D’abord je me félicite du tsunami démocratique qui a déferlé dans les bureaux de vote engeandrant un taux de participation qui nous fait définitivement oublier celui de 2002.
Fidèle à la vision que j’ai défendue durant toute cette campagne présidentielle, alors même que je me revendique du centre droit, je n’ai pas voté Nicolas Sarkozy au second tour de cette élection présidentielle.
En effet, j’estime que sa vision de la société française n’allie pas harmonieusement développement économique et progrès social : deux sphères qui ne doivent jamais s’opposer mais se compléter dans l’intérêt de tous.
La concentration de tous les pouvoirs au sein d’un même parti est dangereuse pour la démocratie. Les Français doivent donner au nouveau gouvernement une opposition « intelligente » et « constructive » qui ne bloquera pas le pays pour des raisons purement idéologiques.
Au sein du Mouvement Démocrate, avec tous ceux qui veulent travailler ensemble, loin de tout dogmatisme partisan, je serai donc tantôt un allié actif, tantôt un vif opposant car, comme des millions de français, je pense qu’il y a « de bonnes choses à droite » mais aussi de « bonnes choses à gauche ».
Dans les mois qui viennent, si je suis élu député, je me battrai avec pugnacité tant au niveau local qu’au niveau national pour soutenir « les bonnes idées » du gouvernement (en matière économique, de création d’emplois ou de création d’entreprises par exemple) ; mais je saurai aussi me battre de toutes mes forces lorsque je jugerai que les propositions ne seront pas dans l’intérêt de tous les français et particulièrement des plus faibles (sur le pouvoir d’achat, sur la disparition de la carte scolaire, sur le co-développement par exemple).
Je m’engage donc à rester actif et pragmatique car je ne souhaite pas voir mon pays se diviser d’avantage, se fracturer plus qu’il ne l’est.
Je veux œuvrer du fond du cœur au rassemblement pour que, au-delà des partis politiques, nous puissions tous travailler ensemble dans l’intérêt de tous nos compatriotes. C’est aussi par cette nouvelle manière pragmatique et humaniste de faire de la politique que nous pourrons sortir la France de cette crise économique, sociale et identitaire.
source :
Aziz Senni
Candidat UDF(Mouvement Démocrate) aux élections législatives sur la 8ème circonscription des Yvelines
Fidèle à la vision que j’ai défendue durant toute cette campagne présidentielle, alors même que je me revendique du centre droit, je n’ai pas voté Nicolas Sarkozy au second tour de cette élection présidentielle.
En effet, j’estime que sa vision de la société française n’allie pas harmonieusement développement économique et progrès social : deux sphères qui ne doivent jamais s’opposer mais se compléter dans l’intérêt de tous.
La concentration de tous les pouvoirs au sein d’un même parti est dangereuse pour la démocratie. Les Français doivent donner au nouveau gouvernement une opposition « intelligente » et « constructive » qui ne bloquera pas le pays pour des raisons purement idéologiques.
Au sein du Mouvement Démocrate, avec tous ceux qui veulent travailler ensemble, loin de tout dogmatisme partisan, je serai donc tantôt un allié actif, tantôt un vif opposant car, comme des millions de français, je pense qu’il y a « de bonnes choses à droite » mais aussi de « bonnes choses à gauche ».
Dans les mois qui viennent, si je suis élu député, je me battrai avec pugnacité tant au niveau local qu’au niveau national pour soutenir « les bonnes idées » du gouvernement (en matière économique, de création d’emplois ou de création d’entreprises par exemple) ; mais je saurai aussi me battre de toutes mes forces lorsque je jugerai que les propositions ne seront pas dans l’intérêt de tous les français et particulièrement des plus faibles (sur le pouvoir d’achat, sur la disparition de la carte scolaire, sur le co-développement par exemple).
Je m’engage donc à rester actif et pragmatique car je ne souhaite pas voir mon pays se diviser d’avantage, se fracturer plus qu’il ne l’est.
Je veux œuvrer du fond du cœur au rassemblement pour que, au-delà des partis politiques, nous puissions tous travailler ensemble dans l’intérêt de tous nos compatriotes. C’est aussi par cette nouvelle manière pragmatique et humaniste de faire de la politique que nous pourrons sortir la France de cette crise économique, sociale et identitaire.
source :
Aziz Senni
Candidat UDF(Mouvement Démocrate) aux élections législatives sur la 8ème circonscription des Yvelines