Abda MC, membre du collectif de rap Force Trankil, n'en finit pas d'ajouter des cordes à son arc en dévoilant "Nio gui jooye"(Nous pleurons), une chanson à la tonalité acoustique dédiée aux sinistrés des inondations de Nouakchott notamment ceux de Sebkha, d’El Mina ou encore de la SOCOGIM PS.
Musique séduisante, voix captivante, décor sobre, scènes d’inondations qui secouent la conscience…Le nouveau clip du boys de Force Trankil montre sa capacité à nous arracher la compassion et l’émotion, face à l’épreuve que vivent les sinistrés des inondations qui ont cessé de connaitre des temps heureux avec les eaux de pluie.
"Je me sens concerné par ces épreuves qu’ils sont en train de traverser. Lorsqu’on est en contact avec la réalité effrayante, on se dit qu’il est impératif d’agir.
Moi, je l’ai fait à travers ma musique, par devoir de solidarité et d’humanisme. En réalisant ce clip, ma conscience se libère. Cette chanson est une sorte de plaidoyer en faveur des sinistrés des inondations", explique Abda MC. Signe évident que nos artistes semblent ne plus dormir sur leurs lauriers et se montrent de plus en plus qu’ils sont concernés par la situation de ces personnes en désespoir de cause. A ce rythme-là, la musique mauritanienne s’en porterait mieux.
Babacar Baye Ndiaye
Source: Cridem
Musique séduisante, voix captivante, décor sobre, scènes d’inondations qui secouent la conscience…Le nouveau clip du boys de Force Trankil montre sa capacité à nous arracher la compassion et l’émotion, face à l’épreuve que vivent les sinistrés des inondations qui ont cessé de connaitre des temps heureux avec les eaux de pluie.
"Je me sens concerné par ces épreuves qu’ils sont en train de traverser. Lorsqu’on est en contact avec la réalité effrayante, on se dit qu’il est impératif d’agir.
Moi, je l’ai fait à travers ma musique, par devoir de solidarité et d’humanisme. En réalisant ce clip, ma conscience se libère. Cette chanson est une sorte de plaidoyer en faveur des sinistrés des inondations", explique Abda MC. Signe évident que nos artistes semblent ne plus dormir sur leurs lauriers et se montrent de plus en plus qu’ils sont concernés par la situation de ces personnes en désespoir de cause. A ce rythme-là, la musique mauritanienne s’en porterait mieux.
Babacar Baye Ndiaye
Source: Cridem