Des prières sont organisées ce vendredi à la mosquée de Paris à la mémoire de l’ex-top model sénégalo-guinéenne Katoucha Niane, dont le corps a été retrouvé en fin février dans la Seine, a appris APA.
La famille et les amis voulaient, par cette journée de prières, rendre hommage à celle qui était considérée comme la première Africaine à avoir défilé sur les podiums pour les plus grands couturiers du monde.
Au Sénégal, ses amies ne veulent pas se prononcer sur un agenda de funérailles « par respect pour la famille » qui recommande la discrétion, nous dit la styliste Oumou Sy pour qui « Katoucha était une petite sœur ».
« On a vécu ensemble ; j’ai même gardé avec moi sa dernière fille à plusieurs occasions », a confié l’artiste à Apa.
Katoucha était pleine de vie et avait beaucoup de projets, surtout dans le monde rural où on devait « faire des choses ensemble », soutient Oumou Sy en avouant « n’avoir pas une seule fois pensé à la thèse de la mort car elle aimait vivre ».
C’est aussi par respect pour la famille que Collé Ardo Sow, une autre styliste et amie de Katoucha, dit être restée sans voix à la confirmation du décès.
« J’ai comme un blocage dès qu’on me parle de Katoucha et je n’arrive pas à accepter sa mort », dit-elle.
Une évolution dans l’affaire Katoucha a été actualisée dans la presse française. La thèse de l’accident annoncée après les résultats de l’autopsie ne serait plus retenue et la famille du top model a porté plainte contre X et l’avocat Robert Dumas, ancien ministre français des affaires étrangères, a été commis par la famille.
Katoucha, mère de trois enfants, était née en 1960 à Conakry. Elle était la fille de l’historien et écrivain guinéen Djibril Tamsir Niane.
Source: APA
(M)
La famille et les amis voulaient, par cette journée de prières, rendre hommage à celle qui était considérée comme la première Africaine à avoir défilé sur les podiums pour les plus grands couturiers du monde.
Au Sénégal, ses amies ne veulent pas se prononcer sur un agenda de funérailles « par respect pour la famille » qui recommande la discrétion, nous dit la styliste Oumou Sy pour qui « Katoucha était une petite sœur ».
« On a vécu ensemble ; j’ai même gardé avec moi sa dernière fille à plusieurs occasions », a confié l’artiste à Apa.
Katoucha était pleine de vie et avait beaucoup de projets, surtout dans le monde rural où on devait « faire des choses ensemble », soutient Oumou Sy en avouant « n’avoir pas une seule fois pensé à la thèse de la mort car elle aimait vivre ».
C’est aussi par respect pour la famille que Collé Ardo Sow, une autre styliste et amie de Katoucha, dit être restée sans voix à la confirmation du décès.
« J’ai comme un blocage dès qu’on me parle de Katoucha et je n’arrive pas à accepter sa mort », dit-elle.
Une évolution dans l’affaire Katoucha a été actualisée dans la presse française. La thèse de l’accident annoncée après les résultats de l’autopsie ne serait plus retenue et la famille du top model a porté plainte contre X et l’avocat Robert Dumas, ancien ministre français des affaires étrangères, a été commis par la famille.
Katoucha, mère de trois enfants, était née en 1960 à Conakry. Elle était la fille de l’historien et écrivain guinéen Djibril Tamsir Niane.
Source: APA
(M)