Au cours d’une conférence de presse organisée par «Assiraj» et le Centre Arabo-Africain(CAA) au Chinguitty Palace, des échanges de points de vue ont eu lieu entre plusieurs intellectuels, hommes de culture, représentants de partis politiques et membres de la société civile, autour de questions de l’identité et l’unité nationales, ainsi que la démocratie et le changement.
Au cours des débats, auxquels avaient pris part Beddy Ould Ebnou, maître Mohameden Ould Ichiddou, la question de l’unité nationale, ainsi que celle de l’effondrement des structures traditionnelles, ont été largement débattues. Des intervenants ont soulevé le probléme du désespoir des mauritaniens né du manque de progrès enregistrés dans la période d’exercice du gouvernement actuel.
Aussi, il a été question de la gabegie qui continue, selon les participants, à régner dans le pays, constituant ainsi un frein pour le progrès démocratique.
Dans la perspective d’évaluer les avancées réalisées dans la période après transition, des intervenants ont établi le constat que le « le pays est entrain de faire du surplace » et que la crise économique profonde qu’il traverse résulte du fait que les responsables continuent encore à perpétuer les mauvaises pratiques du régime de Ould Taya, notamment le détournement des biens publics.
Les participants aux débats ont été unanimes sur la nécessité de l’émergence d’une volonté politique pour que des progrès réels puissent être réalisés dans l'évolution des mentalités d’abord, puis dans les comportements ensuite.
Source: ANI
(M)
Au cours des débats, auxquels avaient pris part Beddy Ould Ebnou, maître Mohameden Ould Ichiddou, la question de l’unité nationale, ainsi que celle de l’effondrement des structures traditionnelles, ont été largement débattues. Des intervenants ont soulevé le probléme du désespoir des mauritaniens né du manque de progrès enregistrés dans la période d’exercice du gouvernement actuel.
Aussi, il a été question de la gabegie qui continue, selon les participants, à régner dans le pays, constituant ainsi un frein pour le progrès démocratique.
Dans la perspective d’évaluer les avancées réalisées dans la période après transition, des intervenants ont établi le constat que le « le pays est entrain de faire du surplace » et que la crise économique profonde qu’il traverse résulte du fait que les responsables continuent encore à perpétuer les mauvaises pratiques du régime de Ould Taya, notamment le détournement des biens publics.
Les participants aux débats ont été unanimes sur la nécessité de l’émergence d’une volonté politique pour que des progrès réels puissent être réalisés dans l'évolution des mentalités d’abord, puis dans les comportements ensuite.
Source: ANI
(M)