L’opposant mauritanien Ahmed Ould Daddah, président du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), a manifesté vendredi son attachement à une « démarche pacifique et souple » pour réaliser les objectifs de parti, a constaté APA à Nouakchott.
Nous vivons aujourd’hui une « transition véritable que nous nous devons de traverser avec l’ensemble de nos partenaires de l’opposition démocratique mais aussi avec les tenants du pouvoir en place afin d’aboutir aux objectifs de la pacification économique et sociale, garants de la stabilité politique », a ajouté M. Ould Daddah.
Le chef de l’opposition mauritanienne s’exprimait à l’ouverture d’un séminaire organisé par le RFD vendredi à Nouakchott.
Ses propos, jugés apaisants, interviennent au moment où l’opposition est engagée dans une confrontation avec le gouvernement au sujet de la situation économique du pays et la création imminente d’un parti politique regroupant les tendances qui avaient soutenu le président mauritanien Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Selon Ould Daddah, l’initiative de cette rencontre vise notamment à parvenir aux meilleures évaluations et solutions possibles tout en apportant des éclairages à l’opinion publique nationale.
Les objectifs du RFD portent sur la consolidation de l’unité nationale et les bases de la cohésion sociale, fondées sur la liberté, l’égalité et le respect des fondements historiques, culturels et sociaux de chaque composante, la consolidation de la démocratie.
Il a énuméré les principes et les concepts de la démocratie, dans le discours comme dans la pratique, la vulgarisation de la culture des droits de l’homme et son application, la justice et l’équité, la transparence et la compétence pour une meilleure gestion des biens publics.
M. Ould Abdallah a estimé que la gestion des affaires publiques par les détenteurs du pouvoir en vue de faire appliquer leur programme déclaré va de pair avec le rôle de l’opposition démocratique qui est celui de « surveillant vigilant » de l’exercice du pouvoir.
Les groupes de travail se pencheront sur « la situation politique actuelle et ses perspectives », « la situation économique et sociale », « le rôle des institutions nationales dans le développement (l’exemple de la Société nationale d’industrie et des mines, SNIM) » et « les droits de l’homme, notamment l’esclavage, les réfugiés et les rapatriés ».
Source: APA - 19-10-2007
(M)
Nous vivons aujourd’hui une « transition véritable que nous nous devons de traverser avec l’ensemble de nos partenaires de l’opposition démocratique mais aussi avec les tenants du pouvoir en place afin d’aboutir aux objectifs de la pacification économique et sociale, garants de la stabilité politique », a ajouté M. Ould Daddah.
Le chef de l’opposition mauritanienne s’exprimait à l’ouverture d’un séminaire organisé par le RFD vendredi à Nouakchott.
Ses propos, jugés apaisants, interviennent au moment où l’opposition est engagée dans une confrontation avec le gouvernement au sujet de la situation économique du pays et la création imminente d’un parti politique regroupant les tendances qui avaient soutenu le président mauritanien Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi.
Selon Ould Daddah, l’initiative de cette rencontre vise notamment à parvenir aux meilleures évaluations et solutions possibles tout en apportant des éclairages à l’opinion publique nationale.
Les objectifs du RFD portent sur la consolidation de l’unité nationale et les bases de la cohésion sociale, fondées sur la liberté, l’égalité et le respect des fondements historiques, culturels et sociaux de chaque composante, la consolidation de la démocratie.
Il a énuméré les principes et les concepts de la démocratie, dans le discours comme dans la pratique, la vulgarisation de la culture des droits de l’homme et son application, la justice et l’équité, la transparence et la compétence pour une meilleure gestion des biens publics.
M. Ould Abdallah a estimé que la gestion des affaires publiques par les détenteurs du pouvoir en vue de faire appliquer leur programme déclaré va de pair avec le rôle de l’opposition démocratique qui est celui de « surveillant vigilant » de l’exercice du pouvoir.
Les groupes de travail se pencheront sur « la situation politique actuelle et ses perspectives », « la situation économique et sociale », « le rôle des institutions nationales dans le développement (l’exemple de la Société nationale d’industrie et des mines, SNIM) » et « les droits de l’homme, notamment l’esclavage, les réfugiés et les rapatriés ».
Source: APA - 19-10-2007
(M)