Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs de Mauritanie (UTM) a critiqué l’immixtion de certains partis politique dans les affaires syndicales, notamment dans le cadre des élections sociales.
Abderrahmane qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse, organisée lundi au siège de l’UTM a souligné : « nous déplorons l’implication de l’UFP dans le contexte syndicale, notamment les élections sociales ; comme c’était le cas dans les dernières élections des représentants des travailleurs de la BCM ». Ould Boubou a estimé que certains partis politiques ‘opposition, ayant échoué dans leur manœuvres, fassent recours à la manipulation des syndicats en donnant des consignes de vote à leur sympathisants en faveur de la CGTM, comme c’était le cas e l’UFP à Zouerate, a-t-il rappelé.
Il est, tout de même regrettable que le député UFP Moustapha Ould Bedr Dine s’autoproclame porte-voix de la CGTM dans l’hémicycle de l’assemblée nationale, a déploré le SG de l’UTM.
Au cours de cette même conférence le SG de l’UTM a fait l’état des lieux de la situation sociale et syndicale en Mauritanie, soulignant que « l’espace syndical se caractérisera la morosité, la multiplicité des syndicats rendant moins efficace leurs action et dispersant leurs efforts ». Il a ajouté que les syndicats mauritaniens « souffrent du manque de formation professionnelle et de la rude concurrence que leur livrent la main d’œuvre étrangère employée par les multinationales et certains employeurs nationaux ».
Il s’est félicité de certaines mesures prises par l’Etat, notamment la création des centres de formation professionnelle dans toutes les wilayas et l’obligation poules compagnies étrangères de respecter certains quota en nombre et en qualité de la main d’œuvre qu’elles recrutent en priorité.
L’espace syndicale reste, poursuit Ould Boubou, fortement marqué par l’exploitation abusive des ouvriers par la sous-traitance, le non payement des augmentation de salaires de la presse e de 10 et 50 instituées depuis 2008, ainsi que par la non régularisation de la situation des personnels non permanents de la fonction publique. « Ces derniers, au nombre de 12000, sont présents dans toutes les administrations du secteur public », a-t-il souligné.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’UTM a fait ressortir que les négociations sociales engagées depuis trois mois entres le patronat, l’Etat et les représentants des syndicats, dont l’UTM, piétinent encore sur la question des salaires. « Les travailleurs exige une augmentation à 300% sur le SMIG, ce qui est insignifiant encore, ce que les employeurs ne veulent pas ».
Concernant ces négociations, nous avons été surpris par l’attitude de nos collègues de la CGTM qui nt récemment revendiqué des négociations sociales après avoir boycotté celles déjà enclenché estimant que notre organisation n’est pas représentative des travailleurs soit disant.
Source: ANI
Abderrahmane qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse, organisée lundi au siège de l’UTM a souligné : « nous déplorons l’implication de l’UFP dans le contexte syndicale, notamment les élections sociales ; comme c’était le cas dans les dernières élections des représentants des travailleurs de la BCM ». Ould Boubou a estimé que certains partis politiques ‘opposition, ayant échoué dans leur manœuvres, fassent recours à la manipulation des syndicats en donnant des consignes de vote à leur sympathisants en faveur de la CGTM, comme c’était le cas e l’UFP à Zouerate, a-t-il rappelé.
Il est, tout de même regrettable que le député UFP Moustapha Ould Bedr Dine s’autoproclame porte-voix de la CGTM dans l’hémicycle de l’assemblée nationale, a déploré le SG de l’UTM.
Au cours de cette même conférence le SG de l’UTM a fait l’état des lieux de la situation sociale et syndicale en Mauritanie, soulignant que « l’espace syndical se caractérisera la morosité, la multiplicité des syndicats rendant moins efficace leurs action et dispersant leurs efforts ». Il a ajouté que les syndicats mauritaniens « souffrent du manque de formation professionnelle et de la rude concurrence que leur livrent la main d’œuvre étrangère employée par les multinationales et certains employeurs nationaux ».
Il s’est félicité de certaines mesures prises par l’Etat, notamment la création des centres de formation professionnelle dans toutes les wilayas et l’obligation poules compagnies étrangères de respecter certains quota en nombre et en qualité de la main d’œuvre qu’elles recrutent en priorité.
L’espace syndicale reste, poursuit Ould Boubou, fortement marqué par l’exploitation abusive des ouvriers par la sous-traitance, le non payement des augmentation de salaires de la presse e de 10 et 50 instituées depuis 2008, ainsi que par la non régularisation de la situation des personnels non permanents de la fonction publique. « Ces derniers, au nombre de 12000, sont présents dans toutes les administrations du secteur public », a-t-il souligné.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’UTM a fait ressortir que les négociations sociales engagées depuis trois mois entres le patronat, l’Etat et les représentants des syndicats, dont l’UTM, piétinent encore sur la question des salaires. « Les travailleurs exige une augmentation à 300% sur le SMIG, ce qui est insignifiant encore, ce que les employeurs ne veulent pas ».
Concernant ces négociations, nous avons été surpris par l’attitude de nos collègues de la CGTM qui nt récemment revendiqué des négociations sociales après avoir boycotté celles déjà enclenché estimant que notre organisation n’est pas représentative des travailleurs soit disant.
Source: ANI