Les quotidiens reçus ce lundi à APA traitent en priorité de l’Assemblée générale de l’Union des magistrats sénégalais (UMS) tenue ce week-end, sous la présidence du ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall.
Plongeant dans l’ambiance de leur Assemblée générale, Les Echos informe que « les magistrats réclament justice et des assises » et déplorent les consultations à domicile.
Nos confrères ajoutent que l’Union des magistrats sénégalais (UMS) exige également l’harmonisation de l’âge de la retraite, car « dans la magistrature, les plus jeunes partent à la retraite laissant sur place les plus âgés ».
« Attaque contre la Justice, fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature (CSM)…L’Ordonnance de l’UMS », titre Le Quotidien, dans lequel journal, Ousmane Chimère Diouf, président de ladite structure estime que « la magistrature ne peut pas être la cible permanente de justiciables… »
Dans le même journal, le Garde des Sceaux, le professeur Ismaïla Madior Fall soutient que « malgré les menaces, les magistrats ont tenu ».
Pour EnQuête, « la justice solde ses comptes » à propos des « affectations des magistrats, des polémiques et remises en cause… »
Le journal donne la parole au ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall qui demande d’« éviter de considérer les affectations et les nominations loin de Dakar comme des sanctions ».
Pour Walf Quotidien, il y a eu une « passe d’armes entre les magistrats et le Garde des Sceaux » à cause des consultations à domicile, mais pour Sud Quotidien, « Ismaïla peint un tableau reluisant du Sénégal » sur l’indépendance de la justice, la magistrature et les droits humains.
« AG de l’UMS-Menu très Sonko », commente Bés Bi, qui rapporte les propos du ministre de la Justice selon qui « l’Etat a pris les dispositions pour la prise en charge médicale de Sonko », en réanimation à cause d’une grève de la faim pour dénoncer son arrestation. Le chef du parti Pastef a été inculpé pour plusieurs délits et crimes dont «appel à l’insurrection» et envoyé en prison depuis le lundi 31 juillet.
Walf Quotidien revient sur l’émigration irregulière et s’exclame : « Faillite des politiques d’emploi ! »
Pendant ce temps, Choguel Maïga, le Premier ministre de la transition malienne fait la Une de Sud Quotidien qui indique que « la Cédéao est mise devant ses responsabilités ».
« Si la Cédéao fait la guerre au Niger, il n’y a plus de Cédéao. C’est cela, l’objectif de certains pays dès le départ, casser la Cédéao », affirme le chef du gouvernement malien. Suite à la prise du pouvoir à Niamey par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, mercredi 26 juillet, l’organisation communautaire envisage une intervention armée pour rétablir l’ordre constitutionnel.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)
Plongeant dans l’ambiance de leur Assemblée générale, Les Echos informe que « les magistrats réclament justice et des assises » et déplorent les consultations à domicile.
Nos confrères ajoutent que l’Union des magistrats sénégalais (UMS) exige également l’harmonisation de l’âge de la retraite, car « dans la magistrature, les plus jeunes partent à la retraite laissant sur place les plus âgés ».
« Attaque contre la Justice, fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature (CSM)…L’Ordonnance de l’UMS », titre Le Quotidien, dans lequel journal, Ousmane Chimère Diouf, président de ladite structure estime que « la magistrature ne peut pas être la cible permanente de justiciables… »
Dans le même journal, le Garde des Sceaux, le professeur Ismaïla Madior Fall soutient que « malgré les menaces, les magistrats ont tenu ».
Pour EnQuête, « la justice solde ses comptes » à propos des « affectations des magistrats, des polémiques et remises en cause… »
Le journal donne la parole au ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall qui demande d’« éviter de considérer les affectations et les nominations loin de Dakar comme des sanctions ».
Pour Walf Quotidien, il y a eu une « passe d’armes entre les magistrats et le Garde des Sceaux » à cause des consultations à domicile, mais pour Sud Quotidien, « Ismaïla peint un tableau reluisant du Sénégal » sur l’indépendance de la justice, la magistrature et les droits humains.
« AG de l’UMS-Menu très Sonko », commente Bés Bi, qui rapporte les propos du ministre de la Justice selon qui « l’Etat a pris les dispositions pour la prise en charge médicale de Sonko », en réanimation à cause d’une grève de la faim pour dénoncer son arrestation. Le chef du parti Pastef a été inculpé pour plusieurs délits et crimes dont «appel à l’insurrection» et envoyé en prison depuis le lundi 31 juillet.
Walf Quotidien revient sur l’émigration irregulière et s’exclame : « Faillite des politiques d’emploi ! »
Pendant ce temps, Choguel Maïga, le Premier ministre de la transition malienne fait la Une de Sud Quotidien qui indique que « la Cédéao est mise devant ses responsabilités ».
« Si la Cédéao fait la guerre au Niger, il n’y a plus de Cédéao. C’est cela, l’objectif de certains pays dès le départ, casser la Cédéao », affirme le chef du gouvernement malien. Suite à la prise du pouvoir à Niamey par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, mercredi 26 juillet, l’organisation communautaire envisage une intervention armée pour rétablir l’ordre constitutionnel.
Source : Agence de Presse Africaine (APA)