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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

C’était le 6 décembre 1989 à l’École polytechnique


Plaque commémorative
Plaque commémorative
Le 6 décembre 1989 restera à jamais gravé dans l’histoire canadienne. Ce jour-là, en fin d’après-midi, un homme armé entre dans l’École polytechnique de Montréal et tire sur des jeunes femmes. Il en tue 14 et en blesse autant. Dans les jours suivant cette tuerie, le pays entier est plongé dans l’incompréhension et la douleur. Ce drame permettra d’engager une réflexion sur le contrôle des armes à feu au pays.

Le 6 décembre 1989, Marc Lépine (né Gamil Gharbi) entra dans l'École Polytechnique de Montréal, affiliée à l'Université de Montréal, à Montréal (Québec). Il pénétra dans un local où était donné un cours de génie, sépara les hommes des femmes sous la menace d'un fusil, se mit à crier à quel point il haïssait les féministes et commença à tirer sur les femmes. Il continua sa tuerie ailleurs dans l'édifice. Il tua quatorze femmes – treize étudiantes et une secrétaire – avant de se suicider.

Il laissa une note expliquant qu'il blâmait le féminisme pour les échecs de sa vie, dont sa non-admission au programme de génie, bien que les femmes ne constituaient alors que 20 pour cent des étudiants en voie de devenir ingénieur.

Jeudi 6 Décembre 2007 - 18:20
Jeudi 6 Décembre 2007 - 22:59
INFOS AVOMM
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