Une grève d'une journée a été observée jeudi dans les établissements de la presse publique de Mauritanie à l'appel du syndicat des journalistes mauritaniens (SJM) pour revendiquer le payement d'augmentations de salaires instituées depuis 2008.
Selon les syndicalistes, le mouvement a été suivi à plus de 70% dans les trois établissements de la presse publique (Radio Mauritanie, Télévision de Mauritanie et l'Agence mauritanienne d’Informations).
Cette grève a provoqué la perturbation des émissions de la radio nationale, dont certaines émissions ont été annulées. Un manque notoire de couverture des activités du gouvernement a été également enregistré au niveau de l'Agence mauritanienne d’information (AMI).
Pour le doyen du SJM, Dr Houcein Ould Meddou, "il convient de faire la distinction entre cette grève d'une journée dont le but est de revendiquer des dettes que l'Etat doit aux employés des établissements de la presse publique et d'autres grèves visant l' amélioration des conditions de vie des travailleurs".
Le 15 juin, des dizaines de journalistes mauritaniens de la presse publique et privée avaient organisé, devant la présidence de la république, un sit-in de protestation, pour exiger le payement de ces augmentations de salaires de 10 et 50%.
Source: xinhua
Selon les syndicalistes, le mouvement a été suivi à plus de 70% dans les trois établissements de la presse publique (Radio Mauritanie, Télévision de Mauritanie et l'Agence mauritanienne d’Informations).
Cette grève a provoqué la perturbation des émissions de la radio nationale, dont certaines émissions ont été annulées. Un manque notoire de couverture des activités du gouvernement a été également enregistré au niveau de l'Agence mauritanienne d’information (AMI).
Pour le doyen du SJM, Dr Houcein Ould Meddou, "il convient de faire la distinction entre cette grève d'une journée dont le but est de revendiquer des dettes que l'Etat doit aux employés des établissements de la presse publique et d'autres grèves visant l' amélioration des conditions de vie des travailleurs".
Le 15 juin, des dizaines de journalistes mauritaniens de la presse publique et privée avaient organisé, devant la présidence de la république, un sit-in de protestation, pour exiger le payement de ces augmentations de salaires de 10 et 50%.
Source: xinhua