Depuis le 24 octobre 2012, date de l'annonce de sa sortie de l'hôpital militaire de Percy, les rumeurs les plus folles ont circulé sur M. Mohamed Ould Abdel Aziz et son état de santé. Certains l'ont annoncé en convalescence à Nice, d'autres le logeaient à la résidence de l'ambassade de Mauritanie à Paris.
La rédaction de KASSATAYA -qui avait donné la première la nouvelle de sa sortie d'hôpital- rapportait des informations selon lesquelles le plus surveillé patient de Mauritanie se trouverait dans un hôtel non loin d'un aéroport parisien. Devant tant d'incertitudes, la rédaction de KASSATAYA a mené un travail minutieux d'investigation pour en savoir davantage sur une situation inédite : un président isolé dans un endroit ignoré des citoyens.
Les efforts de KASSATAYA ont fini par payer : nous avons en notre possession des informations sûres, vérifiées, recoupées. Ce dimanche 4 novembre 2012 vers 17h00 heure française, une de nos équipes en planque depuis quelques jours aperçoit des individus de l'entourage de M. Ould Abdel Aziz tentant discrètement de s'introduire dans un bâtiment. Nous sommes alors sûrs d'être au bon endroit. Après quelques dizaines de minutes d'attente, nous décidons de tenter le tout pour le tout et demandons à la surveillance d'appeler l'ambassadeur. "De la part de qui s'il vous plait ? Nous déclinons notre identité. Quelques minutes s'écoulent et M. Ould Brahim Khlil se présente en personne. "Félicitations M. l'ambassadeur, vous avez bien joué, KASSATAYA aussi. Nous savons que le président est ici et à l'image de tous les Mauritaniens, nous nous interrogeons sur son état de santé. Pouvons-nous le voir en tant qu'organe d'information?". L'ambassadeur fait mine de s'étonner et essaie de nous semer. Nous insistons. Il s'éclipse et revient quelques minutes plus tard pour nous donner rendez-vous. "Pourquoi pas tout de suite?" Lui demandons-nous. "Il fait tard", répond-il. Il était 18h à Paris, une heure de moins en TU. Nous cédons. Rendez-vous est pris. Si nous n'en disons pas davantage aujourd'hui, c'est que nous souhaitons nous entourer d'un minimum de précautions au moment où les lecteurs assistent à toutes sortes de manipulations. Mais autant le dire tout de suite : nous n'avons pas vu M. Ould Abdel Aziz et ne sommes pas en mesure de dire dans quel état il se trouve.
Une chose est sûre : son entourage n'a ménagé aucun effort pour nous lancer sur des fausses pistes. Maintenant, ils savent que nous savons ; malgré toutes les précautions qu'ils ont pu prendre. Nous livrerons aux lecteurs ce que nous savons et que la loi et la déontologie nous autorisent à divulguer. Sans violer le secret médical, sans faire dans le voyeurisme morbide, sans perturber son droit à la quiétude. Ces informations (qui datent du dimanche 4 novembre 2012 à 18h15 heure française, 17h15 TU) seront bientôt disponibles sur KASSATAYA.COM
Source: Kassataya
La rédaction de KASSATAYA -qui avait donné la première la nouvelle de sa sortie d'hôpital- rapportait des informations selon lesquelles le plus surveillé patient de Mauritanie se trouverait dans un hôtel non loin d'un aéroport parisien. Devant tant d'incertitudes, la rédaction de KASSATAYA a mené un travail minutieux d'investigation pour en savoir davantage sur une situation inédite : un président isolé dans un endroit ignoré des citoyens.
Les efforts de KASSATAYA ont fini par payer : nous avons en notre possession des informations sûres, vérifiées, recoupées. Ce dimanche 4 novembre 2012 vers 17h00 heure française, une de nos équipes en planque depuis quelques jours aperçoit des individus de l'entourage de M. Ould Abdel Aziz tentant discrètement de s'introduire dans un bâtiment. Nous sommes alors sûrs d'être au bon endroit. Après quelques dizaines de minutes d'attente, nous décidons de tenter le tout pour le tout et demandons à la surveillance d'appeler l'ambassadeur. "De la part de qui s'il vous plait ? Nous déclinons notre identité. Quelques minutes s'écoulent et M. Ould Brahim Khlil se présente en personne. "Félicitations M. l'ambassadeur, vous avez bien joué, KASSATAYA aussi. Nous savons que le président est ici et à l'image de tous les Mauritaniens, nous nous interrogeons sur son état de santé. Pouvons-nous le voir en tant qu'organe d'information?". L'ambassadeur fait mine de s'étonner et essaie de nous semer. Nous insistons. Il s'éclipse et revient quelques minutes plus tard pour nous donner rendez-vous. "Pourquoi pas tout de suite?" Lui demandons-nous. "Il fait tard", répond-il. Il était 18h à Paris, une heure de moins en TU. Nous cédons. Rendez-vous est pris. Si nous n'en disons pas davantage aujourd'hui, c'est que nous souhaitons nous entourer d'un minimum de précautions au moment où les lecteurs assistent à toutes sortes de manipulations. Mais autant le dire tout de suite : nous n'avons pas vu M. Ould Abdel Aziz et ne sommes pas en mesure de dire dans quel état il se trouve.
Une chose est sûre : son entourage n'a ménagé aucun effort pour nous lancer sur des fausses pistes. Maintenant, ils savent que nous savons ; malgré toutes les précautions qu'ils ont pu prendre. Nous livrerons aux lecteurs ce que nous savons et que la loi et la déontologie nous autorisent à divulguer. Sans violer le secret médical, sans faire dans le voyeurisme morbide, sans perturber son droit à la quiétude. Ces informations (qui datent du dimanche 4 novembre 2012 à 18h15 heure française, 17h15 TU) seront bientôt disponibles sur KASSATAYA.COM
Source: Kassataya