Les Forces de Libération Africaine de Mauritanie (FLAM), ont fêté le 25ème anniversaire de leur mouvement, en ce mois de mars bouclé hier lundi.
Un quart de siècle de parcours «épique qui aurait mérité fleurs et fanfare, en d’autres circonstances et sous d’autres cieux. Mais les FLAM n’ont jamais donné, ni dans l’exubérance, ni dans l’exaltation. Parce qu’elle n’ont jamais perdu de vue l’ampleur du devoir qui reste à accomplir», écrit Sow Ibrahima Mifo, le secrétaire national à l’organisation, à l’orientation politique et à la formation du mouvement de la diaspora, sur le site Internet des FLAM.
Un outil qui vient de s’enrichir avec l’arrivée de radio FLAM, nouvelle version, la voix des sans voix, «puissant outil de communication qui maintient l’organisation au diapason de l’évolution technique et de la modernité». Dés le départ, «nous avions compris combien il était crucial de ne pas perdre la bataille de la parole, enjeu stratégique dans le combat pour la paix et la liberté», dit-il.
La création des FLAM remonte au mois de mars de l’année 1983. Cependant, ces initiales, à haute teneur en marketing politique, ont surtout acquis une place dans le paysage médiatique international, grâce aux maladresses grossières du régime Taya, qui les a, certes, diabolisés auprès de la communauté arabe, mais qui leur a donné une incontestable aura au-delà de ces frontières linguistiques. Les purges sanglantes des années 1986-1991 sont, notamment, venues donner plus de crédit à un discours parfois excessif.
Aujourd’hui, tout en affirmant que les problèmes de fond subsistent, le discours des FLAM a évolué, tenant compte de la nouvelle donne politique mauritanienne.
Source: lecalame - VIA FLAMNET
(M)
Un quart de siècle de parcours «épique qui aurait mérité fleurs et fanfare, en d’autres circonstances et sous d’autres cieux. Mais les FLAM n’ont jamais donné, ni dans l’exubérance, ni dans l’exaltation. Parce qu’elle n’ont jamais perdu de vue l’ampleur du devoir qui reste à accomplir», écrit Sow Ibrahima Mifo, le secrétaire national à l’organisation, à l’orientation politique et à la formation du mouvement de la diaspora, sur le site Internet des FLAM.
Un outil qui vient de s’enrichir avec l’arrivée de radio FLAM, nouvelle version, la voix des sans voix, «puissant outil de communication qui maintient l’organisation au diapason de l’évolution technique et de la modernité». Dés le départ, «nous avions compris combien il était crucial de ne pas perdre la bataille de la parole, enjeu stratégique dans le combat pour la paix et la liberté», dit-il.
La création des FLAM remonte au mois de mars de l’année 1983. Cependant, ces initiales, à haute teneur en marketing politique, ont surtout acquis une place dans le paysage médiatique international, grâce aux maladresses grossières du régime Taya, qui les a, certes, diabolisés auprès de la communauté arabe, mais qui leur a donné une incontestable aura au-delà de ces frontières linguistiques. Les purges sanglantes des années 1986-1991 sont, notamment, venues donner plus de crédit à un discours parfois excessif.
Aujourd’hui, tout en affirmant que les problèmes de fond subsistent, le discours des FLAM a évolué, tenant compte de la nouvelle donne politique mauritanienne.
Source: lecalame - VIA FLAMNET
(M)