Il va vous être très difficile de comprendre, pourquoi tous ces villages qui certes, ne sont pas exhaustifs sont tous désertés par leurs créateurs de l’époque d’avant coloniale. Il faut noter, que leur désertion était du à plusieurs aléas: (pression que climatique).
Ces Villages ont été désertés premièrement par l’harcèlement des autorités de l’époque qui, faisaient la pression sur les peulhs en veillant leur soutirer des impôts imposés de force qui les a faits de fuir au Sénégal et au Mali ce qui vous vaut de connaître que la plus part de RICHARDS PEULHS DE DAKAR et à l’Etranger, sont des mauritaniens de souche.
Car tu peux tuer un Peulh dans la dignité, lui vaut mieux que de l’humilier dans sa vie, ce qui fait donc qu’ils ont fuit l’humiliation pour aller vivre en dignité.
Ils le sont encore que par la sécheresse des années 60 qui a provoqué l’exode de la plus part des peulhs de « Dièri » aux grandes villes d’où leur devenir des chauffeurs pour les hommes et des bonnes pour les jeunes filles.
En effet, étant né dans le milieu, je vais vous citer quelques villages du Gorgol d’avant et après 1968 et ce nombre impressionnant des villages sont ainsi qu’il suit:
trois Bookkoul « mbalndinkoobe, fulbe jeeri et boosoyaabe » ; Weendou Dianel ; Saalka Dianel ; Meyriis Thioutinkoobe ; Meyriis fulbe Djeeri ; Aafoylé ; Souroundé ; Wouro Alpha ; Farè ; Wouro Demba Saydel ; Wouro dhomka ; Wouro Seeno ; Wouro Diambaaro ; Toufndé Koubeyel ; Wouro Hamadi Baaboodou ; Bougouderé ; Selka Gawdal ; Gawdi Gooti ; Karwan Bhoulli wouro Maham; Diékitouba ; Mbeydi hooyonaabe ; Wouro Toubakel ; Deychrak Fallah ; Wouro Diawlol Hourayi ; Bileyi Dack Beeli Dièri ;Melgha ; Bouloukdhatt ; Helbiir Yirlaabé ; Winndé bokkiidi : « Diaawbé, Wouro boungou, Wouro Dem Bambi » ; Ngappougou Wouro Haayré Bogguel Tièli ; Wouro Demba Hadya ; Winndé Diammi Batha Baayé Sèdonaabé ; Dergué Naamous Hooyonaabe ; Wouro Bay Boolo ; Karayel Fiil, Wouro Samba Amadou ; Sinthiane Mbaddon ; Woullouram Maccubé ; Wouro Diombo, Wouro Baali, Debeya foulbé ; Sanadiir ; Wouro Demboysi ; Wouro Semmou ; Wouro Ould Bowwa ; Wouro Demba dikkel ; Mbomèji : « Thoutinkoobe, Wodhabé, Kaawelnaabé et Boosoyaabé » ; Kodiolidelbi ; Ndaam, Caalé Winndé Mboorndi ; Sereyga ; Caanngol Koolé ; Bhoulli Nguiro ; Saalka kaawel ; Jey Baaba : (Wodhaabé et Ndoomo) ; Silliwoloudji :( Wouro BI, Wouro Yero Malal, Wouro Amadou Bhooyo, Wouro Dem Mbourel en ; Wouro Samba komé) ; Winndé Saada ; Moy Barak ; Deylel sannaraabé ; Deylel Feroybé ; Wouro Boodel ; Lobboudou ; Fadara ; Dinndi ; Patoukone ; Boowel ; Gourel Gobi ; Niima ; Youman Yiré ; Winndé Thilé ; Foodé Beelel ;…ect.
Tous ces villages, bien que ne sont pas exhaustifs, tout en demandant à tous ceux qui peuvent apporter leur complément d’y contribuer, ne sont seulement que de la région du Gorgol et certes les autres régions elles aussi ont leur quota à mettre sur le tapi.
Ainsi, je demande à tous ceux qui peuvent en contribuer, d’y ajouter à leur tour, afin de savoir combien de citoyens, nous avons perdus plus ou moins durant ces dernières années, qui en partie, est du aux différents régimes qui se sont succédés au pouvoir, parce que veillant nous amoindrir.
