Le président de IRA Mauritanie, Birame Ould Dah Ould Abeid et six autres membres de son mouvement sont sortis de prison, lundi trois février après quatre mois d’incarcération à Nouakchott. La demande de liberté provisoire introduite par leurs avocats a été acceptée par la justice.
C’est vers 19 heures qu’Ould Abeid, dont l’état de santé est jugé préoccupante, est sorti de la prison sous les applaudissement et coups de klaxon de ses partisans massés devant la maison d’arrêt. Il tenait un coran à la main. Ses amis l’on hissé au dessus d’une voiture.
Biram Ould Abeid a déclaré : « j’ai décidé de faire le trajet de cette prison vers mon domicile a pied. » Une marche d’une quinzaine de kilomètres a été alors entamée vers les quartiers PK, la périphérie de Nouakchott. Ould Abeid, très affaibli, est finalement monté a bord d’une voiture. Il n’a pu continuer le trajet à pied.
Le président de IRA Mauritanie, accompagné de centaines de militants, est arrivé au quartier PK à la tombée de la nuit. Sur l’espace public ou avait eu lieu l’incinération de livres objet de son arrestation, devant ses partisans, il a effectué une prière.
Ould Abeid s’est ensuite adressé aux journalistes en ces termes : « Nous avons été victimes d’une machination ; des mensonges officiels de l’opposition et du pouvoir le 27 avril lorsque nous avons fait ici la prière du vendredi pour revendiquer l’Islam libérateur, anti-esclavagiste, fédérateur, l’Islam de l’égalité entre les hommes, l’Islam dans le coran, la Sunna du prophète, l’Islam des compagnons du prophète. Je récuse toujours l’Islam esclavagiste inventé. »
Biram Ould Dah Ould Abeid et les six autres militants de IRA avaient été arrêté en fin avril dernier pour avoir incinéré des livre du rites malékite jugé esclavagistes.
Pour le collectif des avocats de Biram ould Dah , « cette liberté provisoire est un échec pour le pouvoir exécutif, notamment le président de la République qui a instrumentalisé la justice pour régler les comptes d’un activiste des droits de l’Homme. »
Source : Rédaction Cridem
C’est vers 19 heures qu’Ould Abeid, dont l’état de santé est jugé préoccupante, est sorti de la prison sous les applaudissement et coups de klaxon de ses partisans massés devant la maison d’arrêt. Il tenait un coran à la main. Ses amis l’on hissé au dessus d’une voiture.
Biram Ould Abeid a déclaré : « j’ai décidé de faire le trajet de cette prison vers mon domicile a pied. » Une marche d’une quinzaine de kilomètres a été alors entamée vers les quartiers PK, la périphérie de Nouakchott. Ould Abeid, très affaibli, est finalement monté a bord d’une voiture. Il n’a pu continuer le trajet à pied.
Le président de IRA Mauritanie, accompagné de centaines de militants, est arrivé au quartier PK à la tombée de la nuit. Sur l’espace public ou avait eu lieu l’incinération de livres objet de son arrestation, devant ses partisans, il a effectué une prière.
Ould Abeid s’est ensuite adressé aux journalistes en ces termes : « Nous avons été victimes d’une machination ; des mensonges officiels de l’opposition et du pouvoir le 27 avril lorsque nous avons fait ici la prière du vendredi pour revendiquer l’Islam libérateur, anti-esclavagiste, fédérateur, l’Islam de l’égalité entre les hommes, l’Islam dans le coran, la Sunna du prophète, l’Islam des compagnons du prophète. Je récuse toujours l’Islam esclavagiste inventé. »
Biram Ould Dah Ould Abeid et les six autres militants de IRA avaient été arrêté en fin avril dernier pour avoir incinéré des livre du rites malékite jugé esclavagistes.
Pour le collectif des avocats de Biram ould Dah , « cette liberté provisoire est un échec pour le pouvoir exécutif, notamment le président de la République qui a instrumentalisé la justice pour régler les comptes d’un activiste des droits de l’Homme. »
Source : Rédaction Cridem