Depuis mars 2012, le peuple frère du Mali vit une situation d’exception avec l’occupation de sa partie Nord par des mouvements armés réclamant la partition ou remettant en cause le caractère laïc du pays contre la volonté des populations. Une véritable terreur est instaurée dans la partie occupée. Des monuments historiques sont détruits, des cimetières sont profanés, des lieux de culte sont saccagés, des jugements expéditifs condamnent à la peine capitale des citoyens qui sont immédiatement exécutés, de présumés voleurs sont amputés, des femmes sont violées, tout cela sous l’œil impuissant des autorités politiques en place et de la Communauté internationale.
L’intervention de la CEDEAO a permis de rétablir la légalité constitutionnelle, d’ouvrir des discussions avec certains groupes acceptant le caractère laïc et l’indivisibilité du Mali. La résolution 2056 du Conseil de sécurité des Nations a permis de fixer le cadre d’une solution politique globale au Mali et témoigne de la mobilisation de la communauté internationale tout en renouvelant son soutien aux efforts de la CEDEAO et de l’Union africaine. Le Conseil de sécurité se déclare également prêt à examiner la demande de la CEDEAO et de l’UA d’autoriser le déploiement d’une force de stabilisation au Mali.
Enfin, la résolution 2085 du 20 décembre 2012 autorise le déploiement d’une force internationale au Mali pour un an sans fixer un calendrier précis pour le déclenchement des opérations. Elle invite, par ailleurs, les autorités de la transition à engager des négociations crédibles avec certains groupes présents dans le Nord qui rejettent le terrorisme et la partition du pays.
Mais devant les lenteurs et les hésitations de la communauté internationale, des groupes armés, forts de l’occupation du Nord, décident de marcher vers Mopti et Bamako pour occuper le reste du territoire. Marche que la France, en pays ami, a freinée.
Pour l’Alliance pour le Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR), qui a toujours suivi l’évolution de la situation dans ce pays frère, l’intervention de la France sur demande du gouvernement malien est salutaire. L’AJD/MR apporte donc son soutien au peuple frère du Mali.
Pour l’AJD/MR, le gouvernement mauritanien doit prendre des dispositions pour qu’il n’y ait pas d’infiltration de jihadistes en Mauritanie.
Enfin, pour l’AJD/MR, le gouvernement malien et les pays de la sous-région, soucieux de la sécurité de la zone du Sahel, doivent prendre des dispositions pour que les terroristes ne trouvent pas refuge dans les pays voisins.
Nouakchott, le 18 janvier 2013
Le Bureau Politique de l’AJD/MR
Source: ajd/mr
L’intervention de la CEDEAO a permis de rétablir la légalité constitutionnelle, d’ouvrir des discussions avec certains groupes acceptant le caractère laïc et l’indivisibilité du Mali. La résolution 2056 du Conseil de sécurité des Nations a permis de fixer le cadre d’une solution politique globale au Mali et témoigne de la mobilisation de la communauté internationale tout en renouvelant son soutien aux efforts de la CEDEAO et de l’Union africaine. Le Conseil de sécurité se déclare également prêt à examiner la demande de la CEDEAO et de l’UA d’autoriser le déploiement d’une force de stabilisation au Mali.
Enfin, la résolution 2085 du 20 décembre 2012 autorise le déploiement d’une force internationale au Mali pour un an sans fixer un calendrier précis pour le déclenchement des opérations. Elle invite, par ailleurs, les autorités de la transition à engager des négociations crédibles avec certains groupes présents dans le Nord qui rejettent le terrorisme et la partition du pays.
Mais devant les lenteurs et les hésitations de la communauté internationale, des groupes armés, forts de l’occupation du Nord, décident de marcher vers Mopti et Bamako pour occuper le reste du territoire. Marche que la France, en pays ami, a freinée.
Pour l’Alliance pour le Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Rénovation (AJD/MR), qui a toujours suivi l’évolution de la situation dans ce pays frère, l’intervention de la France sur demande du gouvernement malien est salutaire. L’AJD/MR apporte donc son soutien au peuple frère du Mali.
Pour l’AJD/MR, le gouvernement mauritanien doit prendre des dispositions pour qu’il n’y ait pas d’infiltration de jihadistes en Mauritanie.
Enfin, pour l’AJD/MR, le gouvernement malien et les pays de la sous-région, soucieux de la sécurité de la zone du Sahel, doivent prendre des dispositions pour que les terroristes ne trouvent pas refuge dans les pays voisins.
Nouakchott, le 18 janvier 2013
Le Bureau Politique de l’AJD/MR
Source: ajd/mr