Après les exécutions sommaires et les déportations, l’état oppresseur et raciste a trouvé une autre technique dans son dessein de déposséder les négro-africains de leur terroir.Il s’agit maintenant de passer par la légitimité populaire autrement dit par la voie électorale.
Après Rosso et Kaédi c’est aujourd’hui à Boghé que nous constatons une forte poussée des candidatures Arabo-berbères imposées durant ces élections législatives et municipales. Quand on sait le rôle hautement important d’un maire ou d’un député, la vallée ne peut être représentée par une candidature parachutée.
Dans un pays normal qui se veut démocratique, cette question ne se poserait pas car il est même souhaitable que tout mauritanien se présente là où il le désire. Malheureusement tel n’est pas le cas dans l’espace politique de notre pays, connu pour être le terreau du racisme, de l’exclusion, de l’esclavage et du favoritisme ethnique et communautaire. Les conditions sont-elles aujourd’hui réunies pour qu’un Soninké, wolof ou haalpulaarsollicite le suffrage des Atarois ?
Soutenus parfois par des enfants des terroirs en errance intellectuelle et en manque de reconnaissance sociale, couronnée par une souffrance spirituelle et d’un trouble de comportement, ces candidats imposés du pouvoir central ont pour programme de montrer à la face du monde et les instances hégémoniques d’Etat comme si la communauté Maure est majoritaire en Mauritanie.
Contre cette forfaiture, disons non ! Tout sauf l’élection de ces candidats parachutés et mettons en garde leurs soutiens.
Moulaye Dioum
Source: Moulaye Dioum
Après Rosso et Kaédi c’est aujourd’hui à Boghé que nous constatons une forte poussée des candidatures Arabo-berbères imposées durant ces élections législatives et municipales. Quand on sait le rôle hautement important d’un maire ou d’un député, la vallée ne peut être représentée par une candidature parachutée.
Dans un pays normal qui se veut démocratique, cette question ne se poserait pas car il est même souhaitable que tout mauritanien se présente là où il le désire. Malheureusement tel n’est pas le cas dans l’espace politique de notre pays, connu pour être le terreau du racisme, de l’exclusion, de l’esclavage et du favoritisme ethnique et communautaire. Les conditions sont-elles aujourd’hui réunies pour qu’un Soninké, wolof ou haalpulaarsollicite le suffrage des Atarois ?
Soutenus parfois par des enfants des terroirs en errance intellectuelle et en manque de reconnaissance sociale, couronnée par une souffrance spirituelle et d’un trouble de comportement, ces candidats imposés du pouvoir central ont pour programme de montrer à la face du monde et les instances hégémoniques d’Etat comme si la communauté Maure est majoritaire en Mauritanie.
Contre cette forfaiture, disons non ! Tout sauf l’élection de ces candidats parachutés et mettons en garde leurs soutiens.
Moulaye Dioum
Source: Moulaye Dioum