Nouakchott met en garde les ambassades occidentales
Les autorités mauritaniennes ont eu vent de menaces sérieuses d’enlèvements de ressortissants étrangers par Al Qaeda au Maghreb. Depuis qu’il a changé de nom, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat algérien a menacé à de nombreuses reprises les intérêts occidentaux au Maghreb, particulièrement en Algérie.
Les représentations diplomatiques présentes en Mauritanie ont été averties mardi par les autorités nationales de menaces d’enlèvement contre leurs ressortissants vivant dans le pays. Ces menaces proviendraient de la branche du groupe terroriste Al Qaeda au Maghreb arabe, a appris mardi soir l’agence Panapress de source diplomatique à Nouakchott.
Selon la même source, les ambassades occidentales ont été invitées par les autorités mauritaniennes à prendre très au sérieux ces menaces d’enlèvement et à demander à leurs ressortissants de ne sortir que de jour.
Série d’arrestations
Le Groupe Salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) avait été officiellement repabtisé, après son allégeance à Al Qaeda, en septembre 2006, par Ayman Dhawahri, numéro 2 de l’organisation. Première relique de l’organisation terroriste internationale Al Qaeda au Maghreb, il s’est rendu responsable de l’attaque meurtrière perpétrée le 4 juillet 2004 contre le poste militaire mauritanien de Lemgheyti, au nord du pays.
L’alerte des ambassades occidentales déclenchée par les autorités mauritaniennes, mardi, intervient après l’arrestation d’au moins cinq personnes, dans la ville de Boutilimitt, à 150 km au sud de Nouakchott, soupçonnées d’appartenance à cette organisation terroriste.
Le GSPC avait déjà pratiqué le rapt, au début de l’année 2003, sur 32 touristes Allemands et Autrichiens qui faisaient du tourisme dans le Sahara algérien. L’enlèvement avait finalement connu un dénouement relativement heureux. Mais depuis son allégeance à Al Qaeda, le GSPC a changé sa stratégie et menacé à plusieurs reprises la vie des « ressortissants de France et les agents des croisés ».
Source:afrik.com
Les autorités mauritaniennes ont eu vent de menaces sérieuses d’enlèvements de ressortissants étrangers par Al Qaeda au Maghreb. Depuis qu’il a changé de nom, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat algérien a menacé à de nombreuses reprises les intérêts occidentaux au Maghreb, particulièrement en Algérie.
Les représentations diplomatiques présentes en Mauritanie ont été averties mardi par les autorités nationales de menaces d’enlèvement contre leurs ressortissants vivant dans le pays. Ces menaces proviendraient de la branche du groupe terroriste Al Qaeda au Maghreb arabe, a appris mardi soir l’agence Panapress de source diplomatique à Nouakchott.
Selon la même source, les ambassades occidentales ont été invitées par les autorités mauritaniennes à prendre très au sérieux ces menaces d’enlèvement et à demander à leurs ressortissants de ne sortir que de jour.
Série d’arrestations
Le Groupe Salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) avait été officiellement repabtisé, après son allégeance à Al Qaeda, en septembre 2006, par Ayman Dhawahri, numéro 2 de l’organisation. Première relique de l’organisation terroriste internationale Al Qaeda au Maghreb, il s’est rendu responsable de l’attaque meurtrière perpétrée le 4 juillet 2004 contre le poste militaire mauritanien de Lemgheyti, au nord du pays.
L’alerte des ambassades occidentales déclenchée par les autorités mauritaniennes, mardi, intervient après l’arrestation d’au moins cinq personnes, dans la ville de Boutilimitt, à 150 km au sud de Nouakchott, soupçonnées d’appartenance à cette organisation terroriste.
Le GSPC avait déjà pratiqué le rapt, au début de l’année 2003, sur 32 touristes Allemands et Autrichiens qui faisaient du tourisme dans le Sahara algérien. L’enlèvement avait finalement connu un dénouement relativement heureux. Mais depuis son allégeance à Al Qaeda, le GSPC a changé sa stratégie et menacé à plusieurs reprises la vie des « ressortissants de France et les agents des croisés ».
Source:afrik.com