L’enlèvement le 16 septembre 2010 de cinq de nos compatriotes à Arlit (Niger), l’attentat contre l’ambassade de France à Bamako (Mali) le 5 janvier 2011 et la mort le 8 janvier 2011 de deux de nos compatriotes, enlevés à Niamey (Niger) le 7 janvier, témoignent du niveau particulièrement élevé de la menace terroriste au Sahel.
L’accès au Mali par la route depuis la Mauritanie doit se faire par le territoire sénégalais. Il est fortement déconseillé d’emprunter les pistes et routes qui relient Ayoun El Atrous à Nioro, de même qu’il est recommandé de ne pas emprunter l’axe Kankossa-Kayes.
Les autorités françaises rappellent qu’elles déconseillent formellement tout déplacement dans les zones signalées en rouge. Ces zones sont situées à l’est de la ligne reliant Fdérik - Chinguetti - Tidjikdja - Ayoun el-Atrouss - Bou Steile (voir la carte à la rubrique « Sécurité »). Il est instamment demandé aux Français qui se trouveraient en ce moment dans ces zones, qu’ils y soient résidents ou de passage, de prendre contact avec l’Ambassade afin de les quitter au plus vite.
La zone d’exclusion placée sous contrôle militaire au Nord-est du pays où l’armée a, courant mai 2011, été amenée à ouvrir le feu contre des véhicules suspects doit notamment être impérativement évitée.
Le reste du pays est déconseillé sauf raison impérative, notamment d’ordre professionnel.
Risque terroriste
Le rattachement du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) à la mouvance Al Qaida avec la création d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) a sensiblement renforcé la menace terroriste dans la région sahélo-saharienne. Outre les attaques contre les forces armées (jusqu’à présent essentiellement en Mauritanie mais également au Mali) et les attentats-suicide, le mode d’action privilégié de ce groupe se caractérise depuis la fin de l’année 2008 par des enlèvements et assassinats d’Occidentaux.
La Mauritanie semble constituer la cible privilégiée d’AQMI après l’Algérie. Les menaces d’AQMI doivent être considérées avec le plus grand sérieux. Le sort de notre compatriote Michel Germaneau, enlevé (19 avril 2010) puis assassiné (assassinat revendiqué le 24 juillet dernier) par des membres de ce groupe incite à la plus grande prudence.
Dans ce contexte et dans la mesure où les intérêts et les ressortissants français constituent des cibles privilégiées par AQMI, il est formellement déconseillé de se rendre dans les zones indiquées en rouge et de manière générale les consignes de vigilance et de prudence doivent impérativement être respectées.
L’attentat suicide perpétré contre l’ambassade de France le 8 août 2009 et l’enlèvement récent sur la route Nouakchott-Nouadhibou de 3 Espagnols travaillant pour le compte d’une ONG puis de 2 touristes italiens près de la frontière malienne conduisent à rappeler que des individus ou groupes liés à AQMI peuvent agir dans le pays en dépit des importantes mesures prises par les autorités mauritaniennes pour lutter contre le terrorisme.
Les voyageurs souhaitant néanmoins se rendre en Mauritanie sont invités à s’informer des dernières évolutions de la situation locale avant de mettre au point leur projet de séjour ou de déplacement dans le pays, et doivent en informer systématiquement les services de l’Ambassade et les autorités locales une fois sur place.
source:ambassade de France en Mauritanie
L’accès au Mali par la route depuis la Mauritanie doit se faire par le territoire sénégalais. Il est fortement déconseillé d’emprunter les pistes et routes qui relient Ayoun El Atrous à Nioro, de même qu’il est recommandé de ne pas emprunter l’axe Kankossa-Kayes.
Les autorités françaises rappellent qu’elles déconseillent formellement tout déplacement dans les zones signalées en rouge. Ces zones sont situées à l’est de la ligne reliant Fdérik - Chinguetti - Tidjikdja - Ayoun el-Atrouss - Bou Steile (voir la carte à la rubrique « Sécurité »). Il est instamment demandé aux Français qui se trouveraient en ce moment dans ces zones, qu’ils y soient résidents ou de passage, de prendre contact avec l’Ambassade afin de les quitter au plus vite.
La zone d’exclusion placée sous contrôle militaire au Nord-est du pays où l’armée a, courant mai 2011, été amenée à ouvrir le feu contre des véhicules suspects doit notamment être impérativement évitée.
Le reste du pays est déconseillé sauf raison impérative, notamment d’ordre professionnel.
Risque terroriste
Le rattachement du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) à la mouvance Al Qaida avec la création d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) a sensiblement renforcé la menace terroriste dans la région sahélo-saharienne. Outre les attaques contre les forces armées (jusqu’à présent essentiellement en Mauritanie mais également au Mali) et les attentats-suicide, le mode d’action privilégié de ce groupe se caractérise depuis la fin de l’année 2008 par des enlèvements et assassinats d’Occidentaux.
La Mauritanie semble constituer la cible privilégiée d’AQMI après l’Algérie. Les menaces d’AQMI doivent être considérées avec le plus grand sérieux. Le sort de notre compatriote Michel Germaneau, enlevé (19 avril 2010) puis assassiné (assassinat revendiqué le 24 juillet dernier) par des membres de ce groupe incite à la plus grande prudence.
Dans ce contexte et dans la mesure où les intérêts et les ressortissants français constituent des cibles privilégiées par AQMI, il est formellement déconseillé de se rendre dans les zones indiquées en rouge et de manière générale les consignes de vigilance et de prudence doivent impérativement être respectées.
L’attentat suicide perpétré contre l’ambassade de France le 8 août 2009 et l’enlèvement récent sur la route Nouakchott-Nouadhibou de 3 Espagnols travaillant pour le compte d’une ONG puis de 2 touristes italiens près de la frontière malienne conduisent à rappeler que des individus ou groupes liés à AQMI peuvent agir dans le pays en dépit des importantes mesures prises par les autorités mauritaniennes pour lutter contre le terrorisme.
Les voyageurs souhaitant néanmoins se rendre en Mauritanie sont invités à s’informer des dernières évolutions de la situation locale avant de mettre au point leur projet de séjour ou de déplacement dans le pays, et doivent en informer systématiquement les services de l’Ambassade et les autorités locales une fois sur place.
source:ambassade de France en Mauritanie