Un plaidoyer pour la prise en compte de la dimension genre dans les programmes de développement en Mauritanie a été organisé dimanche à Nouakchott sous la présidence du premier ministre Zein Ould Zeidane et en présence des membres du gouvernement, a constaté APA.
Cette manifestation entre dans le cadre de la célébration de la Fête internationale de la femme commémorée samedi en Mauritanie avec une activité intense parrainée au plus haut niveau par l’épouse du président mauritanien, Khattou Mint El Boukhari.
Le plaidoyer se propose d’examiner les meilleurs moyens de lutter contre les disparités entre les deux sexes et leurs manifestations, de renforcer l’approche genre et de l’intégrer dans l’élaboration, l’exécution, le suivi et l’évaluation des programmes et politiques de développement.
L’adoption de l’approche genre dans le traitement de la problématique des disparités entre les deux sexes demeure le meilleur moyen permettant à la femme de participer et de contribuer dans la lutte contre la pauvreté et d’asseoir les bases d’un développement homogène, équilibré, plus juste et plus équitable, a déclaré le Premier ministre à l’ouverture de la rencontre.
M. Ould Zeidane a annoncé que pour corriger cette situation, son gouvernement oeuvrera à renforcer la prise en compte de l’approche genre de manière à ce que chaque ministre considère cette dimension dans son travail quotidien.
De son côté, la représentante du FNUAP en Mauritanie, Diene Keïta, a rappelé les déclarations du président Ould Cheikh Abdellahi devant le Réseau des femmes parlementaires et ministres en les recevant à la veille de la célébration du 8 mars.
Ces déclarations "dénotent un choix politique majeur qui traduit la volonté de la Mauritanie de réussir son expérience démocratique, de maîtriser sa modernisation et de garantir les conditions d’un développement durable en phase avec les OMD, la mondialisation et les exigences de la bonne gouvernance », a-t-elle souligné.
Mme Keita a cependant estimé qu’en dépit des engagements politiques pris pour arrêter les politiques voulues et affecter les ressources indispensables, les investissements sont en-dçà de l’ampleur pressentie.
Il en est ainsi de la santé maternelle et la planification familiale, a-t-elle indiqué, soulignat qu’il est impossible d’améliorer le bien être des femmes sans améliorer leur santé, en particulier leur santé reproductive.
Source: APA
(M)
Cette manifestation entre dans le cadre de la célébration de la Fête internationale de la femme commémorée samedi en Mauritanie avec une activité intense parrainée au plus haut niveau par l’épouse du président mauritanien, Khattou Mint El Boukhari.
Le plaidoyer se propose d’examiner les meilleurs moyens de lutter contre les disparités entre les deux sexes et leurs manifestations, de renforcer l’approche genre et de l’intégrer dans l’élaboration, l’exécution, le suivi et l’évaluation des programmes et politiques de développement.
L’adoption de l’approche genre dans le traitement de la problématique des disparités entre les deux sexes demeure le meilleur moyen permettant à la femme de participer et de contribuer dans la lutte contre la pauvreté et d’asseoir les bases d’un développement homogène, équilibré, plus juste et plus équitable, a déclaré le Premier ministre à l’ouverture de la rencontre.
M. Ould Zeidane a annoncé que pour corriger cette situation, son gouvernement oeuvrera à renforcer la prise en compte de l’approche genre de manière à ce que chaque ministre considère cette dimension dans son travail quotidien.
De son côté, la représentante du FNUAP en Mauritanie, Diene Keïta, a rappelé les déclarations du président Ould Cheikh Abdellahi devant le Réseau des femmes parlementaires et ministres en les recevant à la veille de la célébration du 8 mars.
Ces déclarations "dénotent un choix politique majeur qui traduit la volonté de la Mauritanie de réussir son expérience démocratique, de maîtriser sa modernisation et de garantir les conditions d’un développement durable en phase avec les OMD, la mondialisation et les exigences de la bonne gouvernance », a-t-elle souligné.
Mme Keita a cependant estimé qu’en dépit des engagements politiques pris pour arrêter les politiques voulues et affecter les ressources indispensables, les investissements sont en-dçà de l’ampleur pressentie.
Il en est ainsi de la santé maternelle et la planification familiale, a-t-elle indiqué, soulignat qu’il est impossible d’améliorer le bien être des femmes sans améliorer leur santé, en particulier leur santé reproductive.
Source: APA
(M)