« Beaucoup parmi les habitants de Tidjikja savent que celui qui est entré chez Xavier Cappolani et l’a tué est un hartani et ce Hartani est mon oncle Khaina Ould Beye. »
C’est en ces termes que le syndicaliste Samory Ould Beye a renversé la version officielle selon laquelle le gouverneur français fut tué en 1905 par un certain Sidi Ould Moulaye Zeine, présenté comme un héros de la résistance mauritanienne contre le colon.
Le leader de la CLTM qui intervenait dans un long entretien accordé au quotidien Essirage, a proposé qu’une enquête soit menée pour rétablir la vérité sur cette histoire et sur beaucoup d’autres sujets.
D’un autre point de vue Samory Ould Beye qui était entré en dissidence contre le président de l’Alliance Populaire Progressiste, a déclaré que Messaoud Ould Boulkheir appartenir désormais au passé et qu’il n’est plus le dirigeant du mouvement El Horr ni de l’ APP.
Selon Ould Beye, en cas d’élections au sein du parti, les hratine préfèreront à Messaoud Ould Boulkheir, Mohamed El Hafedh Ould Ismael ou Ladji Traoré. Car, affirme-t-il, le premier a franchi les lignes rouges dans son traitement du cas des hratines et dans la gestion du parti.
Source: ESSIRAGE
C’est en ces termes que le syndicaliste Samory Ould Beye a renversé la version officielle selon laquelle le gouverneur français fut tué en 1905 par un certain Sidi Ould Moulaye Zeine, présenté comme un héros de la résistance mauritanienne contre le colon.
Le leader de la CLTM qui intervenait dans un long entretien accordé au quotidien Essirage, a proposé qu’une enquête soit menée pour rétablir la vérité sur cette histoire et sur beaucoup d’autres sujets.
D’un autre point de vue Samory Ould Beye qui était entré en dissidence contre le président de l’Alliance Populaire Progressiste, a déclaré que Messaoud Ould Boulkheir appartenir désormais au passé et qu’il n’est plus le dirigeant du mouvement El Horr ni de l’ APP.
Selon Ould Beye, en cas d’élections au sein du parti, les hratine préfèreront à Messaoud Ould Boulkheir, Mohamed El Hafedh Ould Ismael ou Ladji Traoré. Car, affirme-t-il, le premier a franchi les lignes rouges dans son traitement du cas des hratines et dans la gestion du parti.
Source: ESSIRAGE