Le Comité de Solidarité avec les Victimes des Violations des Droits Humains en Mauritanie (CSVVDH) a organisé hier un atelier de réflexion sur le passif humanitaire en Mauritanie sous le thème « Passif Humanitaire en Mauritanie : Quelles solutions ? ».
L’atelier devait aboutir en fin de journée à d’importants résultats, notamment l’identification de solutions consensuelles qui requièrent l’adhésion de tous, en plus d’une meilleure préparation pour que les journées nationales de concertation qui devront être organisées cette semaine puissent conduire à des résultats positifs.
Les objectifs de l’atelier de réflexion sur le passif humanitaire en Mauritanie doivent également permettre aux participants de réfléchir et échanger leurs connaissances sur les possibilités de solutions (i), de déterminer une approche / démarche à suivre en vue d’un règlement juste et honorable de la question (ii) et d’aboutir à des solutions concertées et consensuelles.
Le calendrier de l’atelier comporte plusieurs exposés sur le contexte du passif humanitaire, sur les expériences similaires vécues et les différentes approches de solutions (Maroc, Afrique du sud …), présentés respectivement par Ms. Abdoulaye Ciré Bâ, El Hadj Sidi et Mohamed Dogui ; le tout suivi de débats. Les participants seront répartis par la suite en 3 sous-ateliers appeler à réfléchir sur les devoirs de justice (i), de mémoire (ii) et de réparation (iii).
La restitution des travaux en ateliers des participants sera consacrée par la synthèse et clôture des travaux.
Le coup d’envoi de l’atelier qui a vu la participation de représentants de plusieurs associations des droits de l’homme, de la société civile, du directeur des droits de l’homme auprès du Ministère de la justice, des représentants du Pnud, d’Oxfam et de NDI en Mauritanie, a été donné par la présidente du CSVVDH Mme Aicha Lalla Sy a tout d’abord remercié au nom du Comité, les participants pour avoir voulu honorer, de leur présence, cette importante activité ; ce qui dira t-elle témoigne de l’intérêt qu’ils accordent à ce sujet important relatif aux graves violations des droits humains commises en Mauritanie.
Abordant le thème de l’atelier susmentionné, elle a expliqué son but « d’amener les acteurs incontournables du développement à mener une réflexion approfondie sur les causes des graves violations qui ont été commises et qui affectent l’unité nationale et mettent en péril la paix, la concorde et partant proposer de meilleurs stratégies possibles pour aboutir à des solutions durables ».
Toujours selon elle : « cet atelier se tient dans un contexte exceptionnel pour les Mauritaniens, marqué par un climat d’ouverture, de dialogue social, juste à la veille des journées de concertation prévues par le gouvernement au sujet du retour des déportés et le règlement du passif humanitaire ».
Enfin, la présidente du CSVVDH Mme Lalla Aicha Sy a exhorté les partipants à un « débat serein et dépassionné indispensable pour traiter des sujets d’une grande complexité parce que touchant l’honneur et la dignité humaines ».
[Mohamed Ould Mohamed Lemine]mail:Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
le renovateur via cridem
L’atelier devait aboutir en fin de journée à d’importants résultats, notamment l’identification de solutions consensuelles qui requièrent l’adhésion de tous, en plus d’une meilleure préparation pour que les journées nationales de concertation qui devront être organisées cette semaine puissent conduire à des résultats positifs.
Les objectifs de l’atelier de réflexion sur le passif humanitaire en Mauritanie doivent également permettre aux participants de réfléchir et échanger leurs connaissances sur les possibilités de solutions (i), de déterminer une approche / démarche à suivre en vue d’un règlement juste et honorable de la question (ii) et d’aboutir à des solutions concertées et consensuelles.
Le calendrier de l’atelier comporte plusieurs exposés sur le contexte du passif humanitaire, sur les expériences similaires vécues et les différentes approches de solutions (Maroc, Afrique du sud …), présentés respectivement par Ms. Abdoulaye Ciré Bâ, El Hadj Sidi et Mohamed Dogui ; le tout suivi de débats. Les participants seront répartis par la suite en 3 sous-ateliers appeler à réfléchir sur les devoirs de justice (i), de mémoire (ii) et de réparation (iii).
La restitution des travaux en ateliers des participants sera consacrée par la synthèse et clôture des travaux.
Le coup d’envoi de l’atelier qui a vu la participation de représentants de plusieurs associations des droits de l’homme, de la société civile, du directeur des droits de l’homme auprès du Ministère de la justice, des représentants du Pnud, d’Oxfam et de NDI en Mauritanie, a été donné par la présidente du CSVVDH Mme Aicha Lalla Sy a tout d’abord remercié au nom du Comité, les participants pour avoir voulu honorer, de leur présence, cette importante activité ; ce qui dira t-elle témoigne de l’intérêt qu’ils accordent à ce sujet important relatif aux graves violations des droits humains commises en Mauritanie.
Abordant le thème de l’atelier susmentionné, elle a expliqué son but « d’amener les acteurs incontournables du développement à mener une réflexion approfondie sur les causes des graves violations qui ont été commises et qui affectent l’unité nationale et mettent en péril la paix, la concorde et partant proposer de meilleurs stratégies possibles pour aboutir à des solutions durables ».
Toujours selon elle : « cet atelier se tient dans un contexte exceptionnel pour les Mauritaniens, marqué par un climat d’ouverture, de dialogue social, juste à la veille des journées de concertation prévues par le gouvernement au sujet du retour des déportés et le règlement du passif humanitaire ».
Enfin, la présidente du CSVVDH Mme Lalla Aicha Sy a exhorté les partipants à un « débat serein et dépassionné indispensable pour traiter des sujets d’une grande complexité parce que touchant l’honneur et la dignité humaines ».
[Mohamed Ould Mohamed Lemine]mail:Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
le renovateur via cridem