège africain dans cet organe est occupé, à l'alternat, suivant un ordre alphabétique par chacun des 13 états africains membres du conseil des droits de l’homme, comme nous l’indiquions dans notre note d’information. Il n’y a jamais eu de vote pour choisir le représentant du groupe des états africain au sein du bureau du Conseil des droits de l’homme.
2- Il est vrai que le Botswana a cédé sa place à la Mauritanie, ce qui confirme le principe de la rotation évoqué plus haut. Mais nous nous sommes informés auprès de nos partenaires sur les circonstances et le pourquoi du désistement du Botswana au profit de la Mauritanie. Là, les révélations sont autrement plus graves. L’ambassadeur a reçu instructions de son Ministre et du Président pour reconnaître devant son homologue du Botswana que la Mauritanie avait énormément de problèmes de droits de l’homme et qu’elle avait besoin de ce poste pour redorer son blason. Si elle n’obtenait pas ce poste, le niveau de forte contestation politique à l'intérieur du pays pouvait faire craindre que la situation de la Mauritanie devienne sous peu comparable à celle du Mali selon l'ambassadeur. Il aurait même ajouté qu'au nom de la solidarité africaine, le Botswana qui est un modèle de réussite économique, social et politique ne doit pas raisonnablement refuser de venir en aide à la Mauritanie. C’est sur cette base pathétique que le Botswana, certainement par indulgence, a accepté de céder sa place à la Mauritanie. Mais encore une fois, il ne s’agit nullement d’un poste électif ni d’une position couronnant des efforts en matière de droits de l’homme ni même la consécration de quelques qualités que ce soit. Au contraire la Mauritanie, par la voix de son ambassadeur a reconnu ce que nous disions depuis toujours. Ces éléments d'information sont totalement vérifiables auprès de toutes les ONG de droits de l'homme à Genève. Si l’accès à ce poste était conditionné à des exigences en matière de respect des droits humains, le Botswana qui bénéficie de l’une des meilleures images de marque sur le continent, ne désisterait pas pour la Mauritanie. Voilà ce qu’il appelle négociation.
3- Nous ne manquons pas de patriotisme comme le prétendent certains. Au contraire ! Tous les succès de la Mauritanie font notre fierté autant que ses échecs génèrent notre honte. Là, le grand pas dont parle ould zahaf et son porte-voix, est fait dans la honte. Nous souhaitons tout simplement que notre pays avance sur le droit chemin de la respectabilité, de l’honneur, de la fraternité et de la justice.
4- l’ambassadeur est mal placé pour donner des leçons de morale à qui que ce soit. Il est mal placé pour parler de l’exploitation de la misère des plus faibles. Ses détournements à tour de bras des deniers publics sont trop actuels pour tomber dans l’oubli.
Ce débat a été nécessaire pour clouer le bec définitivement à l’ambassadeur, Cheikh Ahmed Ould Zahaf un ennemi juré de la nation et des droits de l’homme. Il a beau rédigé des articles et les faire signer par des hommes qui sont payés par l’ambassade de Mauritanie à Genève pour diffuser ces mensonges. Le président Mohamed Ould Abdel Aziz, s’il est sincère dans sa lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion doit se débarrasser de cet homme qui est plus nuisible à la fois pour l’image de la Mauritanie mais aussi pour son gouvernement et la diplomatie Mauritanienne. Nous nous sommes rendu compte combien la diplomatie Mauritanienne est en mal à cause notamment des personnalités encombrantes comme lui.
L’opinion nationale et internationale se pose la question suivante mais qui est Cheikh Ahmed Ould Zahaf, pourquoi il est hué, dénoncé, contesté autant par ces compatriotes?
La seule compétence qu’on reconnait à cet ambassadeur controversé, c’est en matière de détournements des deniers publics et même ça, il le fait avec beaucoup de vulgarité. Quand il était à l’office du tourisme, il a construit sa maison directement à partir du budget de l’office. Quand la nommée Khadijettou Mint Boubou l'a remplacé, elle était étonnée de voir dans les documents comptables les factures de ciment, de fer, de sable et coquillage…étonnée, parce qu'elle ne comprenait pas ce que l’office du tourisme faisait avec tant de béton armé., elle demande à ses collaborateurs si l’office du tourisme avait des chantiers en construction. On lui a répondu Non.... Elle demande alors toute curieuse d’où proviennent ces factures. On lui répond que c’est Ould zahaf qui faisait construire sa maison à partir du budget de l’office. Et elle aurait porté l’affaire devant les tribunaux et le jugement de cette affaire est en attente. Aux dernières nouvelles, il cherchait un arrangement amiable avec l'appui discret de Ould Boilil l’actuel ministre de l’intérieur. Comment voulez-vous qu’on taise cela ? Et le pouvoir attend à ce qu’un homme pareil défend loyalement son pays depuis la Suisse, siège de toutes les organisations de défenses des droits de l’homme ? Peuple Mauritanien, on vous martyrise avec du faux et usage de faux, trop, c’est trop, disons tous ensemble halte…….
ABDOULAYE SY
BATON ROUGE, USA.
