L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) a mis à la disposition des universités et institutions de recherche des pays membres, une enveloppe de 100 millions de FCFA, a annoncé lundi, Habib Sy, ministre d’Etat sénégalais chargé des infrastructures, également président en exercice du Conseil des ministres de l’organisation.
Ce financement entre dans le cadre d’un partenariat ‘’inédit’ ’de recherche/développement, a précisé M. Sy à l’ouverture d’une réunion de haut niveau regroupant l’organisation sous régionale et les universités et instituts de recherche des pays membres de l’OMVS.
« La prospective est l’une des clés du développement et dans ce registre, les universitaires ont leur rôle à jouer. Il faut que nous sachions ce que nous allons faire dans les 20, 40 voir 100 ans à venir », a dit à APA M. Sy en marge des travaux.
Un protocole d’accord et des termes de référence seront définis avec un cahier de charge pour spécifier aux scientifiques ce que veulent les Etats, a-t-il poursuivi.
Le Haut commissaire de l’OMVS, le Mauritanien Mohamed Salem Ould Merzoug s’est félicité de cette initiative, soulignant qu’il « ne peut avoir de développement sans un pacte de changement qui concerne tout ce qui concerne la dimension humaine et sociale ».
« On ne saurait construire un socle de prospérité sans avoir un recours massif à nos chercheurs et universitaires », a encore dit M. Merzoug.
Les recteurs des universités de Dakar, Saint-Louis (Sénégal), Nouakchott (Mauritanie), Conakry (Guinée) et Bamako (Mali) prennent part aux travaux qui s’achèveront mardi, avec la mise en place de deux structures partenariales : le Comité de pilotage et le Conseil scientifique.
L’OMVS, l’aboutissement d’un « long processus » de tentative pour la « maîtrise et l’exploitation rationnelle des ressources du fleuve Sénégal et de sa vallée », a connu plusieurs mutations avant d’être ainsi nommée en 1972 par le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
Elle couvre plus de 2,713 millions de km² pour près de 35 millions d’habitants.
Source: APA
(M)
Ce financement entre dans le cadre d’un partenariat ‘’inédit’ ’de recherche/développement, a précisé M. Sy à l’ouverture d’une réunion de haut niveau regroupant l’organisation sous régionale et les universités et instituts de recherche des pays membres de l’OMVS.
« La prospective est l’une des clés du développement et dans ce registre, les universitaires ont leur rôle à jouer. Il faut que nous sachions ce que nous allons faire dans les 20, 40 voir 100 ans à venir », a dit à APA M. Sy en marge des travaux.
Un protocole d’accord et des termes de référence seront définis avec un cahier de charge pour spécifier aux scientifiques ce que veulent les Etats, a-t-il poursuivi.
Le Haut commissaire de l’OMVS, le Mauritanien Mohamed Salem Ould Merzoug s’est félicité de cette initiative, soulignant qu’il « ne peut avoir de développement sans un pacte de changement qui concerne tout ce qui concerne la dimension humaine et sociale ».
« On ne saurait construire un socle de prospérité sans avoir un recours massif à nos chercheurs et universitaires », a encore dit M. Merzoug.
Les recteurs des universités de Dakar, Saint-Louis (Sénégal), Nouakchott (Mauritanie), Conakry (Guinée) et Bamako (Mali) prennent part aux travaux qui s’achèveront mardi, avec la mise en place de deux structures partenariales : le Comité de pilotage et le Conseil scientifique.
L’OMVS, l’aboutissement d’un « long processus » de tentative pour la « maîtrise et l’exploitation rationnelle des ressources du fleuve Sénégal et de sa vallée », a connu plusieurs mutations avant d’être ainsi nommée en 1972 par le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
Elle couvre plus de 2,713 millions de km² pour près de 35 millions d’habitants.
Source: APA
(M)