Au total 1.300 mauritaniens sont candidats au pèlerinage à la Mecque 2007 dont le premier vol devra quitter Nouakchott, la capitale de la Mauritanie, le 25 novembre prochain.
Six vols de 250 passagers chacun sont programmés, a expliqué à APA une source proche du ministère des affaires islamiques et de l’enseignement originel, selon qui le quota des 2000 pèlerins alloué par l’Arabie Saoudite à la Mauritanie est loin d’être atteint cette année.
Le nombre de pelerins qui choisissent de voyager par les « lignes internationales » n’est d’ailleurs pas connu.
« Il est impossible d’établir des statistiques fiables pour cette catégorie de pèlerins », reconnaît la même source.
Pour le transport des pèlerins au titre de l’année 1428 de l’Hégire, correspondant à la saison actuelle, le gouvernement mauritanien a passé un accord avec la compagnie Air Algérie.
Le coût du billet pour la saison actuelle a été fixé à 526.400 ouguiyas (1.053.000 F CFA environ) tandis que le chèque d’El Moutawif (éventuellement pour les personnes nécessitant une assistance physique) s’est monté à 66.300 ouguiyas (132.000 F CFA environ).
Les pèlerins mauritaniens seront transportés directement vers Médine où ils pourront accomplir, à temps, les quarante prières, alors que leur retour au pays est programmé partir de Djedda
Le loyer du domicile à la Mecque coûte, lui, la somme de 119.000 ouguiyas (238.000 F CFA environ) pour chaque pèlerin qui doit, en plus, changer en devises le montant de 131.000 ouguiyas (262.000 F CFA environ).
C’est dire que le coût global du pèlerinage organisé par l’Etat a atteint cette année l’enveloppe de 843.300 ouguiyas (1.686.000 F CFA environ), soit une réduction de 2,6% par rapport à la saison dernière.
Les pèlerins empruntant les lignes internationales ne sont, bien entendu, pas concernées par le paiement des charges autres que celle de l’achat du billet. Mais, une fois en Arabie saoudite, ils doivent se débrouiller à leurs propres frais pour trouver un logement et, éventuellement, louer les services d’une assistance physique.
A cela il faut ajouter, particulièrement pour les femmes, que l’octroi de visa par le consulat saoudien est conditionné par la compagnie d’un mahram (mari, père, frère ou tout autre homme ayant des liens de sang avec elles).
Cette dernière disposition n’est pas appliquée aux femmes voyageant sous le couvert de l’Etat.
Source: APA
(M)
Six vols de 250 passagers chacun sont programmés, a expliqué à APA une source proche du ministère des affaires islamiques et de l’enseignement originel, selon qui le quota des 2000 pèlerins alloué par l’Arabie Saoudite à la Mauritanie est loin d’être atteint cette année.
Le nombre de pelerins qui choisissent de voyager par les « lignes internationales » n’est d’ailleurs pas connu.
« Il est impossible d’établir des statistiques fiables pour cette catégorie de pèlerins », reconnaît la même source.
Pour le transport des pèlerins au titre de l’année 1428 de l’Hégire, correspondant à la saison actuelle, le gouvernement mauritanien a passé un accord avec la compagnie Air Algérie.
Le coût du billet pour la saison actuelle a été fixé à 526.400 ouguiyas (1.053.000 F CFA environ) tandis que le chèque d’El Moutawif (éventuellement pour les personnes nécessitant une assistance physique) s’est monté à 66.300 ouguiyas (132.000 F CFA environ).
Les pèlerins mauritaniens seront transportés directement vers Médine où ils pourront accomplir, à temps, les quarante prières, alors que leur retour au pays est programmé partir de Djedda
Le loyer du domicile à la Mecque coûte, lui, la somme de 119.000 ouguiyas (238.000 F CFA environ) pour chaque pèlerin qui doit, en plus, changer en devises le montant de 131.000 ouguiyas (262.000 F CFA environ).
C’est dire que le coût global du pèlerinage organisé par l’Etat a atteint cette année l’enveloppe de 843.300 ouguiyas (1.686.000 F CFA environ), soit une réduction de 2,6% par rapport à la saison dernière.
Les pèlerins empruntant les lignes internationales ne sont, bien entendu, pas concernées par le paiement des charges autres que celle de l’achat du billet. Mais, une fois en Arabie saoudite, ils doivent se débrouiller à leurs propres frais pour trouver un logement et, éventuellement, louer les services d’une assistance physique.
A cela il faut ajouter, particulièrement pour les femmes, que l’octroi de visa par le consulat saoudien est conditionné par la compagnie d’un mahram (mari, père, frère ou tout autre homme ayant des liens de sang avec elles).
Cette dernière disposition n’est pas appliquée aux femmes voyageant sous le couvert de l’Etat.
Source: APA
(M)