À l'issue de la réunion du Comité interministériel de la Coopération internationale et du développement (CICID), Jean-Marc Ayrault a annoncé un "recentrage" de l'aide française au développement.
16 États africains ont été retenus comme prioritaires. Alors que se tenait aujourd’hui mercredi 31 juillet la première réunion depuis quatre ans du Comité interministériel de la Coopération internationale et du développement (CICID), Jean-Marc Ayrault a annoncé un « recentrage » de l'aide française au développement aux pays les plus pauvres.
Il s’agit de 16 États africains :
Bénin, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Djibouti, Comores, Ghana, Guinée, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, RD Congo, Tchad, Togo, Sénégal.
Le Premier ministre français a rappelé le contexte difficile des comptes publics français, mais tenu à rassurer les bénéficiaires de l’aide au développement : « Nous sommes engagés dans une maîtrise de nos comptes publics (…) mais pour autant, la France maintient son effort en matière de développement »
Contrôle de l'efficacité de l'aide
Le gouvernement souhaite aussi mettre l'accent sur la « transparence » avec un « contrôle de l'efficacité des aides ». Ainsi, pour les aides apportées au Mali, un site internet sera mis en ligne dans les prochaines semaines afin de donner des informations précises sur les projets financés. Un premier projet de loi d'orientation et de programmation sur la politique de développement et de solidarité internationale de la Ve république sera présenté au Conseil des ministres en novembre pour un débat au Parlement début 2014.
16 États africains ont été retenus comme prioritaires. Alors que se tenait aujourd’hui mercredi 31 juillet la première réunion depuis quatre ans du Comité interministériel de la Coopération internationale et du développement (CICID), Jean-Marc Ayrault a annoncé un « recentrage » de l'aide française au développement aux pays les plus pauvres.
Il s’agit de 16 États africains :
Bénin, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Djibouti, Comores, Ghana, Guinée, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, RD Congo, Tchad, Togo, Sénégal.
Le Premier ministre français a rappelé le contexte difficile des comptes publics français, mais tenu à rassurer les bénéficiaires de l’aide au développement : « Nous sommes engagés dans une maîtrise de nos comptes publics (…) mais pour autant, la France maintient son effort en matière de développement »
Contrôle de l'efficacité de l'aide
Le gouvernement souhaite aussi mettre l'accent sur la « transparence » avec un « contrôle de l'efficacité des aides ». Ainsi, pour les aides apportées au Mali, un site internet sera mis en ligne dans les prochaines semaines afin de donner des informations précises sur les projets financés. Un premier projet de loi d'orientation et de programmation sur la politique de développement et de solidarité internationale de la Ve république sera présenté au Conseil des ministres en novembre pour un débat au Parlement début 2014.