Interpellez les dirigeants qui disent défendre l'égalité et la justice et dont les communautés sont victimes.
C'est le peuple victime qui doit influencer ses chefs et non l'inverse.
"Evidemment, notre armée, comme toutes les armées, eut ses généraux. Mais le poste de commandement était dans le cœur de millions de Noirs. Quand un tel peuple se met en marche, il crée lui-même sa doctrine, façonne son destin et choisit les chefs qui partagent sa philosophie. Un leader digne de sa mission sait qu'il doit être sensible à la colère, à l'impatience, au besoin et à la détermination qui se sont libérés au sein de son peuple." disait Martin Luther King.
Nous devons interpeller nos dirigeants.
Manifestez devant leurs portes.
Bousculez les à sortir de leurs réserves.
La Mauritanie ne peut plus continuer à vivre ce système. Amenons nos dirigeants aux centres des décisions. C'est la seule garantie pour que la donne soit inversée sans violence. Attention non violence ne signifie pas absence de violence. Cela fait 55 ans que nous subissons ce système. Il ne peut plus continuer ? Les jeunes générations n'accepteront pas et ils le payeront à leur frais. A la non violence le système ne sait répondre que par la violence. Jusqu'à quand ? Ce système est piégé par lui même dès l'instant où il a commis les horreurs de tuer, de violer la loi, de déposséder dans l'impunité et de se retrancher en utilisant comme bouclier une communauté nantie de privilèges. Non le système ne changera pas. Seule la détermination du peuple victime sera à l'initiative du changement.
Sensibiliser l'opinion dans un contexte où il n y a que des feux à éteindre de tout bord est une bonne chose mais nous ne devrions pas perdre de vue que cette opinion internationale pour la plus sensible que ne soit ne saurait parer qu'aux urgences selon les intérêts de cette même communauté internationale.
Nous la ferons nôtre révolution. Nul ne la fera à nôtre place. Que ne connaît déjà la communauté internationale à propos de la Mauritanie ? Ignore-t-elle ce qui s'y passe ? NON.
Seul notre courage, notre motivation et notre détermination nous sortiront de là où nous sommes.
Attention révolte n'est pas révolution et la Mauritanie a bien besoin d'une révolution.
Qui détiennent les leviers de commande ?
Qui paierait le lourd tribut de la révolte ?
Est-ce encore la communauté noire tout pan confondu ? De tout temps c'est elle qui les a payés, les indicateurs ne trompent pas.
Qui est largement concerné par l'esclavage ? Qui est concerné par "Touche pas à ma nationalité" ? Ne nous voilons pas la face. Nous le savons.
Dans une de mes intervention je disais : J’ose espérer que des calculs savamment orchestrés et un retranchement dans la bêtise humaine ne mènent, et sans qu’on le veuille à pousser nos gens vers la révolte. Elle est destructrice. En elle, il n y a jamais de gagnants ; que des perdants. Et à ce qu’il me semble la révolution est encore lointaine. Pour qu’elle s’établisse il faudrait qu’il y ait une conscience citoyenne.
Qui pousse à la révolte ?
Tout ce qui aujourd’hui ne mènerait pas aux centres des décisions tout acteur politique de ceux qui défendent les causes justes et nobles ne serait que vain.
L'équation à résoudre est : Comment accéder aux centres de décision ?
Au grand frère Messaoud , au grand frère IMS, au grand frère KHB je vous interpelle car sur le terrain.
Souhaitons que leurs stratégies aillent dans le sens où nous le souhaitons ou nous saurons les en dissuader.
Il y a deux sortes d’hommes politiques ceux dont l’accès aux responsabilités est une fin en soi et d’autre dont l’accès centres de décision constitue un moyen de réalisation d’un projet, d'un programme.
Pour les premiers, une fois arrivés, le travail est terminé. Ils s’assoient, se servent le plus possible et jouissent car il y a plus rien à faire, l’objectif est atteint.
Pour les autres, les deuxièmes, une fois au centre de décision c’est là que commence le vrai travail. J’ai hélas peur que nos politiques dans leur grande majorité soient de la première catégorie.
Espérons et je considère que nos ( Messaoud, IMS,KHB) soient parmi la seconde catégorie.
Comment faire pour que le système n’ait pas raison deux ?
