Le président de l’APP, Messaoud Ould Boulkheir a indiqué que « l’Alliance populaire progressiste ne peut plus continuer à évoluer au sein de la Coordination de l’opposition étant donné les grandes divergences des points de vue des partis qui la composent, dont certains prônent la révolte et à la guerre civile ».
Ould Boulkhaier, qui s’exprimait samedi matin au cours d’un meeting de son parti à Atar, a souligné que cette question (dialogue avec le pouvoir) va être « tranchée dans quelques heures ».
Par rapport aux soulèvements populaires, à l’image du printemps arabe, Messaoud a affirmé : « si j’étais partisan des révolte, j’en aurais conduit une, depuis des décennies, pour libérer les esclaves, mais ma conviction profonde est que mon pays ne pourra pas survivre à ce genres de secousses ».
Il a ajouté que sa position par rapport aux révolutions n’est pas synonyme d’« un mépris du peuple ou la jeunesse, mais plutôt un sentiment d’amour de la patrie pour le protéger des dévoiements dangereux ».
Et de conclure : « Je ne suis pas du côté du pouvoir et l’APP n’est pas un parti de la majorité présidentie».
Source: ANI
Ould Boulkhaier, qui s’exprimait samedi matin au cours d’un meeting de son parti à Atar, a souligné que cette question (dialogue avec le pouvoir) va être « tranchée dans quelques heures ».
Par rapport aux soulèvements populaires, à l’image du printemps arabe, Messaoud a affirmé : « si j’étais partisan des révolte, j’en aurais conduit une, depuis des décennies, pour libérer les esclaves, mais ma conviction profonde est que mon pays ne pourra pas survivre à ce genres de secousses ».
Il a ajouté que sa position par rapport aux révolutions n’est pas synonyme d’« un mépris du peuple ou la jeunesse, mais plutôt un sentiment d’amour de la patrie pour le protéger des dévoiements dangereux ».
Et de conclure : « Je ne suis pas du côté du pouvoir et l’APP n’est pas un parti de la majorité présidentie».
Source: ANI