Source: Abdoulaye Sy
Face à cette récidive dans la tromperie publique et de grande mystification, nous tenons à donner les précisions suivantes :
1- Nous maintenons et confirmons que le siège africain dans cet organe est occupé, à l'alternat, suivant un ordre alphabétique par chacun des 13 états africains membres du conseil des droits de l’homme, comme nous l’indiquions dans notre note d’information. Il n’y a jamais eu de vote pour choisir le représentant du groupe des états africain au sein du bureau du Conseil des droits de l’homme.
2- Il est vrai que le Botswana a cédé sa place à la Mauritanie, ce qui confirme le principe de la rotation évoqué plus haut. Mais nous nous sommes informés auprès de nos partenaires sur les circonstances et le pourquoi du désistement du Botswana au profit de la Mauritanie. Là, les révélations sont autrement plus graves. L’ambassadeur a reçu instructions de son Ministre et du Président pour reconnaître devant son homologue du Botswana que la Mauritanie avait énormément de problèmes de droits de l’homme et qu’elle avait besoin de ce poste pour redorer son blason. Si elle n’obtenait pas ce poste, le niveau de forte contestation politique à l'intérieur du pays pouvait faire craindre que la situation de la Mauritanie devienne sous peu comparable à celle du Mali selon l'ambassadeur. Il aurait même ajouté qu'au nom de la solidarité africaine, le Botswana qui est un modèle de réussite économique, social et politique ne doit pas raisonnablement refuser de venir en aide à la Mauritanie. C’est sur cette base pathétique que le Botswana, certainement par indulgence, a accepté de céder sa place à la Mauritanie. Mais encore une fois, il ne s’agit nullement d’un poste électif ni d’une position couronnant des efforts en matière de droits de l’homme ni même la consécration de quelques qualités que ce soit. Au contraire la Mauritanie, par la voix de son ambassadeur a reconnu ce que nous disions depuis toujours. Ces éléments d'information sont totalement vérifiables auprès de toutes les ONG de droits de l'homme à Genève. Si l’accès à ce poste était conditionné à des exigences en matière de respect des droits humains, le Botswana qui bénéficie de l’une des meilleures images de marque sur le continent, ne désisterait pas pour la Mauritanie. Voilà ce qu’il appelle négociation.
3- Nous ne manquons pas de patriotisme comme le prétendent certains. Au contraire ! Tous les succès de la Mauritanie font notre fierté autant que ses échecs génèrent notre honte. Là, le grand pas dont parle ould zahaf et son porte-voix, est fait dans la honte. Nous souhaitons tout simplement que notre pays avance sur le droit chemin de la respectabilité, de l’honneur, de la fraternité et de la justice.
4- l’ambassadeur est mal placé pour donner des leçons de morale à qui que ce soit. Il est mal placé pour parler de l’exploitation de la misère des plus faibles. Ses détournements à tour de bras des deniers publics sont trop actuels pour tomber dans l’oubli.
Ce débat a été nécessaire pour clouer le bec définitivement à l’ambassadeur, Cheikh Ahmed Ould Zahaf un ennemi juré de la nation et des droits de l’homme. Il a beau rédigé des articles et les faire signer par des hommes qui sont payés par l’ambassade de Mauritanie à Genève pour diffuser ces mensonges. Le président Mohamed Ould Abdel Aziz, s’il est sincère dans sa lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion doit se débarrasser de cet homme qui est plus nuisible à la fois pour l’image de la Mauritanie mais aussi pour son gouvernement et la diplomatie Mauritanienne. Nous nous sommes rendu compte combien la diplomatie Mauritanienne est en mal à cause notamment des personnalités encombrantes comme lui.
L’opinion nationale et internationale se pose la question suivante mais qui est Cheikh Ahmed Ould Zahaf, pourquoi il est hué, dénoncé, contesté autant par ces compatriotes?
La seule compétence qu’on reconnait à cet ambassadeur controversé, c’est en matière de détournements des deniers publics et même ça, il le fait avec beaucoup de vulgarité. Quand il était à l’office du tourisme, il a construit sa maison directement à partir du budget de l’office. Quand la nommée Khadijettou Mint Boubou l'a remplacé, elle était étonnée de voir dans les documents comptables les factures de ciment, de fer, de sable et coquillage…étonnée, parce qu'elle ne comprenait pas ce que l’office du tourisme faisait avec tant de béton armé., elle demande à ses collaborateurs si l’office du tourisme avait des chantiers en construction. On lui a répondu Non.... Elle demande alors toute curieuse d’où proviennent ces factures. On lui répond que c’est Ould zahaf qui faisait construire sa maison à partir du budget de l’office. Et elle aurait porté l’affaire devant les tribunaux et le jugement de cette affaire est en attente. Aux dernières nouvelles, il cherchait un arrangement amiable avec l'appui discret de Ould Boilil l’actuel ministre de l’intérieur. Comment voulez-vous qu’on taise cela ? Et le pouvoir attend à ce qu’un homme pareil défend loyalement son pays depuis la Suisse, siège de toutes les organisations de défenses des droits de l’homme ? Peuple Mauritanien, on vous martyrise avec du faux et usage de faux, trop, c’est trop, disons tous ensemble halte…….
ABDOULAYE SY
BATON ROUGE, USA.
Source: Abdoulaye Sy