L’Association mauritanienne des droits de l’homme (AMDH) a vivement condamné des agressions contre le président de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), Alioune Tine, et d’un membre de la même organisation, Omar Diallo, le 23 juin à Dakar lors d’une manifestation contre un projet de réforme constitutionnelle du gouvernement sénégalais visant à instaurer un ticket pour l’élection présidentielle de février porchain.
Dans une déclaration publiée à Nouakchott, l’AMDH dénonce «toutes les tentatives d’intimidations vis-à-vis des défenseurs des droits de l’homme» au Sénégal, notamment les propos du Premier ministre, Souleymane Ndené Ndiaye qualifiant les membres des organisations de droits humains de «politiciens voilés».
«L’AMDH tient le gouvernement sénégalais pour responsable de toute atteinte à l’intégrité physique et morale de Alioune Tine et Omar Diallo et exige l’ouverture d’une enquête pour faire toute la lumière sur les agressions du 23 juin», souligne la déclaration.
L’AMDH invite les autorités sénégalaises «à se conformer aux déclarations sur les défenseurs des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 9 décembre 1998, notamment son article 1».
Source: PANA
Dans une déclaration publiée à Nouakchott, l’AMDH dénonce «toutes les tentatives d’intimidations vis-à-vis des défenseurs des droits de l’homme» au Sénégal, notamment les propos du Premier ministre, Souleymane Ndené Ndiaye qualifiant les membres des organisations de droits humains de «politiciens voilés».
«L’AMDH tient le gouvernement sénégalais pour responsable de toute atteinte à l’intégrité physique et morale de Alioune Tine et Omar Diallo et exige l’ouverture d’une enquête pour faire toute la lumière sur les agressions du 23 juin», souligne la déclaration.
L’AMDH invite les autorités sénégalaises «à se conformer aux déclarations sur les défenseurs des droits de l’homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 9 décembre 1998, notamment son article 1».
Source: PANA