Je pense sérieusement qu'il y a des événements plus importants en cette fin du mois de janvier 2008. A tant de personnes en Mauritanie nos pensées et nos aides doivent être dirigées. Et les réfugié(e)s...
Ouf, le mot étranger n'a pas lieu d'ëtre lorsqu'une personne souhaite réellement le bien pour tous les environments de la Terre. Je ne peux m'imaginer dire à un africain ou à un russe : étranger. Non je lui dis bienvenue et espère la paix de vivre au Québec et au Canada.
Mais le sceau pour moi est franchement une blague. Combien de sceaux ont circulé pour faire entrer au Canada et au Québec (car je connais) des Mauritaniens et leur famille qui n'étaient pas du tout réfugiés... mais bien au contraire ....... et qui passaient aux mains de l'immigration en tant que réfugiés? ! !!! ????
Je laisse la justice canadienne qui n'est quand même pas dingue.... s'exprimer avec le gouvernement Mauritanien.
Le gouvernement mauritanien débute et doit faire ses classes à tous les points de vue.
Loin de moi de défendre tout le gouvernement mauritanien. Mais je crois fortement qu'il a, à quelque part, raison de réduire des dépenses ''inutiles''. Je me répète votre mot étranger n'a pas lieu d'être. Bernard Colas connaît peut-être la justice..... ...... Je reviens au sceau qui a tant voyagé soit par téléphone ou par mail pour mieux faire ''entrer'' au Canada. Depuis les années 90.....
J'oubliais, les intellectuels Mauritaniens devraient avoir la chance d'être consul??
Pourquoi encore intellectuel. Car il faut comprendre avant tout qu'est-ce qu'un intellectuel? 2 faux doctorats?? 1 fausse maîtrise?? Un intellectuel se doit d'abord, c'est ce que j'ai appris, de penser, vivre par la vérité du coeur dans un monde de connaissances humaines. Et ne pas mentir ..........entre autres au Canada.
Pour les lecteurs et les lectrices je copie et colle qui est Monsieur Colas. Un très court résumé. Je ne connais pas personnellement Monsieur Colas. Bien sûr. Mais je tenais à trouver un minimum pour les lecteurs et lectrices.
Non à l'oubli.
Marie E.
Depuis 2000, il pratique le droit du commerce international au sein du cabinet Gottlieb & Pearson, à Montréal, où il conseille les entreprises technologiques actives à l'échelle international ainsi qu'auprès des gouvernements étrangers. Bernard Colas a déjà é té chargé de cours à la Faculté de droit de l'Université de Montréal et il enseigne présentement le droit des transactions commerciales internationales au MBA de l'École des hautes études commerciales de Montréal.
Spécialisé dans la négociation des transactions internationales et dans l'application des accords commerciaux internationaux (par exemple : OMC, ALÉNA), il est l'auteur de plusieurs livres et articles sur le sujet et participe activement à des conférences.
Bernard Colas est vice-président de la Commission du droit du Canada, membre du Groupe de consultation sectorielle en commerce extérieur sur les technologies de l'information (SAGIT) et Consul honoraire de Mauritanie. Il est également membre de plusieurs conseils d'administration dont ceux du Conseil des relations internationales de Montréal, de la Société de droit international économique, de la Section internationale de l'Association du Barreau canadien et de l'International Law Association (Canada).
"Marie-Elaine Hamel"
madelein10@yahoo.fr
Ouf, le mot étranger n'a pas lieu d'ëtre lorsqu'une personne souhaite réellement le bien pour tous les environments de la Terre. Je ne peux m'imaginer dire à un africain ou à un russe : étranger. Non je lui dis bienvenue et espère la paix de vivre au Québec et au Canada.
Mais le sceau pour moi est franchement une blague. Combien de sceaux ont circulé pour faire entrer au Canada et au Québec (car je connais) des Mauritaniens et leur famille qui n'étaient pas du tout réfugiés... mais bien au contraire ....... et qui passaient aux mains de l'immigration en tant que réfugiés? ! !!! ????
Je laisse la justice canadienne qui n'est quand même pas dingue.... s'exprimer avec le gouvernement Mauritanien.
Le gouvernement mauritanien débute et doit faire ses classes à tous les points de vue.
Loin de moi de défendre tout le gouvernement mauritanien. Mais je crois fortement qu'il a, à quelque part, raison de réduire des dépenses ''inutiles''. Je me répète votre mot étranger n'a pas lieu d'être. Bernard Colas connaît peut-être la justice..... ...... Je reviens au sceau qui a tant voyagé soit par téléphone ou par mail pour mieux faire ''entrer'' au Canada. Depuis les années 90.....
J'oubliais, les intellectuels Mauritaniens devraient avoir la chance d'être consul??
Pourquoi encore intellectuel. Car il faut comprendre avant tout qu'est-ce qu'un intellectuel? 2 faux doctorats?? 1 fausse maîtrise?? Un intellectuel se doit d'abord, c'est ce que j'ai appris, de penser, vivre par la vérité du coeur dans un monde de connaissances humaines. Et ne pas mentir ..........entre autres au Canada.
Pour les lecteurs et les lectrices je copie et colle qui est Monsieur Colas. Un très court résumé. Je ne connais pas personnellement Monsieur Colas. Bien sûr. Mais je tenais à trouver un minimum pour les lecteurs et lectrices.
Non à l'oubli.
Marie E.
Depuis 2000, il pratique le droit du commerce international au sein du cabinet Gottlieb & Pearson, à Montréal, où il conseille les entreprises technologiques actives à l'échelle international ainsi qu'auprès des gouvernements étrangers. Bernard Colas a déjà é té chargé de cours à la Faculté de droit de l'Université de Montréal et il enseigne présentement le droit des transactions commerciales internationales au MBA de l'École des hautes études commerciales de Montréal.
Spécialisé dans la négociation des transactions internationales et dans l'application des accords commerciaux internationaux (par exemple : OMC, ALÉNA), il est l'auteur de plusieurs livres et articles sur le sujet et participe activement à des conférences.
Bernard Colas est vice-président de la Commission du droit du Canada, membre du Groupe de consultation sectorielle en commerce extérieur sur les technologies de l'information (SAGIT) et Consul honoraire de Mauritanie. Il est également membre de plusieurs conseils d'administration dont ceux du Conseil des relations internationales de Montréal, de la Société de droit international économique, de la Section internationale de l'Association du Barreau canadien et de l'International Law Association (Canada).
"Marie-Elaine Hamel"
madelein10@yahoo.fr