L’accès à la présidence de la République était bloqué ce matin par la Garde présidentielle. Les raisons ne sont pas encore connues.
12h11 TU : selon nos sources, les mutins chercheraient à rallier d'autres unités de l'armée à leur mouvement.
11h50 TU : la présidence nigérienne a déclaré dans un communiqué que certains membres de la garde présidentielle avait lancé un mouvement "anti-républicain" "en vain" et que l'armée nationale était prête à les attaquer s'ils ne revenaient pas à la raison.
Le communiqué ajoute que le président Mohamed Bazoum et sa famille se portent bien après que des sources de sécurité ont déclaré que la garde présidentielle retenait Mohamed Bazoum à l'intérieur du palais présidentiel.
10hTU : Au Niger, le chef de l’Etat Mohamed Bazoum est détenu par des mutins. Nos sources indiquent aussi que les mutins retiennent également le ministre de l’Intérieur.
Le nom du Général Omar Tchiani, chef de la garde présidentielle, est souvent cité dans l'affaire. Tchiani est un proche de l'ancien président Issoufou Mahamadou et était déjà chef de la garde présidentielle sous l'ancien président.
Une source affirme à l’AFP qu’"Il s'agit d'un mouvement d'humeur de la garde présidentielle, mais des pourparlers sont en cours avec le président".
Mercredi matin, tant les accès à la résidence du président nigérien, Mohamed Bazoum, qu'aux bureaux du complexe qui se trouvent dans le même périmètre, étaient interdits.
Selon nos sources, la sécurité à la radio-télévision de l'Etat, l'ORTN, a été renforcée.
Car les médias étatiques sont toujours dans le viseur des putschistes qui annoncent le nom du nouvel homme fort sur leurs antennes. Ce qui n'est pas le cas du Niger pour l'instant.
Le président Mohamed Bazoum est au pouvoir depuis deux ans après que son prédécesseur Issoufou Mahamadou a achevé ses deux mandats.
Peu avant la prestation de serment de Mohamed Bazoum, le Niger a fait face à une tentative de coup d’Etat.
La rédaction francophone | Avec agences
Source : Deutsche Welle (Allemagne)
12h11 TU : selon nos sources, les mutins chercheraient à rallier d'autres unités de l'armée à leur mouvement.
11h50 TU : la présidence nigérienne a déclaré dans un communiqué que certains membres de la garde présidentielle avait lancé un mouvement "anti-républicain" "en vain" et que l'armée nationale était prête à les attaquer s'ils ne revenaient pas à la raison.
Le communiqué ajoute que le président Mohamed Bazoum et sa famille se portent bien après que des sources de sécurité ont déclaré que la garde présidentielle retenait Mohamed Bazoum à l'intérieur du palais présidentiel.
10hTU : Au Niger, le chef de l’Etat Mohamed Bazoum est détenu par des mutins. Nos sources indiquent aussi que les mutins retiennent également le ministre de l’Intérieur.
Le nom du Général Omar Tchiani, chef de la garde présidentielle, est souvent cité dans l'affaire. Tchiani est un proche de l'ancien président Issoufou Mahamadou et était déjà chef de la garde présidentielle sous l'ancien président.
Une source affirme à l’AFP qu’"Il s'agit d'un mouvement d'humeur de la garde présidentielle, mais des pourparlers sont en cours avec le président".
Mercredi matin, tant les accès à la résidence du président nigérien, Mohamed Bazoum, qu'aux bureaux du complexe qui se trouvent dans le même périmètre, étaient interdits.
Selon nos sources, la sécurité à la radio-télévision de l'Etat, l'ORTN, a été renforcée.
Car les médias étatiques sont toujours dans le viseur des putschistes qui annoncent le nom du nouvel homme fort sur leurs antennes. Ce qui n'est pas le cas du Niger pour l'instant.
Le président Mohamed Bazoum est au pouvoir depuis deux ans après que son prédécesseur Issoufou Mahamadou a achevé ses deux mandats.
Peu avant la prestation de serment de Mohamed Bazoum, le Niger a fait face à une tentative de coup d’Etat.
La rédaction francophone | Avec agences
Source : Deutsche Welle (Allemagne)