NETTALI - Le gouvernement de Nouakchott a débloqué 4 milliards de F Cfa, annonce l’Agence nationale de réinsertion notamment des Mauritaniens réfugiés au Sénégal dont le retour a débuté le 29 janvier dernier, avec un premier groupe de 114 réfugiés. L’objectif visé est de faire bénéficier tous les réfugiés d’activités génératrices de revenus, rapporte Walf Tv.
Selon Ndiawar Kane, responsable à l’accueil et à l’assistance de l’urgence, la communauté internationale s’est engagée pour le démarrage des activités. « Ceux qu’on appelle les partenaires techniques et financiers ont confirmé leur intérêt au cours de la réunion entre la Mauritanie et les partenaires », déclare-t-il.
A propos des conditions d’éligibilité des réfugiés aux fonds dégagés par l’Agence nationale de réinsertion, M. Ndiawar Kane avance que « ces conditions sont très simples. Il suffit d’abord de mettre en confiance nos compatriotes qui rentrent dans leur terroir. Mieux, tous les réfugiés vont bénéficier de programme d’urgence, d’assistance d’urgence, donc des activités génératrices de revenus ». Il a précisé cependant que « les programmes plus structurants vont concerner toutes les populations qui résident dans ces zones. C’est pour que l’intégration de ces réfugiés soit encore plus harmonieuse, pour qu’il n’y ait pas de dysfonction entre les différents fragments de ces populations ».
C’est le 29 janvier dernier qu’un premier groupe de 114 réfugiés, au Sénégal depuis 19 ans, avait traversé le fleuve à Rosso à la frontière nord du Sénégal pour rejoindre leur pays d’origine.
Les représentants de ces réfugiés avaient fait part de leurs inquiétudes quant aux conditions de leur réinsertion. Selon le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (Hcr), ce sont quelque 24 000 personnes qui ont été recensées comme des réfugiés mauritaniens au Sénégal. Même si toutes ces populations ne retourneront pas en Mauritanie, parce que intégrées pour la plupart dans les zones où elles sont installées au Sénégal.
Le gouverneur de Saint-Louis, Mamadou Moustapha Ndaw avait expliqué que ceux qui retournent dans leur pays d’origine auront toujours la latitude, s’ils le désirent, de revenir au Sénégal à tout moment.
Auteur: Nettali
Selon Ndiawar Kane, responsable à l’accueil et à l’assistance de l’urgence, la communauté internationale s’est engagée pour le démarrage des activités. « Ceux qu’on appelle les partenaires techniques et financiers ont confirmé leur intérêt au cours de la réunion entre la Mauritanie et les partenaires », déclare-t-il.
A propos des conditions d’éligibilité des réfugiés aux fonds dégagés par l’Agence nationale de réinsertion, M. Ndiawar Kane avance que « ces conditions sont très simples. Il suffit d’abord de mettre en confiance nos compatriotes qui rentrent dans leur terroir. Mieux, tous les réfugiés vont bénéficier de programme d’urgence, d’assistance d’urgence, donc des activités génératrices de revenus ». Il a précisé cependant que « les programmes plus structurants vont concerner toutes les populations qui résident dans ces zones. C’est pour que l’intégration de ces réfugiés soit encore plus harmonieuse, pour qu’il n’y ait pas de dysfonction entre les différents fragments de ces populations ».
C’est le 29 janvier dernier qu’un premier groupe de 114 réfugiés, au Sénégal depuis 19 ans, avait traversé le fleuve à Rosso à la frontière nord du Sénégal pour rejoindre leur pays d’origine.
Les représentants de ces réfugiés avaient fait part de leurs inquiétudes quant aux conditions de leur réinsertion. Selon le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (Hcr), ce sont quelque 24 000 personnes qui ont été recensées comme des réfugiés mauritaniens au Sénégal. Même si toutes ces populations ne retourneront pas en Mauritanie, parce que intégrées pour la plupart dans les zones où elles sont installées au Sénégal.
Le gouverneur de Saint-Louis, Mamadou Moustapha Ndaw avait expliqué que ceux qui retournent dans leur pays d’origine auront toujours la latitude, s’ils le désirent, de revenir au Sénégal à tout moment.
Auteur: Nettali