Comment faire pour que IMS le locataire de Oualata et une figure aussi emblématique que Messaoud ne basculent dans la première catégorie de nos hommes politiques ?
Sommes-nous capables de nous organiser pour que cela ne soit jamais ?
Sommes nous capables des les accompagner en tant que groupe de pression pour qu’ils soient unis autour de causes communes : débarrasser le pays des abjects que constituent l’esclavage et le racisme d'état.
Si nous résolvons ce questionnement nous les mènerons là où nous voulons qu’ils aillent et non là où le système voudrait qu’ils aillent.
Sans une base consciente en total adhésion en notre projet, la cause commune, je ne vois pas comment y parviendrait-on dans le contexte mauritanien. Les leviers de commande sont accaparés par le système. Sans qu'une prise de conscience effective de la part de la communauté des victimes ne soit je ne vois pas comment pourrons nous y accéder ?
Evitons les faux débats et allons à l’essentiel, évitons la dispersion de nos énergies, évitons de tomber dans la diabolisation et les traquenards tendus par nos ennemis. Evitons que l’on nous divertisse si nous souhaitons avoir gain de cause.
Mandela est bien parvenu aux centres de décision par le biais d’un homme une voix. Ils ont cependant construit la base et les conditions nécessaires à la réalisation de leur victoire.
Quel gâchis de voir un locataire de Oualata comme IMS parmi la première catégorie des politiques.
Quel gâchis de voir une figure emblématique comme MESSAOUD parmi la première catégorie des politiques.
SEUL NOTRE DESUNION LE PERMETRA. LA COMMUNAUTE DES VICTIMES ORGANISEE ET CONSCIENTE EST UNE ARMEE. N’OUBLIEZ PAS QUE LA GRANDE MAJORITE DU PAYS EST VICTIME D’INJUSTICES. C’EST ELLE QU’IL FAUT MOBILISER.
Evitez de traîner dans la boue vos icônes. Descendez dans la rue et interpellez-les. Ils ne sauront rien faire sans base et les bases sont actrices. Aux centres des décisions nous serons MOTEUR et non BOULET.
L'équation à résoudre est : Comment accéder aux centres de décision ?
Djibril BA
C'est le peuple victime qui doit influencer ses chefs et non l'inverse.
"Evidemment, notre armée, comme toutes les armées, eut ses généraux. Mais le poste de commandement était dans le cœur de millions de Noirs. Quand un tel peuple se met en marche, il crée lui-même sa doctrine, façonne son destin et choisit les chefs qui partagent sa philosophie. Un leader digne de sa mission sait qu'il doit être sensible à la colère, à l'impatience, au besoin et à la détermination qui se sont libérés au sein de son peuple." disait Martin Luther King.
Nous devons interpeller nos dirigeants.
Manifestez devant leurs portes.
Bousculez les à sortir de leurs réserves.
La Mauritanie ne peut plus continuer à vivre ce système. Amenons nos dirigeants aux centres des décisions. C'est la seule garantie pour que la donne soit inversée sans violence. Attention non violence ne signifie pas absence de violence. Cela fait 55 ans que nous subissons ce système. Il ne peut plus continuer ? Les jeunes générations n'accepteront pas et ils le payeront à leur frais. A la non violence le système ne sait répondre que par la violence. Jusqu'à quand ? Ce système est piégé par lui même dès l'instant où il a commis les horreurs de tuer, de violer la loi, de déposséder dans l'impunité et de se retrancher en utilisant comme bouclier une communauté nantie de privilèges. Non le système ne changera pas. Seule la détermination du peuple victime sera à l'initiative du changement.
Sensibiliser l'opinion dans un contexte où il n y a que des feux à éteindre de tout bord est une bonne chose mais nous ne devrions pas perdre de vue que cette opinion internationale pour la plus sensible que ne soit ne saurait parer qu'aux urgences selon les intérêts de cette même communauté internationale.
Nous la ferons nôtre révolution. Nul ne la fera à nôtre place. Que ne connaît déjà la communauté internationale à propos de la Mauritanie ? Ignore-t-elle ce qui s'y passe ? NON.
Seul notre courage, notre motivation et notre détermination nous sortiront de là où nous sommes.
Attention révolte n'est pas révolution et la Mauritanie a bien besoin d'une révolution.