Abdoulaye Djibril Deh du PLEJ, mbre de la commission de communication.
Source: AbdoulayeDjibril Deh
Ces Villages ont été désertés premièrement par l’harcèlement des autorités de l’époque qui, faisaient la pression sur les peulhs en veillant leur soutirer des impôts imposés de force qui les a faits de fuir au Sénégal et au Mali ce qui vous vaut de connaître que la plus part de RICHARDS PEULHS DE DAKAR et à l’Etranger, sont des mauritaniens de souche.
Car tu peux tuer un Peulh dans la dignité, lui vaut mieux que de l’humilier dans sa vie, ce qui fait donc qu’ils ont fuit l’humiliation pour aller vivre en dignité.
Ils le sont encore que par la sécheresse des années 60 qui a provoqué l’exode de la plus part des peulhs de « Dièri » aux grandes villes d’où leur devenir des chauffeurs pour les hommes et des bonnes pour les jeunes filles.
En effet, étant né dans le milieu, je vais vous citer quelques villages du Gorgol d’avant et après 1968 et ce nombre impressionnant des villages sont ainsi qu’il suit:
trois Bookkoul « mbalndinkoobe, fulbe jeeri et boosoyaabe » ; Weendou Dianel ; Saalka Dianel ; Meyriis Thioutinkoobe ; Meyriis fulbe Djeeri ; Aafoylé ; Souroundé ; Wouro Alpha ; Farè ; Wouro Demba Saydel ; Wouro dhomka ; Wouro Seeno ; Wouro Diambaaro ; Toufndé Koubeyel ; Wouro Hamadi Baaboodou ; Bougouderé ; Selka Gawdal ; Gawdi Gooti ; Karwan Bhoulli wouro Maham; Diékitouba ; Mbeydi hooyonaabe ; Wouro Toubakel ; Deychrak Fallah ; Wouro Diawlol Hourayi ; Bileyi Dack Beeli Dièri ;Melgha ; Bouloukdhatt ; Helbiir Yirlaabé ; Winndé bokkiidi : « Diaawbé, Wouro boungou, Wouro Dem Bambi » ; Ngappougou Wouro Haayré Bogguel Tièli ; Wouro Demba Hadya ; Winndé Diammi Batha Baayé Sèdonaabé ; Dergué Naamous Hooyonaabe ; Wouro Bay Boolo ; Karayel Fiil, Wouro Samba Amadou ; Sinthiane Mbaddon ; Woullouram Maccubé ; Wouro Diombo, Wouro Baali, Debeya foulbé ; Sanadiir ; Wouro Demboysi ; Wouro Semmou ; Wouro Ould Bowwa ; Wouro Demba dikkel ; Mbomèji : « Thoutinkoobe, Wodhabé, Kaawelnaabé et Boosoyaabé » ; Kodiolidelbi ; Ndaam, Caalé Winndé Mboorndi ; Sereyga ; Caanngol Koolé ; Bhoulli Nguiro ; Saalka kaawel ; Jey Baaba : (Wodhaabé et Ndoomo) ; Silliwoloudji :( Wouro BI, Wouro Yero Malal, Wouro Amadou Bhooyo, Wouro Dem Mbourel en ; Wouro Samba komé) ; Winndé Saada ; Moy Barak ; Deylel sannaraabé ; Deylel Feroybé ; Wouro Boodel ; Lobboudou ; Fadara ; Dinndi ; Patoukone ; Boowel ; Gourel Gobi ; Niima ; Youman Yiré ; Winndé Thilé ; Foodé Beelel ;…ect.
Tous ces villages, bien que ne sont pas exhaustifs, tout en demandant à tous ceux qui peuvent apporter leur complément d’y contribuer, ne sont seulement que de la région du Gorgol et certes les autres régions elles aussi ont leur quota à mettre sur le tapi.
Ainsi, je demande à tous ceux qui peuvent en contribuer, d’y ajouter à leur tour, afin de savoir combien de citoyens, nous avons perdus plus ou moins durant ces dernières années, qui en partie, est du aux différents régimes qui se sont succédés au pouvoir, parce que veillant nous amoindrir.
Abdoulaye Djibril Deh du PLEJ, mbre de la commission de communication.
Source: AbdoulayeDjibril Deh