Qui détiennent les leviers de commande ?
Qui paierait le lourd tribut de la révolte ?
Est-ce encore la communauté noire tout pan confondu ? De tout temps c'est elle qui les a payés, les indicateurs ne trompent pas.
Qui est largement concerné par l'esclavage ? Qui est concerné par "Touche pas à ma nationalité" ? Ne nous voilons pas la face. Nous le savons.
Dans une de mes intervention je disais : J’ose espérer que des calculs savamment orchestrés et un retranchement dans la bêtise humaine ne mènent, et sans qu’on le veuille à pousser nos gens vers la révolte. Elle est destructrice. En elle, il n y a jamais de gagnants ; que des perdants. Et à ce qu’il me semble la révolution est encore lointaine. Pour qu’elle s’établisse il faudrait qu’il y ait une conscience citoyenne.
Qui pousse à la révolte ?
Tout ce qui aujourd’hui ne mènerait pas aux centres des décisions tout acteur politique de ceux qui défendent les causes justes et nobles ne serait que vain.
L'équation à résoudre est : Comment accéder aux centres de décision ?
Au grand frère Messaoud , au grand frère IMS, au grand frère KHB je vous interpelle car sur le terrain.
Souhaitons que leurs stratégies aillent dans le sens où nous le souhaitons ou nous saurons les en dissuader.
Il y a deux sortes d’hommes politiques ceux dont l’accès aux responsabilités est une fin en soi et d’autre dont l’accès centres de décision constitue un moyen de réalisation d’un projet, d'un programme.
Pour les premiers, une fois arrivés, le travail est terminé. Ils s’assoient, se servent le plus possible et jouissent car il y a plus rien à faire, l’objectif est atteint.
Pour les autres, les deuxièmes, une fois au centre de décision c’est là que commence le vrai travail. J’ai hélas peur que nos politiques dans leur grande majorité soient de la première catégorie.
Espérons et je considère que nos ( Messaoud, IMS,KHB) soient parmi la seconde catégorie.
Comment faire pour que le système n’ait pas raison deux ?
Comment faire pour que IMS le locataire de Oualata et une figure aussi emblématique que Messaoud ne basculent dans la première catégorie de nos hommes politiques ?
Sommes-nous capables de nous organiser pour que cela ne soit jamais ?
Sommes nous capables des les accompagner en tant que groupe de pression pour qu’ils soient unis autour de causes communes : débarrasser le pays des abjects que constituent l’esclavage et le racisme d'état.
Si nous résolvons ce questionnement nous les mènerons là où nous voulons qu’ils aillent et non là où le système voudrait qu’ils aillent.
Sans une base consciente en total adhésion en notre projet, la cause commune, je ne vois pas comment y parviendrait-on dans le contexte mauritanien. Les leviers de commande sont accaparés par le système. Sans qu'une prise de conscience effective de la part de la communauté des victimes ne soit je ne vois pas comment pourrons nous y accéder ?
Evitons les faux débats et allons à l’essentiel, évitons la dispersion de nos énergies, évitons de tomber dans la diabolisation et les traquenards tendus par nos ennemis. Evitons que l’on nous divertisse si nous souhaitons avoir gain de cause.
Mandela est bien parvenu aux centres de décision par le biais d’un homme une voix. Ils ont cependant construit la base et les conditions nécessaires à la réalisation de leur victoire.
Quel gâchis de voir un locataire de Oualata comme IMS parmi la première catégorie des politiques.
Quel gâchis de voir une figure emblématique comme MESSAOUD parmi la première catégorie des politiques.
SEUL NOTRE DESUNION LE PERMETRA. LA COMMUNAUTE DES VICTIMES ORGANISEE ET CONSCIENTE EST UNE ARMEE. N’OUBLIEZ PAS QUE LA GRANDE MAJORITE DU PAYS EST VICTIME D’INJUSTICES. C’EST ELLE QU’IL FAUT MOBILISER.
Evitez de traîner dans la boue vos icônes. Descendez dans la rue et interpellez-les. Ils ne sauront rien faire sans base et les bases sont actrices. Aux centres des décisions nous serons MOTEUR et non BOULET.
L'équation à résoudre est : Comment accéder aux centres de décision ?
Djibril BA